Les problèmes auxquels le monde doit faire face dans les 10 prochaines années sont considérables : surpopulation, pénurie de pétrole et de matières premières, dérèglements climatiques, baisse de la production de nourriture, tarissement de l'eau potable, mondialisation débridée, dettes colossales... La convergence de ceux-ci aura comme probable conséquence un effondrement économique qui ne laissera personne indemne, riche ou pauvre. Comment se préparer ? Comment survivre à ces prochaines années de grands changements qui seront à la fois soudains, rapides et violents ? Êtes-vous prêts ? Avez-vous accès à de l'eau potable si rien ne sort de votre robinet et si les supermarchés sont vides ? Et dans ce cas, comment allez vous protéger votre famille de votre voisin affamé, des gangs locaux ou d'un état devenu mafieux et totalitaire? Comment allez-vous protéger vos biens dans un monde où la finance n'existe plus ? Vous croyez que ces questions sont absurdes ? Tentez votre chance alors ! Les lecteurs de ce livre auront à leur disposition les plans, les outils et les solutions, basées sur des exemples pratiques et sur l'expérience de ceux qui l'ont déjà fait, pour survivre et commencer à se préparer progressivement. Ce livre pourrait bien être le meilleur investissement que vous n'ayez jamais fait.
On part pour ce scénario, de 2 postulats :
RépondreSupprimer- le premier, c'est que prime la survie du corps, puisqu'il s'agit de "survivre".
- le deuxième, c'est qu'il n'existe aucun moyen réel de fournir de l'énergie (ce qui est à la source de la production de tout en ce monde) en dehors des filières "fossiles" et "nucléaire".
L'ami Pierrot
Ouaip, et si l'on ne veut pas de ce monde là, car la vérité est ailleurs, à fortiori en soi, ben on ne regarde même pas la vidéo.
RépondreSupprimerSe battre pour survivre c'est finalement déjà ne plus vivre (mais est-ce qu'on peut dire qu'un seul humain, sur cette matrice falsifiée, a déjà vécu?)et mourir en homme libre n'est-ce pas justement abandonner toute idée de résistance?
On se bat sur cette planète depuis toujours, il y a quelques accalmies de temps en temps, puis ça repart de plus belle.
RépondreSupprimerOn se bat d'autant plus que l'on est pas préparé à affronter l'adversité. Les bisounours ce n'est pas encore pour maintenant, mais qui sait ?
"Le profit" et non l'entr'aide... voilà notre mal.
RépondreSupprimerLes énergies alternatives pourraient être mises en oeuvre (vent, solaire)... On pourrait essayer tout du moins.
Mais il y a trop de profit à la clé pour une certaine partie de la population, à garder le pétrole et le nucléaire comme énergies principales, par exemple.
Il nous faudrait changer nos mentalités, afin que nous puissions nous rendre compte de ce qui nous est nécessaire et non pas que nous cherchions sans cesse à vouloir le superflu.
Je fais partie des pauvres, en France (8000 euros de revenus pour l'an dernier) mais je suis consciente que j'ai tout de dont j'ai BESOIN : un toit, de la nourriture, des vêtements. Et j'ai même le superflu : internet, téléphone portable...
Lorsque j'entends mes aînés parler de leurs conditions de vie au siècle dernier, j'ai honte de me plaindre.
Et si nous PARTAGIONS tous ? C'est la seule façon de nous en sortir, je pense.
"I have a dream", comme disait quelqu'un en 1963... ce rêve qui lui a coûté la vie. J'ai ce même rêve peut-être utopique.
Je te comprends, Elba, j'ai un demi siècle d'age et le souvenir des anciens, mon père à 86 ans.
RépondreSupprimerDans sa jeunesse (jusqu'à 20 ans) il se chauffait au bois, l'eau venait du puits, il s'éclairait au pétrole, faisait la vaisselle avec de l'eau et du sable, lavait le linge l'hiver au lavoir, mangeait les légumes du jardin et tuait le cochon pour se nourrir. Ces générations avaient toujours le savoir pour survivre dans les pires conditions.
Mais ce qu'il me disait aussi était la misère dans laquelle sa famille vivait, sabots, vêtements délabrés, pas d'argent pour se soigner et obligation d'avoir beaucoup d'enfants pour qu'ils subviennent aux besoins des parents âgés. Travail du matin au soir pour 3 fois rien, obliger de voler du blé pour nourrir les poules et le moudre pour faire de la farine. Il travaillait dans des fermes.
Les propriétaires terriens avaient tout ce dont ils avaient besoin, normal, ils exploitaient les ouvriers agricoles et les maintenaient sous leur dépendance. De l'esclavage.
Voilà ce qui n'est plus supportable, des hommes qui exploitent d'autres hommes. Bien-sur que l'on peut survivre avec rien, mais c'est inacceptable. Chacun doit se battre pour être considéré comme un "Humain". Personne n'est supérieur à un autre et ne devrait avoir la possibilité de l'avilir.
CE qui me fâche, c'est le retour progressif mais certain des conditions de vie de mes parents, tout ça pour permettre l’enrichissement infini des hommes qu'il y a derrière les "marchés". Insupportable !!!