Résumé : Depuis une centaine d'années, des scientifiques de plusieurs pays (Gurwitsch, Kaznacheev, Gariaev, Inaba, Popp, et d'autres) ont montré que les organismes vivants émettent de la lumière (biophotons) à très faible intensité. Tel un laser, l'ADN est à la fois la source et le lieu de stockage de ces photons. L'ensemble des biophotons de l'organisme constitue un champ cohérent porteur d'information, sous forme d'hologrammes, qui dirige les processus vitaux de l'organisme et maintient son intégrité.
Grâce à ces rayonnements, les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire. D'autres informations constituent un code génétique électromagnétique holographique qui assure et coordonne le développement de l'organisme. Cela explique des phénomènes inexplicables par la génétique moléculaire comme la différentiation des cellules. Des applications pratiques de ce phénomène ont été conçues pour évaluer la qualité des aliments et améliorer l'état de santé des êtres vivants par des techniques non destructrices.
Depuis la découverte de l'ADN dans les années 1950, sa présence dans le noyau de nos cellules est bien connue, ainsi que sa fonction comme support du code génétique. Les enseignements universitaires et les médias diffusent abondamment les représentations de la constitution chimique et de la structure de cette molécule, faites de 2 brins enroulés en une double hélice. Pourtant, ce n'est là qu'un aspect limité de l'ADN.
Dans les articles 2 et 3 de cette série, j'ai présenté des descriptions complémentaires qui montrent que l'expression du code génétique est sous le contrôle d'autres facteurs et que son rôle doit être nuancé. Ces études novatrices sont toutefois encore issues de la représentation habituelle moléculaire de l'ADN et des gènes.
Dans le 5e article de cette série, dépassant ce cadre, nous avons découvert la constitution électrique de l'ADN. Une molécule y est vue comme un assemblage d'atomes où chaque atome est constitué d'un noyau chargé d'électricité positive et d'électrons de charge négative qui gravitent autour. Une molécule est donc un volume plein d'électricité. Cette électricité est responsable des interactions d'attirance et de rejet entre molécules. Nous avons décrit ces influences électriques dans leur aspect statique ou stationnaire.
Dans le présent article, nous poursuivons la description de la nature électrique de la molécule d'ADN, cette fois dans son aspect dynamique, producteur de rayons électromagnétiques et d'échanges entre les atomes et les molécules. Nous montrons comment par ces échanges les molécules reçoivent et émettent des informations et comment certaines de ces informations constituent un code génétique complémentaire de nature électromagnétique.
Grâce à ces rayonnements, les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire. D'autres informations constituent un code génétique électromagnétique holographique qui assure et coordonne le développement de l'organisme. Cela explique des phénomènes inexplicables par la génétique moléculaire comme la différentiation des cellules. Des applications pratiques de ce phénomène ont été conçues pour évaluer la qualité des aliments et améliorer l'état de santé des êtres vivants par des techniques non destructrices.
Depuis la découverte de l'ADN dans les années 1950, sa présence dans le noyau de nos cellules est bien connue, ainsi que sa fonction comme support du code génétique. Les enseignements universitaires et les médias diffusent abondamment les représentations de la constitution chimique et de la structure de cette molécule, faites de 2 brins enroulés en une double hélice. Pourtant, ce n'est là qu'un aspect limité de l'ADN.
Dans les articles 2 et 3 de cette série, j'ai présenté des descriptions complémentaires qui montrent que l'expression du code génétique est sous le contrôle d'autres facteurs et que son rôle doit être nuancé. Ces études novatrices sont toutefois encore issues de la représentation habituelle moléculaire de l'ADN et des gènes.
Dans le 5e article de cette série, dépassant ce cadre, nous avons découvert la constitution électrique de l'ADN. Une molécule y est vue comme un assemblage d'atomes où chaque atome est constitué d'un noyau chargé d'électricité positive et d'électrons de charge négative qui gravitent autour. Une molécule est donc un volume plein d'électricité. Cette électricité est responsable des interactions d'attirance et de rejet entre molécules. Nous avons décrit ces influences électriques dans leur aspect statique ou stationnaire.
Dans le présent article, nous poursuivons la description de la nature électrique de la molécule d'ADN, cette fois dans son aspect dynamique, producteur de rayons électromagnétiques et d'échanges entre les atomes et les molécules. Nous montrons comment par ces échanges les molécules reçoivent et émettent des informations et comment certaines de ces informations constituent un code génétique complémentaire de nature électromagnétique.
La matière émet des rayons électromagnétiques
La science physique a établi que toute matière est constituée d'atomes dont la position peut être fixe comme dans les solides, ou en mouvement comme dans les liquides et les gaz. Elle précise que dans les solides, la position fixe n'est qu'une moyenne et que les atomes oscillent autour de cette position moyenne. Ils sont en perpétuelle vibration. La matière, bien loin d'être inerte, est le siège de mouvements intenses de ses atomes et des charges électriques dont ils sont constitués. De ce fait, elle émet en permanence un ensemble de rayonnements électromagnétiques de fréquences variées.
Les atomes vibrent plus ou moins fortement selon leur température. On peut même dire que c'est la force de cette vibration qui crée la chaleur. Par sa température même, tout objet est émetteur de rayonnements calorifiques. Ce sont des rayonnements électromagnétiques dont les fréquences sont situées dans la gamme de l'infrarouge, ce qui signifie qu'elles sont inférieures à celles du rouge visible. Un exemple commun est celui des chauffages électriques à réglettes qui chauffent en émettant de la lumière infra-rouge non visible, accompagnée d'un peu de lumière rouge. On les voit donc rougir quand ils chauffent.
Pour afficher le panorama des ondes électromagnétiques et de leurs fréquences :
De même, les organismes vivants à sang chaud, animaux et corps humains, produisent leur propre chaleur interne qui rayonne tout autour de leur peau. De ce fait, ils émettent des rayons infrarouges. On peut les détecter à distance avec des lunettes détecteurs d'infrarouges et on peut ainsi photographier les corps chauds la nuit avec une caméra à sensibilité infrarouge. Cela indique que les rayons infrarouges émis parviennent au moins jusqu'à la caméra. Ils sont bien réels et très courants.
Aussi, énoncer que la matière émet de la lumière et d'autres rayons électromagnétiques n'a rien de nouveau ni de surprenant. Cela n'empêche pas de s'en émerveiller. Sous l'effet de la chaleur, les atomes vibrent indépendamment les uns des autres de sorte que les rayons émis ne sont ni coordonnés ni synchronisés les uns avec les autres. On dit que ces rayonnements sont incohérents. Ils sont comme une multitude de personnes dans une foule qui parlent indépendamment les unes des autres et créent un brouhaha.
Or, depuis environ une centaine d'années, des chercheurs ont découvert que les organismes vivants émettent également des rayonnements cohérents ou partiellement cohérents, comme des chanteurs qui participent à la même œuvre musicale. Bien que les rayons proviennent de différents groupes d'atomes, et de différentes cellules, ils sont coordonnés et synchronisés. C'est ce caractère de cohérence, ou si vous préférez, de coordination, qui est remarquable et novateur. En réalité, il a été signalé dès les années 1920, mais il n'a pas reçu d'audience large, y compris auprès de la plupart des scientifiques. L'objet de cet article est de contribuer à combler cette lacune, dans une modeste mesure, en puisant dans les écrits d'auteurs spécialisés et assez difficiles à comprendre, auxquels j'ai emprunté.
Voici l'histoire de la découverte des rayonnements électromagnétiques cohérents dans les organismes vivants.
Les radiations d'Alexander Gurwitsch
L'histoire scientifique moderne de ces rayonnements commence en 1922 avec un biologiste russe, Alexander Gurwitsch (1874 - 1954). Il observe des cellules d'une tige d'ognon [note: orthographe révisée 1990] au stade de leur division en deux cellules-filles, selon le processus habituel de croissance des organismes, processus appelé mitose par les biologistes. Or il constate que cette division est plus intense si la tige est placée à proximité d'un autre plant d'ognon. Il doit donc exister une sorte de rayonnement émis par le plant et reçu par l'autre, qu'il nomme radiation mitogénétique.
Afin de vérifier cette hypothèse, il cherche à déterminer la nature de cette radiation. Il effectue alors de nombreuses expériences et interpose des écrans divers entre les plants d'ognons. Il observe que la multiplication cellulaire s'arrête si on interpose une lame de verre. Par contre, avec une lame de quartz, elle continue. Il en déduit que la longueur d'onde de la radiation se situe dans le domaine de l'ultraviolet (de l'ordre de 260 nm), qui est arrêté par le verre mais pas par le quartz.
Il en conclut que les cellules d'ognons émettent un rayonnement ultraviolet qui déclenche la multiplication cellulaire. Ce rayonnement est de très faible intensité, difficilement détectable avec les appareils de l'époque. Mais ses expériences ont été confirmées par la suite dans les laboratoires Siemens à Berlin par T. Reiter et Dennis Gabor, prix Nobel de physique en 1971.
Le rayonnement ultraviolet est un rayonnement électromagnétique dont les fréquences sont supérieures au violet de la lumière visible. Les ondes électromagnétiques en général peuvent aussi être décrites sous forme de particules de lumière, les photons. Comme les photons des ognons proviennent d'un organisme biologique, ils ont par la suite été nommés biophotons par F.A. Popp.
1950- 1960: découvertes sur la luminescence par des chercheurs russes et italiens
En 1954 - 55, des physiciens nucléaires italiens (L. Colli et U. Facchini) mettent en évidence que des plantes (froment, haricots, lentilles, orge) en phase de germination, émettent un rayonnement. Ils le détectent dans l'obscurité complète au moyen d'un appareil perfectionné pour cette époque, un photomultiplicateur très sensible.
Le rayonnement, bien net, se situe dans la gamme de la lumière visible, du vert au rouge. De ce fait, le phénomène d'émission est nommé luminescence, ou bioluminescence, ou émission spontanée de lumière. Les chercheurs ne prolongent pas leurs recherches, occupés par d'autres sujets. Ils ignoraient probablement celles de Gurwitsch, antérieures de 30 ans, et n'en ont pas saisi l'importance.
Dans les années 1950 - 60, plusieurs groupes de scientifiques russes étudient la présence de rayonnements et leur nature dans une centaine d'organismes vivants différents. Les organismes choisis vont de l'algue, la levure et la bactérie aux organismes supérieurs des plantes et des animaux. Là aussi, les rayonnements détectés se situent dans la gamme de la lumière visible. Ils sont extrêmement faibles en intensité, de sorte que seuls des photomultiplicateurs très sensibles peuvent les mettre en évidence et les mesurer.
Les chercheurs les qualifient de luminescence ultra-ténue.
A partir de 1963, leurs articles paraissent dans la revue scientifique russe Biofyzica, traduits ensuite en anglais. Les observations sont donc bien documentées et référencées. Ils en concluent que toutes les plantes et tous les vertébrés de toutes les espèces manifestent de la luminescence. Elle a été mise en évidence seulement dans un tiers des organismes inférieurs (algues, bactéries, levures et insectes). Toutefois par la suite, d'autres chercheurs ont détecté une luminescence même dans les organismes qui n'en montraient pas avant, tout simplement parce qu'ils ont employé des détecteurs plus sensibles, que les nouvelles technologies de fabrication de photomultiplicateurs mettaient à leur disposition. Il est maintenant reconnu que l'émission photonique est un caractère général des organismes biologiques.
D'une espèce à une autre, l'émission photonique varie par son intensité, étant plus forte pour les organismes supérieurs. Une émission comporte un éventail (un spectre) de fréquences différentes, qui lui confère une couleur. Le spectre de fréquence est lui aussi variable d'une espèce à l'autre.
Pour les lecteurs qui aimeraient avoir des références concrètes, citons quelques-uns de ces chercheurs russes: il y a le professeur Anna Gurwitsch, une fille de Alexander, et aussi A.Sh. Agaverdiyev, S.V. Konev, T.I. Lyskova, T.G. Mamedov, G.A. Popov, B.N. Taruzov, V.A. Veselovskii, A.I. Zhuravlev.
Communication entre organismes vivants par biophotons
Le système de communication par rayonnement photonique est abondamment utilisé par les plantes, comme par exemple les tiges d'ognon, mais également par les animaux.
C'est un fait avéré que les abeilles ou les termites d'un même groupe communiquent entre eux. Des chercheurs ont mis en évidence que cette communication s'effectuait par des signaux électromagnétiques.
On sait aussi que des insectes peuvent communiquer entre eux sur de longues distances en émettant des odeurs, des molécules appelées phéromones. C'est ainsi que des papillons de nuits mâles et femelles peuvent se rejoindre même s'ils se trouvent à des kilomètres. Or le biologiste P.S. Callahan a découvert qu'ils localisaient ces phéromones en détectant les photons qu'elles émettent dans la longueur d'onde des infra-rouges.
La communication par des biophotons a été vérifiée entre cellules nerveuses par le biochimiste Helmut A. Fischer. Il a montré que ce processus se produisait en complément des transmissions par médiateur chimique entre les synapses, ces prolongements tentaculaires des cellules. (Photons as transmitters for intra- and intercellular biological and biochemical communication, The construction of a hypothesis, H.A. Fischer, dans Electromagnetic Bio-Information, 1989, Urban & Schwarzenberg)
Expériences de VP Kaznacheev
Merci à Tom Bearden
Les expériences de Kaznacheev
Merci à Tom Bearden
Les expériences de Kaznacheev
Dès 1974, le docteur Vlail P. Kaznacheev (ou Kaznacheyev) et son équipe de recherche (S. Stschurin, L. Michailova, etc.) à l'Institut de médecine clinique et expérimentale de Novosibirsk en Russie, mettent en évidence des communications photoniques entre les cellules.
Des cellules sont placées dans un tube scellé où elles baignent dans une solution nutritive. A proximité se trouve un autre tube scellé avec des cellules provenant du même tissu biologique. Lorsqu'on porte atteinte à l'une des cultures, par un virus ou un empoisonnement, on constate que les cellules du flacon voisin, bien que protégées de la transmission chimique par la paroi du flacon, deviennent malades à leur tour. C'est donc la preuve que les cellules envoient des informations aux autres cellules.
Les conditions de succès de cette expérience sont les suivantes. Elle a lieu dans l'obscurité. La fenêtre optique entre les deux tubes doit être en quartz. La durée du contact doit être supérieure à 4 ou 5 heures et si possible 48h. L'effet se manifeste au bout de 18 heures environ dans 70% des cas. Il n'a pas lieu si la fenêtre optique est en verre, qui arrête les ultraviolets. Après plus de 12'000 expériences, ces chercheurs ont montré que la communication entre cellules était effectuée par l'intermédiaire de radiations ultraviolettes de longueur d'onde 220 nm à 360 nm (référence, en russe: V.P. Kaznacheev, L.P. Mikhailova, Ultraweak Radiation in Cell Interactions, 1981, Nauka - Voir Tom Bearden, Extraordinary biology).
Les expériences de Burlakov
Au cours de recherches récentes, le biologiste russe Alexander B. Burlakov et ses collaborateurs (de la Faculté de biologie, Université de Moscou) ont observé que des œufs de poisson communiquent entre eux par photons. Pour cela, ils ont fait l'expérience suivante.
Expérience de Burlakov: Les œufs de poisson communiquent à travers la fenêtre de quartz
Merci à Wolfgang Lillge
Merci à Wolfgang Lillge
Deux boites hermétiques en verre sont placées l'une au-dessus de l'autre, et séparées par une fenêtre, toujours en quartz. Chacune des boites contient des œufs de poisson fécondés (de loches) dans des stades divers de croissance. Au bout 20 à 24 h, on observe que les œufs se sont influencés dans leur croissance. Cette influence varie selon leurs stades respectif de développement. Si la différence d'âge n'est pas trop grande, le développement des œufs plus jeunes est accéléré. Si par contre la différence est grande, les œufs jeunes sont retardés dans leur croissance, ils peuvent subir des déformations et une proportion d'entre eux meurent. Aucune influence n'a lieu si la fenêtre est en verre.
Dans ce cas, on a non seulement la preuve du rayonnement, mais en plus, les influences manifestées montrent que le rayonnement transporte des informations génétiques reçues et incorporées par l'œuf récepteur, sans aucune modification chimique du génome.
Dans une suite de ces expériences, Burlakov insère certains filtres optiques de différentes longueurs d'onde et des polariseurs entre les deux boites. Cela provoque des altérations des poissons, par exemple des larves à têtes multiples, à cœurs multiples, etc. Insérant d'autres filtres, il a pu rétablir correctement le programme génétique normal et les difformités ont disparu.
Sources: Distant wave-mediated interactions in early embryonic development of the loach Misgurnus fossilis L., A. B. Burlakov, O. V. Burlakova et V. A. Golichenkov, Russian Journal of Developmental Biology, 2000, 31, 5, 287; Biophotonic patterns of optical interactions between fish eggs and embryos, Lev V Beloussov, AB Burlakov, N N Louchinskaia, Indian journal of experimental biology 2003, 41, 5, 424; Biophysics and the Life Process, Wolfgang Lillge, 21st Century, Summer 2001
Les mécanismes de ce transfert génétique vont devenir plus compréhensibles avec les travaux de Gariaev exposés plus bas. Mais tout d'abord, affinons notre compréhension des biophotons émis par les organismes, grâce aux travaux de F.A. Popp.
Histoire des biophotons
Un biophysicien russe [Zhuravlev, 1972] et un chimiste américain [Seliger, 1975] énoncent la première théorie sur l'émission photonique ultrafaible (EPUF) des systèmes biologiques, appelée théorie de l'imperfection. L'EPUF y est considérée comme l'expression d'un écart à l'équilibre [thermodynamique], une sorte de distorsion des processus métaboliques. Indépendamment les uns des autres et poussés par des motivations différentes, des groupes scientifiques mettent en évidence l'EPUF des systèmes biologiques par l'emploi d'appareils de comptage de photons isolés: en Australie (Quickenden), en Allemagne (Fritz-Albert Popp), au Japon (Inaba) et en Pologne (Slawinski). Alors que Quickenden, Inaba et Slawinski soutiennent la théorie de l'imperfection, Popp et son groupe développent une théorie opposée: Les radiations sont issues d'un champ de photons presque parfaitement cohérents. [...]
Le groupe de Marbourg (Popp) a appelé ce phénomène biophotons. Les biophotons sont des quantas d'énergie émis de façon continuelle et permanente par tous les systèmes vivants. Ils répondent de la physique quantique et ils sont la manifestation d'un phénomène universel attribué à tous les systèmes vivants. Tous les scientifiques qui adhèrent à cette vision de par le monde nomment cette radiation biophotons et son domaine de recherche la biophotonique. [...]
Dans d'autres pays, des groupes scientifiques d'instituts et universités réputés - autour d'Inaba et Hamamatsu (Japon), Li, Chang et Shen (Chine), Slawinski (Pologne), Anna Gurwitsch et Lev Beloussov (Russie), Mishra et Bajpai (Inde), Fröhlich, Hyland, Ho (Angleterre), van Wijk (Hollande), Musumeci (Italie), Fox, Jahn and Puthoff (USA) - se sont vivement intéressés à la biophotonique et ont commencé à coopérer et ont fondé l'Institut International de Biophysique (IIB) à Neuss (Allemagne), où la Biophotonique est devenue un projet de recherche et d'enseignement commun.
Extraits d'un article de F.A. Popp et l'Institut International de Biophysique. Traduction A. Boudet
Le rayonnement luminescent cohérent
Dans les années 1980, Fritz-Albert Popp (né en 1938 à Francfort) et ses collaborateurs de l'université de Marbourg en Allemagne effectuent également des mesures des photons émis par les organismes avec des appareils modernes plus sensibles et plus précis. Ils vérifient que les photons émis sont cohérents, c'est-à-dire qu'ils ne ressemblent pas au bavardage incohérent dû à l'émission calorifique des molécules.
Fritz-Albert Popp a suivi des études de physique expérimentale à Göttingen et à Wurzbourg, obtenu un doctorat en physique théorique à Mayence, et occupé un poste de professeur à l'université de Marbourg de 1973 à 1980. À l'université de Kaiserslautern, il est successivement directeur d'un groupe de recherche à l'Institut de biologie cellulaire de 1983 à 1986, puis d'un autre au Centre de Technologie, tout en fondant la société Biophotonics.
Les mesures de son équipe montrent que les longueurs d'onde des photons se répartissent de façon uniforme sur toute l'échelle de longueurs en 200 nm et 800 nm, incluant ainsi des rayons UV (de 200 à 400 nm) et de la lumière visible (de 400 à 800 nm).
Cela prouve que ce ne sont pas des rayonnements calorifiques car à la température des cellules, on aurait des infrarouges et pas d'ultraviolets. Leur intensité est extrêmement faible, de 1 photon par seconde et par cm2 à quelques milliers. Cela explique la difficulté à les mettre en évidence. Cette intensité est toutefois 1000 fois plus forte que celle des photons dus à l'émission calorifique dans des conditions d'équilibre thermique, prouvant encore que les photons sont bien produits par un autre mécanisme.
On pourrait chercher l'origine des biophotons dans les réactions chimiques de la cellule. Les chimistes savent qu'il est fréquent que des photons soient émis au cours de réactions chimiques, un phénomène dénommé chimioluminescence. Une chimioluminescence pourrait se produire comme manifestation des nombreuses réactions du métabolisme des cellules vivantes (cette position était défendue par Zhuravlev dans sa théorie de l'imperfection en 1972 - voir encadré). Mais le taux d'occurrence des réactions de chimioluminescence dépend de la température et l'intensité du rayonnement aussi. Or Popp montre que le rayonnement qu'il mesure n'augmente pas avec la température. Ce n'est donc pas la bonne explication.
À cette époque, la technique des photomultiplicateurs limitait les examens à des échantillons biologiques de petite dimension tels que des fragments de tissus cellulaires ou des graines. Plus tard, le développement de capteurs issus d'une autre technologie basée sur les semi-conducteurs, les capteurs CCD (Charge-Coupled Device ou dispositif à transfert de charge) ouvre de nouvelles perspectives. En 2009, Masaki Kobayashi, un physicien à l'Institut de Tohoku à Sendai au Japon réussit avec ses collaborateurs à photographier l'émission de biophotons sur toute la surface du corps humain au repos. Ils confirment que l'émission de biophotons n'est pas corrélée à la température ni à l'émission de rayonnements infrarouges.
Les mesures révèlent que la cohérence est forte. Si les photons étaient des sons, cela ferait une musique orchestrée avec quelques instruments dissidents ou distraits, non pas un brouhaha de voix. Lorsque l'épaisseur du tissu biologique augmente, la cohérence augmente aussi.
Cette cohérence implique que les biophotons transportent des informations et les transmettent à d'autres cellules. Par les biophotons, les cellules échangent des informations de natures diverses concernant l'état des cellules et la régulation des réactions biochimiques.
Indications sur l'état sanitaire d'une cellule
Dans les années 1950 - 60, les chercheurs russes remarquent que lorsqu'un système biologique est soumis à une destruction (chauffage, congélation, empoisonnement), son émission photonique augmente, comme s'il envoyait un avertissement. Cette émission cesse à la mort du système.
Les chercheurs russes des années 70 ont constaté que l'intensité du rayonnement cellulaire change quand la cellule est agressée, endommagée ou qu'elle meurt.
Les cellules vivant normalement émettent un courant lumineux constant. Lorsqu'un virus pénètre dans les cellules, le rayonnement se modifie: augmentation du rayonnement, puis silence, puis nouvelle augmentation, puis extinction progressive du rayonnement en ondes multiples jusqu'à la mort des cellules. [Cité par F.A. Popp, Biologie de la lumière]
En 1974, Stschurin énonce: Les cellules touchées par différentes maladies ont des caractéristiques de rayonnement différentes. Nous sommes persuadés que les photons sont capables de nous informer très tôt avant le début d'une dégénérescence pernicieuse et de révéler la présence d'un virus.
Dans les années 1980, Nagl (biologiste), Popp et Li ont établi des théories fondamentales sur la relation entre les biophotons et la croissance des cellules, sur les différences d'émission entre des cellules saines et des cellules cancéreuses. Ils ont fait l'hypothèse que la figure de diffusion des photons des cellules contient l'information sur la présence d'une infection virale ou bactérienne. Ceci a été confirmé par des scientifiques du laboratoire national de Los Alamos (USA). Le virologue Lipkind a trouvé les premiers éléments indiquant la présence d'une infection virale par les biophotons (Institut International de Biophysique, Research and History, traduction A.B)
Le rayonnement est fonction de l'état de la cellule. Les informations incluses dans les biophotons rendent compte de l'état énergétique de la ou des cellules émettrices. L'émission d'une cellule saine est calme, comme une rivière tranquille. Selon les recherches de F.A. Popp, si on blesse une plante, d'autres plantes semblables placées autour en sont averties, même si elles sont éloignées. Tout dérangement augmente la production de rayonnement, comme si une activité de réparation se met en branle.
Il est probablement possible de déterminer l'état de santé d'un tissu biologique et aussi d'un organisme entier par les caractéristiques de ses émissions photoniques. La santé semble se manifester par une communication d'information aisée et abondante à l'intérieur du corps, tandis que la maladie consisterait en un appauvrissement de ce flux d'information.
Analyse de la qualité des tissus biologiques
La mesure du flux de biophotons émis par un organisme permet d'en tirer des informations sur l'état de santé ou de déséquilibre énergétique de cet organisme. Cette méthode est un complément prometteur des autres méthodes d'analyse biologique, car elle a l'avantage de ne pas introduire de produits dans l'organisme, ni de faire des prélèvements, de sorte qu'elle ne le perturbe pas.
Sur cette base, plusieurs types d'appareils ont été conçus, d'abord à l'Institut International de Biophysique de Neuss en Allemagne, ou mis au point dans divers secteurs de l'industrie en Europe et au Japon, pour évaluer l'état sanitaire de végétaux, d'animaux, ou du corps humain.
Maladies et vieillissement cellulaire
Selon de nombreuses études, incluant celles de Popp et d'autres en Australie, en Pologne et au Japon, on peut détecter l'état cancéreux d'un groupe de cellules en mesurant ses émissions de biophotons. Sur une biopsie (tissus prélevés dans l'organisme), on peut distinguer les cellules tumorales (cancéreuses) des cellules saines, déterminer leur degré de malignité et évaluer leur réponse énergétique à des substances médicamenteuses.
Popp, VanWikj et d'autres ont mesuré qu'un groupe de cellules cancéreuses n'émet pas les mêmes rayonnements que les groupes de cellules saines. Lorsqu'on stimule des cellules par la lumière, la bioluminescence augmente puis décroit. La vitesse de décroissance est beaucoup plus grande dans les cellules malignes, ce qui indique que leur capacité de stockage en biophotons est réduite. De plus les biophotons ont perdu une bonne partie de leur cohérence. Si on compare l'émission par des tissus d'épaisseur croissante, elle augmente dans le cas de cellules normales et diminue dans le cas de cellules tumorales.
Par la même technique, il est possible d'évaluer le vieillissement cellulaire et l'état du sang.
Des chercheurs japonais (Kobayashi et coll.) ont construit une chambre noire munie d'un système de comptage pour le corps entier. Ils ont mis en évidence que l'émission de biophotons du corps suit en tous points le rythme naturel biologique. Lorsqu'il y a des déviations, elles indiquent une maladie.
Qualité des aliments et cosmétiques
Une des applications les plus immédiates est l'évaluation de la qualité de la nourriture. Popp et ses collaborateurs ont fait de nombreuses mesures pour comparer les émissions de substances en fonction de leur mode de culture ou d'élevage, leur durée de stockage, leur contamination par des produits toxiques tels que les métaux. La qualité des aliments s'évalue en termes de faculté d'emmagasinage de lumière.
Par exemple, on a comparé l'émission photonique d'œufs de poules vivant en liberté à celle d'œufs de poules vivant en cage. Dans le premier cas, les photons étaient beaucoup plus cohérents.
La technique est également très utile pour évaluer la qualité des produits cosmétiques. On peut aussi évaluer leur innocuité avant de faire des tests biologiques sur les organismes, en particulier sur les animaux.
L'aspect de l'émission photonique d'un organisme végétal, animal ou humain donne des indications sur une éventuelle contamination par des bactéries ou des virus. Une application industrielle a été réalisée avec un fabricant de bière sur les mélanges de houblon fermenté.
L'ADN, un laser à photons
La forte cohérence dès rayonnements de biophotons indique qu'ils sont émis par des émetteurs coordonnés. Il reste à trouver quelle est la source de production d'un tel rayonnement dans les cellules. Nous allons retrouver l'ADN. Afin de localiser quelle était la ou les sources des photons corrélés, Popp et ses collaborateurs ont effectué des expériences supplémentaires.
Structure de la molécule d'ADN
Les 2 brins sont enroulés en hélice autour d'un axe commun, et réunis par des liaisons horizontales entre bases azotées
Les 2 brins sont enroulés en hélice autour d'un axe commun, et réunis par des liaisons horizontales entre bases azotées
Ils ont irradié des tissus biologiques avec des rayonnements lumineux. Lorsqu'on soumet des tissus biologiques vivants à un rayonnement lumineux, la matière est excitée et émet une plus grande quantité de biophotons. Lorsque cette illumination cesse, l'émission ne s'arrête pas brusquement, mais décroit plus ou moins rapidement. On peut observer de quelle manière elle décroit, à quelle vitesse. Les résultats recueillis par Popp et coll. démontrent que la décroissance est typique d'une source qui vibre, par exemple un fragment de molécule.
Georges Lakhovsky (1869 - 1942), un scientifique et ingénieur d'origine russe qui vivait en France, a été le premier à mentionner que les cellules et leurs noyaux pouvaient être considérés comme des oscillateurs biologiques. Ils se transmettent des informations en émettant des ondes électromagnétiques.
L'équipe de Popp avait l'impression que cette source vibrante devait inclure la molécule d'ADN. Pour s'en assurer, ils ont modifié l'ADN chimiquement avec du bromure d'éthidium pour voir si cela avait un impact sur la décroissance de la bioluminescence. L'ADN est normalement enroulé en hélice, mais il se déroule sous l'influence du bromure d'éthidium. Or on constate que parallèlement, la bioluminescence baisse. Il y a une relation de cause à effet bien visible entre la conformation de l'ADN et la bioluminescence. L'ADN est la source primaire et essentielle de l'émission biophotonique ultraténue.
Popp et ses collaborateurs ont démontré que des photons s'accumulent dans des petites cavités de la molécule, les exciplex. En gros, ces cavités sont constituées de deux bases se faisant face sur les 2 brins. Les exciplex fonctionnent comme des lasers. Un laser est une cavité qui résonne à une fréquence de la lumière, comme un son peut résonner dans un récipient creux. En résonnant, cette micro-cavité accumule cette lumière de façon cohérente. Puis elle la projette en faisceau à l'extérieur.
L'ADN accumule les biophotons, les guide le long de sa structure hélicoïdale et les projette en-dehors. Dans les années 60, Eisinger et Schulman avait déjà établi que l'ADN conduit les photons.
À ce stade de notre étude, les molécules n'apparaissent plus seulement comme des volumes mécaniques légèrement plastiques qui s'emboitent comme des légos, se séparent et voyagent au cours des réactions chimiques. Les molécules d'ADN sont parcourues de mouvements électrodynamiques internes innombrables. Des charges électriques et des photons circulent dans la molécule, sont transmis à d'autres atomes, en modifient l'état et induisent des émissions électromagnétiques. Elles sont extraordinairement vivantes.
Les ondes téléphoniques ou radiophoniques de notre quotidien sont aussi des ondes électromagnétiques, des photons qui transmettent des signaux qui sont décryptés en sons dans les appareils d'écoute. De la même façon, par son rôle de conducteur de photons, l'ADN peut être qualifié d'antenne électromagnétique qui reçoit et transmet des informations. Il en a les caractéristiques: à la fois allongé comme une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques, et circulaire (vu de bout) pour être une excellente antenne magnétique. C'est un oscillateur.
Régulation de réactions chimiques
En plus de l'état sanitaire des cellules, les biophotons peuvent véhiculer des informations pour indiquer ou déclencher une "action" à effectuer, telle qu'intensifier ou diminuer une réaction chimique.
La vie normale des cellules se manifeste par des réactions chimiques qui en maintiennent l'intégrité et assurent son fonctionnement et sa croissance. Les réactions chimiques sont principalement déclenchées (catalysées) et régulées par des enzymes, une catégorie de protéines. Or, on compte environ 100'000 réactions par cellule et par seconde qui font intervenir environ 10'000 enzymes. Comment ces innombrables réactions peuvent-elles être coordonnées pour aboutir à des actions coordonnées qui maintiennent l'organisme en bonne santé et assurent son adaptation à l'environnement et son développement?
La réponse se trouve dans le rôle des biophotons. Ils transportent les instructions qui permettent aux enzymes de savoir quand et où agir, en fonction de l'état physiologique de l'organisme et de son évolution. L'énergie qu'ils transportent peut parfois assurer l'activation d'une réaction. Le photon n'est pas le produit de la réaction comme il a été suggéré, mais son déclencheur. En stockant et émettant des biophotons, l'ADN peut donc diriger à distance les processus métaboliques de la cellule et fournir l'énergie nécessaire.
La quantité impressionnante de matériaux expérimentaux accumulés nous permet de fournir une image convaincante de la réalité de ces interactions électromagnétiques intercellulaires, c'est-à-dire de bio-information électromagnétique... Elle ouvre la possibilité de découvrir des solutions aux questions biologiques fondamentales comme l'évolution, la croissance, le vieillissement et le développement de nouvelles particularités." (V.P. Kaznacheev, L.P. Mikhailova, Ultraweak Radiation in Cell Interactions, 1981)
Le champ de biophotons imprègne l'organisme
Un organisme vivant est constitué d'une multitude de cellules. Chacune des cellules contient de l'ADN qui émet ses biophotons. Au total, c'est un immense flux de biophotons qui imprègne les cellules et les organes. Il constitue une sorte de mer de photons (on dit aussi un champ de biophotons).
Dr Mae-Wan Ho
Les biophotons en provenance de toutes les cellules d'un même organisme ne sont pas cacophoniques, ils sont orchestrés. Cela signifie que les molécules d'ADN émettent de façon concertée. Le champ de biophotons est à la fois le résultat de l'ensemble des photons et aussi un champ enveloppant collectif qui assure la cohérence et l'unité du système biologique.
On peut comparer cette communication au système de synchronisation d'une population de fourmis qui travaillent toutes à l'organisation commune, grâce l'information qu'elles reçoivent chacune de la part du champ collectif créé par elles.
Le champ de biophotons est porteur d'informations complexes qui circulent entre cellules et organes. Il dirige et coordonne toutes les activités métaboliques et de transformation. En introduisant la notion de champs énergétiques et ondulatoires, la biologie sort des descriptions basées uniquement sur des réactions chimiques et rejoint la nouvelle physique qui utilise le concept de champ d'informations.
L'émission continue de biophotons est une caractéristique fondamentale du vivant. Le champ de biophotons est produit en permanence et se modifie sans cesse. Dans son livre The rainbow and the Worm, la Dr Mae-Wan Ho (Chine et Angleterre) explique que le champ de photons est semblable à un fluide, comme l'eau dans un récipient, mais fait de consistance lumineuse. De la sorte, il peut être animé de vagues. Il envoie des ondes de biophotons dans son environnement.
Le champ énergétique informationnel des organismes biologiques ou biochamp
L'existence de champs de rayonnements englobant et imprégnant les organismes biologiques a été proposée par de nombreux biologistes et physiciens. L'idée de coordination cellulaire par un champ a été étudiée par Herbert Fröhlich à Liverpool (à partir de 1968) et Renato Nobili à Padoue (à partir de 1985). Northrup décrit un champ électrodynamique qui est déterminé par ses composants atomiques et réagit sur les propriétés de ces éléments. Le concept de champ morphogénétique (qui engendre les formes) a été développé d'abord par Gurwitsch en 1922 et Weiss en 1926, puis par Rupert Sheldrake dans les années 1980. En France, le mathématicien Emile Pinel (1906 - 1985) a prédit mathématiquement l'existence d'un champ global à 9 composantes qui régit la vie des cellules.
D'autres ont montré la réalité physique du champ par les traces détectables qu'il manifeste lorsqu'il est sollicité:
Effet fantôme sur une feuille coupée. Photographie de type Kirlian
Dans les années 1940, Harold Burr a mesuré le champ électrique généré par et autour des corps vivants de salamandres, grenouilles, moisissures et humains. Il a montré que le champ électrique des œufs de salamandres, entre autres, prend dès l'origine la forme du champ électrique d'une salamandre adulte. C'est comme si l'œuf avait déjà l'information de sa morphologie adulte.
La technique moderne de mise en évidence de champs particulaires est issue des travaux de Seymon et Valentina Kirlian. Elle consiste à soumettre l'organisme étudié à une tension électrique et à capter sur film photographique les effluves électriques et lumineuses qui sont produites autour de l'organisme. Cette technique a été modernisée, informatisée par le Dr Konstantin Korotkov.
Le collaborateur des Kirlian, Víctor Adamenko, a découvert en 1966 que le champ pouvait rester présent quand la feuille a été découpée, même dans les parties manquantes. Ce n'est pas la cas pour les parties évidées à l'intérieur. L'expérience a été reproduite dans plusieurs laboratoires, dont celui du Dr P. Gariaev en Russie.
Le code génétique holographique
Dr. Peter Gariaev
Merci à Wave Genetics
Le Dr. Piotr (Peter) Gariaev et son équipe, de l'Académie russe des Sciences naturelles et de l'Académie des Sciences médicales, ont étudié la nature et le fonctionnement du champ vibratoire créé dans l'organisme par l'ADN, à la fois par la théorie et par l'expérience. Leur apport essentiel est de montrer que ce champ a les caractéristiques d'un hologramme, comme nous allons l'expliquer, et que cet hologramme porte les informations génétiques d'organisation et de coordination du fonctionnement des cellules. En somme le génome comporte une partie moléculaire, celle des gènes que nous connaissons, et une partie ondulatoire, le génome ondulatoire ou supergène.
La notion d'hologramme est apparue en physique lorsqu'on a découvert des figures lumineuses transmises par un objet éclairé, et que ces figures ont été enregistrées sur film photographique. Ces figures ne se présentent pas comme une image directe de l'objet tel qu'on le voit, mais sous forme de graphiques - des hologrammes - composés des interférences que fait la lumière qui l'éclaire. L'hologramme a l'avantage étonnant de conserver l'image de l'objet en 3 dimensions et de pouvoir la restituer. De plus, chaque partie du graphique contient les informations de la totalité de l'objet. C'est pourquoi il a été nommé hologramme, ce qui signifie diagramme de la totalité.
L'idée que des hologrammes sont présents dans les organismes vivants et portent des informations a déjà été avancée par le neurobiologiste Karl Pribram, suivi par d'autres équipes. Il a démontré que les souvenirs sont enregistrés non pas dans la matière du cerveau, mais dans son champ holographique.
En accord avec les propositions de l'équipe de Gariaev, W. Schempp et P. Marcer ont montré que l'ADN a une fonction de stockage des informations et que sa capacité est considérable (A mathematically specified template for DNA and the Genetic Code in terms of the physically realisable processes of Quantum Holography, 1996, Proc. Symposium Living Computers, University of Greenwich). En outre, c'est à partir de ces concepts que Schempp a grandement perfectionné la technique d'imagerie par résonance magnétique (IRM) qui est adoptée internationalement, ce qui montre que l'hologramme n'est pas seulement une hypothèse théorique, mais une réalité physique.
Les études de Schempp montrent que les hologrammes sont inscrits dans le plan des paires de bases de la double hélice. Voilà enfin une réponse à la question de savoir pourquoi la molécule d'ADN comporte 2 brins qui portent la même information génétique. C'était incompréhensible selon le code génétique moléculaire classique.
Gariaev conçoit le génome des organismes supérieurs sous forme d'une grille holographique. Les hologrammes de l'ADN contiennent les codes fondamentaux du développement et de la forme complète de l'organisme, même quand l'organisme est à l'état d'embryon. On peut dire qu'ils sont le Soi de l'être vivant.
Langage fractal
Le champ vibratoire holographique s'appuie sur la structure entière de l'ADN et surtout sur les 98,7% non-protéinocodant, qui détiennent donc un rôle fondamental. On a vu que ces parties ont une structure fractale. Cette caractéristique est transmise dans les hologrammes porteurs des informations génétiques issues de ces parties. Cela signifie que les informations fonctionnent sur plusieurs échelles.
Gariaev insiste sur l'existence de synonymes dans les séquences de l'ADN. Par exemple, dans un codon dont on a lu les 2 premières lettres A et G, comment distinguer AG et GA, et comprendre le sens de la troisième lettre? C'est, dit-il, le contexte qui lève l'ambiguïté, comme dans le langage humain. Ce contexte est donné par le champ holographique.
L'ADN est un bio-ordinateur
En tant qu'antenne émettrice, l'ADN d'un chromosome d'une cellule peut envoyer des indications aux autres cellules. Ces indications sont émises lorsque l'ADN est interrogé par les biophotons qui parcourent l'organisme. Ce mécanisme a été vérifié expérimentalement en envoyant un faisceau laser sur de l'ADN (voir ci-dessous).
Certains hologrammes interrogés comportent les informations concernant la nature essentielle de l'être vivant. D'autres contiennent des informations sur l'état actuel de la cellule. Cet état varie sans cesse, et les hologrammes ressemblent à des films plus qu'à des photos fixes. Ils sont transmis aux cellules voisines afin que chaque cellule reçoive des indications sur l'état des autres.
Des scientifiques français pionniers et méconnus en matière de champ bio-vibratoire
En France, le mathématicien Emile Pinel (1906 - 1985) a appliqué ses analyses mathématiques à l'étude des mécanismes biologiques. Il en a déduit l'existence d'un champ global à 9 composantes qui régit la vie des cellules. Son élève et collaboratrice Jacqueline Bousquet a poursuivi ses travaux.
Le biologiste Étienne Guillé (L'alchimie de la Vie, Biologie et Tradition, éditions du Rocher, 1983) avance que la biologie est fondée sur un couple matière/vibration. La matière est le support, et la vibration porte l'information. Dès cette époque, il énonce que les zones non codantes de l'ADN fonctionnent comme des récepteurs et émetteurs de vibrations électromagnétiques. Des ions métalliques liés à la molécule d'ADN jouent un rôle de modulateurs des fréquences.
Ces travaux restent méconnus. Être connu nécessite d'être reconnu soit par sa communauté soit par l'opinion populaire. Or ces chercheurs ont été rejetés par leur communauté scientifique, car trop en-dehors des normes. Il se peut également que les résultats qu'ils livraient dérangeaient certaines instances du pouvoir. Quant à une reconnaissance populaire, cela nécessite de savoir communiquer de façon claire et simple, ce qui n'est pas souvent le cas dans le milieu scientifique. Communiquer nécessite tout un savoir-faire. Les travaux de Pinel sont d'une grande valeur, mais expliqués dans un langage mathématique très complexe. Les écrits de Guillé et Bousquet sont enrobés de jargons ésotériques et/ou techniques incompréhensibles pour les non-initiés. Toutefois, J. Bousquet a le mérite de faire connaitre les travaux de Pinel et les siens par ses conférences.
Dépassons les langages et reconnaissons le courage de ces chercheurs et la valeur de leurs travaux.
Les émissions cellulaires holographiques se produisent à partir de chacune des milliards de cellules de l'organisme. Par la fonction d'antenne réceptrice de l'ADN, l'information holographique est lue constamment par ces cellules. Cela explique la réponse coordonnée et immédiate des systèmes vivants et le maintien de l'intégrité de l'organisme. L'ADN reçoit aussi des informations en provenance de l'environnement local de l'organisme, et même de l'univers entier.
La transmission de l'information holographique est immédiate. Ceci n'est pas en accord avec l'idée d'une transmission du signal par une onde à vitesse définie. L'information n'est pas localisée, elle est en A et se retrouve immédiatement en B. C'est ce qu'on appelle la téléportation, qui a été démontrée dans le cas de particules quantiques. Cela implique que l'ADN se comporte comme un objet quantique. Il est admis que le réseau de microtubules, une structure architecturale de la cellule, joue un rôle dans ce transfert. Toutefois, selon Dirk Bouwmeester (1998) la manifestation concrète de l'information téléportée requiert aussi la transmission classique chimique ou électrique.
Ce modèle permet d'expliquer de façon simple des faits expérimentaux autrement incompréhensibles dans le cadre de la théorie classique. Les codes génétiques des plantes, ceux des animaux et ceux des humains sont très semblables et produisent des protéines analogues. Et pourtant, ils se déploient en organismes bien différents. Pourquoi? De même, dans un organisme tel qu'un humain, comment des cellules possédant le même code génétique peuvent-elles savoir si elles doivent se développer en cellule du foie ou en cellule de l'œil? La réponse est dans le champ unifié vibratoire qui transmet à la cellule l'indication de qui elle est (quel organisme), où elle se trouve (quelle partie de l'organisme) et ce qu'elle doit faire.
Le champ holographique explique aussi la capacité de régénération qu'ont certains animaux quand ils ont été mutilés. C'est le cas du lézard dont la queue a la faculté de repousser si elle est coupée. Ou encore, celui du ver Planaria dont l'organisme entier peut se reconstituer à partir de n'importe quelle partie. C'est possible parce que chaque cellule connait instantanément l'état des autres cellules.
L'existence du champ holographique explique comment les antigènes et les anticorps peuvent se reconnaitre mutuellement, comment les transposons savent à quel endroit de l'ADN ils doivent s'insérer. C'est par ce moyen que les ribosomes, unités de production de protéines dans la cellule, savent quel acide aminé ils doivent produire lorsqu'ils reçoivent un code qui a des synonymes et montre une indétermination. C'est d'ailleurs en voulant résoudre cette dernière question que Gariaev a été amené à élaborer sa théorie.
Pour Gariaev, l'ADN est bien plus qu'une antenne réceptrice - émettrice et un lieu de stockage. Il est capable d'interpréter les informations qu'il reçoit et de réagir en conséquence. L'ADN a la capacité de lire ses propres hologrammes et ceux qu'il reçoit, de les décoder, de les interpréter, de les modifier et de les enregistrer. Il a donc toutes les caractéristiques d'un ordinateur biologique.
Sources:
L'onde ADN bio-numérique, Peter P. Gariaev, Boris I. Birshtein, Alexander M. Iarochenko, Peter J. Marcer, George G. Tertishny, Katherine A. Leonova, Uwe Kaempf, 2000 (original en anglais présenté à Fourth International Conference on Computing Anticipatory Systems, Liège, Belgique)
Principles of Linguistic-Wave Genetics, Peter Gariaev, Mark J. Friedman, Ekaterina A. Leonova-Gariaeva, 2011, DNA Decipher Journal 1, 1
The Wave, Probabilistic and Linguistic Representation of Cancer and HIV, Peter P. Gariaev, George G. Tertishny, Katherine A. Leonova, 2002, The Journal of Non-Locality and Remote Mental Interactions, I, 2
Brief introduction into WaveGenetics, Its scope and opportunities, Peter Gariaev
Le champ électromagnétique qui pilote l'assemblage de l'ADN
Merci au Pr L. Montagnier
Le professeur Luc Montagnier s'est lui aussi rendu compte de l'existence d'un champ électromagnétique associé à l'ADN, en utilisant une approche expérimentale toute différente. Luc Montagnier a reçu le prix Nobel de médecine en 2008 avec Françoise Barré-Sinoussi, pour leur découverte en 1983 du virus responsable du SIDA, le VIH. Ses recherches l'ont amené à s'intéresser aux signaux électromagnétiques émis par certaines cellules et virus pathogènes. Avec ses collaborateurs, il a mis en évidence que la synthèse de l'ADN pouvait être pilotée par des signaux électromagnétiques.
Voici comment. De l'ADN de cellules bactériennes ou de virus est mis en solution dans l'eau dans certaines conditions de dilution, en présence d'un champ électromagnétique de fréquence d'environ 7 Hz qui s'est avéré être indispensable pour la réussite de l'expérience. Cet ADN est ensuite complètement retiré de l'eau. Même enlevé, son empreinte électromagnétique spécifique, autrement dit sa signature, subsiste dans cette eau et elle est mesurable. Puis, avec ce tube hermétiquement fermé, on constate que cette signature, ce champ électromagnétique, peut être transféré à un autre tube d'eau pure. Si dans le deuxième tube, on a ajouté précautieusement les constituants de l'ADN, de l'ADN est reconstitué au bout de quelques heures, reproduisant à 98% l'ADN initial. Les détails expérimentaux de cette procédure sont exposés en annexe.
Ce résultat est vraiment révolutionnaire. Jusqu'alors les biologistes considéraient que seule une autre molécule d'ADN pouvait fournir le plan d'assemblage d'une autre molécule d'ADN, comme un moule matériel qui guide la duplication. Or ici, on découvre que le plan d'assemblage de l'ADN a été fourni par sa signature électromagnétique, sans avoir besoin de moule.
C'est tout un monde qui s'ouvre à nous. Des réactions chimiques ne se font pas au hasard des rencontres, avec des molécules qui s'approchent en présentant les bons côtés, puis s'emboitent. Les réactions chimiques sont pilotées par des codes électromagnétiques.
La théorie du hasard s'effondre.
Dans les expériences de Montagnier, l'eau intervient comme moyen de transfert des codes d'assemblage, de leur enregistrement et de leur amplification en microstructures. Dans la partie suivante, les codes génétiques sont transportés par des faisceaux lumineux.
Transfert par laser de code génétique d'un organisme à un autre
Le modèle de la transmission d'information par photons a reçu des confirmations extraordinaires en laboratoire. On a vu plus haut comment Burlakov a observé que des œufs de poisson se transmettaient des informations quand ils étaient mis en présence les uns des autres, simplement par leur rayonnement propre. Or, de multiples expériences ont prouvé qu'il était possible de transférer des informations génétiques d'un organisme à un autre également au moyen d'un rayon électromagnétique programmé.
Les recherches de Dzang Kangeng
Avant que les chercheurs russes ne décrivent leurs théories, un chercheur chinois, Dzang Kangeng (quelquefois écrit Tsiang Kan Zheng) pensait lui aussi dans les années 1960 que les molécules d'un organisme vivant étaient liés par des champs informationnels et que l'ADN renfermait cette information sous forme de signaux électromagnétiques. Il décrit ses expériences dans un article traduit en français AURA Z n°3, 1993:
Le champ électromagnétique et l'ADN constituent une MATIÈRE GÉNÉTIQUE COMBINÉE existant sous deux formes: passive (ADN) et active (champ bio-électromagnétique). Cela dit, la forme passive sert à conserver l'information génétique, alors que la forme active est en mesure de la modifier... Le champ bio-électromagnétique (support de l'énergie et de l'information) se manifeste dans la bande UHF et dans celle des rayons infrarouges.
Dans les laboratoires de l'université chinoise, Kangeng invente un appareil qui projette des ondes électromagnétiques à ultra-hautes fréquences (UHF) sur un organisme. Il poursuit ses travaux à Khabarovsk en Russie où il trouve refuge suite aux événements politiques en Chine. Les ondes UHF sont polarisées avec une antenne en forme de parabole, de sphère, de cône, ou d'hexaèdre. Elles captent l'information puis la transmettent à un autre organisme.
Dans une série d'expériences, Kangeng transfère les informations génétiques de germes de blé sur des plantules de maïs. Les grains qui se forment tiennent à la fois de ceux de blé et de ceux de maïs par leur morphologie. Par le même procédé, certaines caractéristiques d'un melon, en particulier son gout, sont transférées à des germes de concombre. Ces modifications sont transmises aux générations suivantes.
D'autres expérimentations ont lieu avec des animaux. Des œufs de poule reçoivent l'information génétique issue d'un canard. La plupart des poussins naissent avec des modifications morphologiques: pattes palmées, tête plate comme celle d'un canard, long cou, etc. Les modifications enregistrées sont également transmises aux générations suivantes.
Ces résultats montrent la puissance de cet outil et ouvrent des perspectives ahurissantes. Comme tous les outils, il peut être utilisé en vue du bien de chacun, ou pour le profit égoïste et la soif de pouvoir de quelques personnages au détriment des autres. Développer ces procédés nécessite donc une réflexion fondamentale sur le sens de la vie et sur la logique du pouvoir. Il n'en reste pas moins que ces expériences nous introduisent dans les mécanismes intimes de création de la vie.
Modifications génétiques des plantes et des animaux par transfert électromagnétique
Par la suite ou indépendamment, d'autres chercheurs ont effectué le même genre d'expérimentation avec des appareillages différents. Leurs préoccupations sont principalement de trouver des moyens de guérison.
C'est en utilisant un laser à rayon rouge qu'un chercheur russe, V. Budakovski, a effectué 160 études sur des organismes divers, depuis la bactérie jusqu'aux humains en passant par les batraciens. Son taux de réussite de guérison est de 64%. Il guérit des framboisiers atteints de callosités (cellules cancéreuses) en projetant un hologramme portant l'information de la plante saine. La guérison se produit en quelques mois. Il projette aussi des informations d'œufs de grenouilles sur des œufs de salamandres, de sorte qu'ils donnent naissance à des grenouilles.
Notons que ces expériences ont eu lieu seulement avec de la lumière, sans aucune chirurgie ni recombinaison chimique d'ADN.
P. Gariaev et son équipe ont eux aussi réalisé des expérimentations analogues en utilisant un laser qui projette deux ondes lumineuses polarisées perpendiculairement, donc sans interférences entre elles (bio-ordinateur). Ces ondes traversent le tissu semi-transparent de l'organisme donneur, par des allers et retours répétés, et elles sont modulées par l'hologramme génétique. La modulation est transformée en signal radio (0,5 MHz à 1,5 MHz) selon une spectroscopie nouvelle appelée Spectroscopie par ondes Laser et Radio Polarisées (PLRS), elle est enregistrée sur ordinateur, puis transmise à un tissu receveur.
Ce protocole appliqué à des pommes de terre leur a conféré une croissance ultra-rapide et a fait apparaitre des modifications morphologiques sur leurs tiges.
Remarque sur la pensée: Certaines personnes ont la possibilité d'obtenir directement ce même genre de phénomène en concentrant leur pensée et leur sentiment, en parlant aux plantes, sans aucun appareillage. La connaissance par modification de conscience est plus directe que la connaissance scientifique et semble donner accès à d'autres processus. Elle est plus simple, mais se révèle à ceux et celles qui se dégagent des jeux de l'égo. La connaissance scientifique progresse à son rythme, avec de grands moyens techniques. Elle permet de mettre au point de nouveaux appareillages. Sa compréhension est réservée à ceux et celles qui ont suffisamment étudié.
Par ce même procédé, les chercheurs ont eu la possibilité de redonner vie à des graines d'Arabette des dames (Arabidopsis thaliana), tuées par radioactivité dans la région de Chernobyl en 1987. Ils les ont illuminées par l'hologramme de graines saines. Alternativement, ils n'ont obtenu aucun effet sur les graines si l'onde radio ne transportait pas cette information.
Fleur d'arabette des dames ou arabidopsis thaliana
Taux de survie des rats à l'injection d'alloxane après un traitement aux ondes polarisées
Groupe 1: Pas de traitement holographique, injection un jour après la dernière irradiation laser. Groupe 2: traitement à 20 m de la source, injection un mois après la dernière irradiation laser. Groupe 3: traitement à 70 cm de la source, injection un jour après la dernière irradiation laser. Groupe 4: irradiation au laser sans l'information génétique à 70 cm de la source, injection un jour après la dernière irradiation laser
Extrait de Exploring wavegenetics and wave immunity. Theoretical models, Gariaev P.P. et coll.
L'équipe de Gariaev a mené des expériences capitales de guérison sur des rats dont ils ont détruit le pancréas avec une drogue (alloxane). Par le laser, ils ont illuminé les rats avec l'information holographique d'un pancréas parfaitement sain, prélevé sur un autre rat nouveau-né. Lorsque l'exposition au laser était suffisante, leur pancréas s'est reconstitué complètement et les rats se sont régénérés. Dans un lot témoin qui n'a pas reçu ce traitement, les rats sont tous morts. Les cellules se reconstituent à partir de cellules souches qui évoluent en cellules pancréatiques.
Dans une autre série d'expériences, ils ont d'abord illuminé les rats par holographie pour leur conférer un plus grand pouvoir de résistance, à titre de prévention. Puis ils les ont soumis à des injections d'alloxane et ont mesuré leur résistance (voir tableau ci-dessus). Les résultats montre qu'elle a augmenté de manière décisive.
Guérisons possibles de maladies chez les êtres humains, y compris le SIDA
Après son expérience sur les poussins, le chinois Dzang Kangeng a montré que son procédé donnait la possibilité de transférer des informations de guérison et de rajeunissement à un humain. Une expérience a été menée en 1987 sur son père agé de 80 ans. Les résultats ont été positifs: A la suite du traitement, les maladies chroniques qui le tenaillaient depuis 20 à 30 ans ont disparu, de même que l'allergie cutanée, le bourdonnement d'oreille (acouphène) et la tumeur bénigne; six mois plus tard, des cheveux ont repoussé à l'endroit de la calvitie et les cheveux gris sont redevenus noirs. Un an après l'expérience, une dent a repoussé sur l'emplacement de celle arrachée 20 ans plus tôt. Il en a tiré un brevet.
Le procédé de P. Gariaev offre des possibilités analogues: Il est possible d'offrir les perspectives suivantes concernant la manipulation de signaux avec des structures génétiques: La mise en œuvre d'une surveillance à distance de processus d'information clé dans les bio-systèmes au moyen de tels bio-ordinateurs, ayant pour application des traitements contre le cancer, le SIDA, les malformations génétiques, le contrôle sur des processus socio-génétiques et, finalement, l'allongement de la vie humaine... La protection active contre les effets d'ondes destructrices, grâce aux détecteurs de canaux d'information d'onde.
En ce qui concerne le SIDA et son virus associé, le VIH, Peter Gariaev, George Tertishny et Katherine Leonova (2002) affirment qu'on devrait pouvoir supprimer la fabrication des protéines virales par le VIH (virus du SIDA) en envoyant les codes des cellules saines. On peut donc envoyer des "vaccins" électromagnétiques contre les virus VIH, ainsi que d'autres virus.
C'est l'origine de l'idée qu'une stratégie avec une approche essentiellement nouvelle du traitement du VIH et du cancer suppose la compréhension et la possibilité de gérer la logique d'un génome multi-vectoriel... Si nous connaissons les principes de fonctionnement du ribosome dans un mode contextuel, alors nous pouvons lutter avec succès contre le VIH dans la zone de régulation des ondes ribosomales (laser, solitonique, polarisation et ondes radio). Les ribosomes, qui synthétisent les protéines du VIH, doivent avoir des vecteurs d'onde fins pour leur gestion à travers les voies du contexte d'arrière-plan. Si on les connait, il est possible de supprimer la synthèse des protéines virales par des champs extérieurs artificiels modifiés analogues à ceux des cellules normales... De façon similaire à ce qu'a trouvé la Nature, il deviendra possible de concevoir un vaccin ondulatoire simple contre le VIH, d'autres virus et des bactéries.
Le procédé a été appliqué en 2011 avec succès à une petite fille de 2 ans atteinte de fibrose kystique avec dégradation du foie et du pancréas, grâce à un hologramme provenant de sa cousine saine.
Alain Boudet - Dr en Sciences Physiques
Source
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