02 août 2012

Carpe diem quam minimum credula postero


Le propre de l’attente c’est de faire croître le désappointement au fur et à mesure que l’échéance s’éloigne … comme si la pression accumulée chaque jour ne faisait que faire s’allonger la distance nous séparant de l’éclosion finale !

Vu ici

2 commentaires:

  1. La "sagesse" du Carpe Diem c'est de "profiter du jour", autrement dit, vivre dans le PRESENT. littéralement "Cueille le jour présent (sans te soucier du lendemain)".

    Nous savons en effet, que le passé est largement horrible et falsifié, et que le futur est largement effrayant et truqué, volontairement ou non, par toutes sortes d'informations morbides et cauchemardesques.

    Reconnaissons que toutes les prédictions, prophéties, prévisions, dénonciations, qui nous sur-informent d'un futur apocalyptique - que ce soit la victoire de l'Empire (NWO), la destruction de 90% de l'humanité par diverses méthodes, voire l'apocalypse au sens cataclysmique....sont là en définitive pour nous affoler et nous gâcher la vie.

    D'abord nous n'y pouvons rien changer individuellement, et vivre dans cette terreur c'est se pourrir soi-même la vie, et celle de nos proches.

    Alors "vivons au jour le jour", CARPE DIEM, en faisant en sorte de ne pas faire de tort à autrui et ne tâchant de voir le bon côté des choses. Nous sommes en "sursis" peut-être, mais la prolongation du sursis est un MIRACLE QUOTIDIEN.
    Henri Fabre (Mutation2012) n'en revient toujours pas !

    Et peut-être qu'un jour nous pourrons commencer sans crainte et surtout sans dommage pour nous à nous projeter dans un futur plaisant. Parce que ceux qui fomentent le cauchemar auront perdu leur énergie grâce à notre grande tranquillité du "vivre au jour le jour".
    Et n'oublions pas que nous sommes incarnés ici et maintenant, pour profiter à chaque instant de notre "chemin de vie"...

    L'ami Pierrot

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  2. Alors voilà, il ne faut rien attendre, et nous ne serons pas déçus.
    Pas toujours facile, d'ailleurs, de ne pas se projeter dans le futur et de ne rien souhaiter pour demain ou après.

    Si l'on considère la vie terrestre, nous sommes en sursis depuis le jour de notre naissance. Alors profitons de ce sursis.

    Ce qui m'est pénible un peu personnellement, c'est de passer l'éponge sur mes souvenirs : jours heureux qui ne reviendront pas. Mais là aussi, il faut se faire une raison. Biologiquement nous vieillissons et nous devenons moins rapides, moins compétitifs, moins actifs, quoi. Plus seuls aussi, pour certains d'entre nous.
    Le bon côté de la chose, c'est que nous disposons de plus de temps pour nous-mêmes, en général. Et ça fait du bien de s'occuper un peu de soi, enfin. Et de faire plus de choses improvisées (que l'on ne peut pas faire lorsque l'on a des enfants à charge.)

    Rien n'est idéal de toute façon.

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