Nous ne sommes pas, chez Mecanopolis, de fervents partisans du régime de Bachar al-Assad et, cela particulièrement parce que nous connaissons la Syrie – de l’intérieur et en profondeur - nous ne saurions ignorer qu’il y ait dans ce pays, comme dans d’autres, des raisons objectives de contester le pouvoir en place.
Néanmoins ce qui nous intéresse, c’est la réalité des faits, et dans ce sens le témoignage de Thierry Meyssan, dont on ne peut douter de la sincérité, est une pièce essentielle pour comprendre la partie qui se joue dans ce qu’il est pudiquement convenu d’appeler les « révolutions arabes » – et pour lesquelles nous avons dit déjà ce que nous pensions.
Néanmoins ce qui nous intéresse, c’est la réalité des faits, et dans ce sens le témoignage de Thierry Meyssan, dont on ne peut douter de la sincérité, est une pièce essentielle pour comprendre la partie qui se joue dans ce qu’il est pudiquement convenu d’appeler les « révolutions arabes » – et pour lesquelles nous avons dit déjà ce que nous pensions.
De même qu’il ne nous a pas échappé que, comme dans le cas du colonel Kadhafi, ce sont ceux qui invitaient hier el-Assad à leur table qui le qualifient aujourd’hui de dictateur sanglant et prétendent – une fois n’est pas coutume – donner des leçons de démocratie alors qu’ils contestent ce droit tous les jours davantage à leur population.
Une chose est certaine – malgré ce qu’en disait le ministre Juppé dimanche – les jours du président syrien ne sont pas « comptés » et le pouvoir en place à Damas n’est de loin pas en train de vaciller. La Syrie ne sera pas une autre Libye.
La deuxième partie de cet entretien sera publié en fin de semaine.
Il est vrai que la Russie et la Chine, et probablement aussi l'Iran, soutiennent la Syrie. Il s'agit d'un jeu géo-politique où les forces du NWO (l'Otan) tentent de faire basculer le moyen Orient.
RépondreSupprimerLes méthodes éprouvées sont la subversion ou "révolution" (mercenaires appelés "déserteurs" financés et armés par la CIA et MI5, voire le Mossad) et par le recours aux sanctions de l'ONU et de leurs laquais de la "ligue arabe" (monarchies pétrolières, pro-NWO). Puis la guerre, l'attaque par l'alliance que l'on devrait appeler en fait, l'Axe.
L'Axe réunit en son centre E-U, GB et France, bras armés du plan mondialiste totalitaire.
L'ONU apparaît bien, comme une quasi chambre d'enregistrement des plans du NWO, à l'exception heureusement des vétos que peuvent opposer la Chine et la Russie.
L'ami Pierrot
Cela me fait bizarrement penser à la poignée de main entre kadhafi et sarko.
RépondreSupprimerCela donne la valeur des hommes qui nous gouvernent, des lâches, hypocrites, au services de leurs maîtres de la finance. Aucun honneur, aucune fierté, aucune fiabilité, l'ami d'aujourd'hui sera ton fossoyeur de demain. Tout ça pour une poignée de dollars, sur un compte numéroté dans un paradis fiscal...
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