Cette nouvelle réalité, pronostiquée en 2010 déjà par certains économistes dont Arvind Subramanina, est mise en relief par le dernier rapport de la Banque mondiale.
Avec une croissance annuelle de 7%, indépendamment des turbulences qui ont secoué la bourse chinoise ces derniers jours, la Chine a su s’imposer pour devenir le premier producteur de richesse de la planète. Pékin occupe désormais la première place du classement, devant Washington.
L’autre information d’importance révélée par ces chiffres de la Banque mondiale, c’est le fait que la Russie, malgré la récession et l’hystérie des médias occidentaux, est parvenue à dépasser l’Allemagne pour prendre la cinquième place du classement des pays en termes de PIB ajusté à la parité de pouvoir d’achat.
Les chiffres publiés en 2015 sont donc symboliques à plus d’un titre, la Russie produit davantage de richesses que l’Allemagne, pourtant première puissance économique européenne jusqu’à cette année, et la Chine est passée devant les États-Unis, s’imposant, elle, comme la première puissance économique mondiale.
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