16 mars 2015

Le terme « Français de souche », doit disparaitre...

Depuis des années les immigrés sont invités par les associations anti-racistes à être fiers de leurs origines, de leurs différences, et donc à ne pas s’assimiler au modèle français. A l’inverse, les Français sont intimés à ne pas mettre en avant leurs racines, leur culture, par les mêmes tenants de la bien-pensance. Bernard-Henri Lévy écrivait en 1985 : « Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, « franchouillard » ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. »

Le dédain avec lequel François Hollande a sorti lors du dîner du CRIF l’expression « Français de souche » montre à quel point le peuple est méprisé par les élites. Or, n’en déplaise à celles-ci, ces Français qu’ils haïssent tant existent bien. Est Français de souche celui qui se fait traiter de « sale céfran » dans les quartiers dits « sensibles ». Est Français de souche celui qui est qualifié impunément de « sous‑chien » par une Houria Bouteldja à la télévision. Sont Français de souche les victimes, innombrables et invisibles, du racisme anti-blanc, dans la rue, dans le métro, dans leur travail, et jusque dans le hall d’entrée de leur immeuble.

Le réveil du peuple méprisé risque bien d’être brutal pour la caste politico-médiatique. Selon une récente enquête OpinionWay pour le centre de recherches de Sciences‑Po (Cevipof), 69 % des Français jugent « qu’il y a trop d’immigrés en France ». Ils n’étaient que 49 % en 2009.

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