05 février 2014

ça continue : pré-majorité à 16 ans

La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, a officiellement lancé ce lundi les travaux pour le futur projet de loi famille. Parmi les mesures à venir, la création d'un statut juridique nouveau pour les 16-18 ans, qui leur ouvrirait notamment le droit de vote aux élections locales.

La pré-majorité à 16 ans, c'est peut-être pour bientôt. La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, a dévoilé lundi les groupes de réflexion installés dans le cadre de la préparation du futur projet de loi famille, qui sera présenté en Conseil des ministres avant les municipales. Mais d'ores et déjà, une des mesures-phare agite l'opinion. La ministre planche en effet sur un nouveau statut juridique pour les 16-18 ans, qui leur ouvrirait notamment le droit de vote aux élections locales.

Concrètement, cette pré-majorité pourrait aussi leur permettre de créer une association sans l’autorisation préalable des parents ou encore d’avoir un plus grand choix personnel concernant leur orientation scolaire et leur futur professionnel. L’objectif : "responsabiliser les adolescents pour en faire des citoyens éclairés".

Les Français hostiles à l'ouverture du droit de vote aux 16-18 ans

Pas encore adoptée, la mesure fait pourtant déjà débat. Est-elle vraiment nécessaire ? Est-on mature politiquement à 16 ans ? Pour le sociologue Michel Fize, qui milite en faveur de cette proposition, "la conscience politique des jeunes s'affirme de plus en plus de nos jours". "A 16 ans, on a le droit de signer un contrat de travail ou de s'engager dans un syndicat étudiant, souligne-t-il pour metronews. Si l'on reconnaît leur capacité à exercer un travail, pourquoi pas celle de déposer un bulletin dans une urne" ?

La réflexion ne concernerait pour le moment que les élections locales. Michel Fize, qui dit avoir travaillé aux côtés de la ministre sur ce sujet, le reconnaît : "quand on voit le tollé que provoque cette proposition pour les élections locales, il vaut mieux ne pas aller plus loin pour le moment".

C'est en effet peu dire que les Français n'adhèrent pas à l'idée. Selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest France, publié fin septembre, 82 % des personnes interrogées sont opposées à une telle réforme. Près de la moitié se dit même "très opposée". Ironie de la situation, les jeunes ne sont guère plus convaincus que leur aînés : seulement 22% des 18-24 ans sont pour.

Source

Paul : il y a un objectif caché dans toutes les mesures délirantes prises depuis un moment: légalisation de la pédophilie, destruction de la famille.

5 commentaires:

  1. Qui a donné l'ordre à nos politicards de réformer la société, alors qu'il n'y a aucun problème de ce point de vue là ! QUI est derrière toutes ces manigances? Le pourquoi,nous pouvons le deviner...La Loba

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  2. Haro sur la base.

    Ahahahah
    "responsabiliser les adolescents pour en faire des citoyens éclairés",....... par la télévision!

    Satanistes traîtres and Co.

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  3. mmmh, l'objectif premier à mon avis est de créer un nouvel électorat favorable à la gauche. La jeunesse est plus attirée par le ps qui véhicule (mouarf, je rigole) des idées de justice, égalité, etc. Bon! Aujourd'hui ces "valeurs" servent à instaurer une dictature molle, mais quand on est jeune on a encore beaucoup d'illusions.

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  4. "il vaut mieux ne pas aller plus loin pour le moment"

    Tout est dit, à la première occasion favorable, ils nous le fourguent...

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  5. Au point de vue logique, faire voter des enfants (immatures) va à l'encontre de l'intérêt général et cela dénature la "des mots crassie" déjà complètement dévoyée.
    Les enfants sont facilement manipulés et dupés par la propagande et les fausses promesses de nos démagogues zélus. Ils voteront sans doute pour la gôche ou la droâte de gouvernement.

    Le but véritable est sans doute ailleurs, comme explique Paul. Donner la "majorité" avancée à 16 ans, permet à coup sûr d'introduire la notion de "majorité sexuelle" anticipée si chère aux pédophiles.
    Avoir des relations sexuelles contraintes ou sous influence avec un enfant de 16 à 18 ans sera requalifié en sexe entre adultes consentants. Les z'aventures au Maroc et ailleurs de Jack Lang ou Fréd Miterrand n'auront plus lieu de choquer non plus.

    Nous pouvons nous rappeler que le mariage forcé d'enfants, dans certains pays en particulier "islamiques" est une énorme mépris de la condition féminine. Si la majorité est abaissée, la notion de mariage forcé d'enfants sera évidemment supprimée, c'est ce que souhaite l'oligarchie de ces pays là.

    L'ami Pierrot

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