La guerre n’aura pas lieu parce qu’elle est terminée et les Américains ont gagné. Avec leur guerre en Ukraine, ils ont réussi à monter l’Europe occidentale contre la Russie. Ça fait plus d’un siècle qu’ils s’y emploient. Ils ont gagné et ils ont fait gagner la Russie, çà, ce n’était pas prévu. Disons que c’est cette « géniale » Union européenne qui a fait gagner la Russie. En lui imposant des sanctions économiques, elle a boosté son économie, en la diabolisant, elle l’a rapprochée de la Chine, de l’Inde et du Brésil…
S’il y a deux gagnants, ce sont les États-Unis et la Russie, s’il y a un perdant, ce sont bien les pays d’Europe occidentale. Il n’y a aucune raison d’imaginer en envenimement armé de ce conflit en Ukraine par le camp américain puisque les forces sont inégales dans la bataille et que les intérêts des uns comme des autres sont servis. Comme le dit Édouard Husson :
«L’armement nucléaire américain est très diminué, celui de la Russie lui est bien supérieur».
L’illusion d’une menace nucléaire
C’est dire si les Américains et leurs petits serviteurs de l’OTAN n’ont pas l’intention d’appuyer sur le bouton puisque ça irait certainement contre leurs intérêts.
Ça, c’est le raisonnement des dirigeants qui réfléchissent et qui veulent du bien à leurs peuples. Pour ceux qui ne réfléchissent pas, la situation est différente et ils pourraient se trouver que l’un ou l’autre, parmi les plus bêtes d’entre eux, se risque à envoyer du lourd. Suivez mon regard.
Ces dangereux et stupides dirigeants, essentiellement français et anglais, essaient de nous faire peur en nous donnant l’illusion qu’ils seraient capables de provoquer l’irréparable pour une guerre qui ne se déroule pas sur leur territoire. Ils sont capables de proférer la pire des menaces, juste pour asseoir leur pouvoir, pour paraître cohérents dans leur idéologie. L’idéologie se répand comme la peste et s’empare des plus réactionnaires s’ils n’y font pas attention. L’idéologie et la communication sont les armes des temps modernes. Ce sont les armes des impuissants, de ceux qui n’ont pas les moyens de comprendre une situation, d’intervenir intelligemment et d’éviter l’escalade armée dans un conflit. Observons d’où vient la première bombe et nous trouverons, à son lancement, les gens les plus bêtes, les plus agressifs, ceux qui sont dotés des sentiments les plus belliqueux et criminels. J’ai bien dit la première bombe, la toute première, pas les suivantes, pas les réponses à la première, qui se justifient la plupart du temps.
S’il y a deux gagnants, ce sont les États-Unis et la Russie, s’il y a un perdant, ce sont bien les pays d’Europe occidentale. Il n’y a aucune raison d’imaginer en envenimement armé de ce conflit en Ukraine par le camp américain puisque les forces sont inégales dans la bataille et que les intérêts des uns comme des autres sont servis. Comme le dit Édouard Husson :
«L’armement nucléaire américain est très diminué, celui de la Russie lui est bien supérieur».
L’illusion d’une menace nucléaire
C’est dire si les Américains et leurs petits serviteurs de l’OTAN n’ont pas l’intention d’appuyer sur le bouton puisque ça irait certainement contre leurs intérêts.
Ça, c’est le raisonnement des dirigeants qui réfléchissent et qui veulent du bien à leurs peuples. Pour ceux qui ne réfléchissent pas, la situation est différente et ils pourraient se trouver que l’un ou l’autre, parmi les plus bêtes d’entre eux, se risque à envoyer du lourd. Suivez mon regard.
Ces dangereux et stupides dirigeants, essentiellement français et anglais, essaient de nous faire peur en nous donnant l’illusion qu’ils seraient capables de provoquer l’irréparable pour une guerre qui ne se déroule pas sur leur territoire. Ils sont capables de proférer la pire des menaces, juste pour asseoir leur pouvoir, pour paraître cohérents dans leur idéologie. L’idéologie se répand comme la peste et s’empare des plus réactionnaires s’ils n’y font pas attention. L’idéologie et la communication sont les armes des temps modernes. Ce sont les armes des impuissants, de ceux qui n’ont pas les moyens de comprendre une situation, d’intervenir intelligemment et d’éviter l’escalade armée dans un conflit. Observons d’où vient la première bombe et nous trouverons, à son lancement, les gens les plus bêtes, les plus agressifs, ceux qui sont dotés des sentiments les plus belliqueux et criminels. J’ai bien dit la première bombe, la toute première, pas les suivantes, pas les réponses à la première, qui se justifient la plupart du temps.
La guerre, entre business et spectacle médiatique
Observons maintenant les donneurs de leçons, les provocateurs de tous bords, ceux qui font peur, qui brandissent la menace. Ceux-là aussi sont bien inoffensifs, ils ne feront rien que provoquer, jacasser et pour finir par se faire du mal (à ranger parmi les plus bêtes). Regardons et écoutons maintenant ceux qui en parlent, et ils sont nombreux! Oui, la guerre est un business, elle n’est pas qu’un juteux business pour l’industrie de l’armement, elle rapporte aussi beaucoup à la communication de la guerre. Tous les journalistes, toutes les rédactions se jettent sur le sujet de la guerre. Ça marche, ça fait vendre. Il faut discerner l’axe de réalité au travers de toute cette nébuleuse de mensonges et de manipulations, il faut y voir clair. Il y a deux méthodes dialectiques de compréhension de ces guerres.
La première est celle des spécialistes, ceux qui ont une connaissance de l’Histoire et qui passent beaucoup de temps à tout analyser. Aucune action guerrière, aucune déclaration, aucun commentaire sur les actions et sur les déclarations ne leur échappe, et c’est dans l’ensemble de toutes ces informations qu’ils se forgent une compréhension à peu près objective des événements. La seconde est une vision métaphysique des phénomènes. Une vision philosophique plus générale qui se passe de savoir ce qu’untel a dit et ce que l’autre a répondu. Cette vision philosophique de tout phénomène social est une dialectique de la totalité : c’est la méthode du tout ou rien. Les détails échapperont à cette méthode, mais le sens général ne lui échappera pas. C’est cette vision globale qui lui permet de devenir une tautologie, une théorie objective du déroulement des guerres dans le monde et dans l’Histoire.
Le danger réside dans l’intermédiaire entre les deux méthodes. Ce sont tous les stades qui se trouvent entre la microanalyse et la macroanalyse. Tous ces stades d’analyse sont dans l’erreur.
La peur comme outil de contrôle : guerre, pandémie et propagande
En sachant que ce qui dicte les actions des acteurs d’une guerre n’est que leurs intérêts personnels et ceux des groupes financiers, de l’industrie, il n’est pas très compliqué de comprendre qu’une guerre mondiale ne profitera à personne. Dans un monde globalisé, le commerce est roi et freiner ou stopper le commerce quelque part est toujours une mauvaise option. Par contre, faire pression sur l’opinion, effrayer les gens, les occuper, sera la méthode de l’avachissement (sic) qui lobotomisera le peuple et permettra d’installer en douce toutes les réformes sauvages pour tenter de sauver la gestion catastrophique et suicidaire des chefs de gouvernements, aussi bêtes qu’incompétents, aussi corrompus qu’arrogants.
Argument des politiques au bord du gouffre :
«Regardez, c’est l’apocalypse, je vais être obligé de vous taxer pour nous sauver».
Ceci posé, il est tout aussi facile de comprendre, que les médias ont intérêt, non pas, à ce que la guerre éclate, mais bien à ce qu’elle s’éternise. La cruauté des médias n’a pas de limites et ne souffre d’aucun complexe. Ce ne sont pas les médias qui sont cruels, ce sont les intérêts financiers qui les rendent cruels. C’est pourquoi les médias subventionnés sont tous dans le mensonge, la corruption et l’obéissance aux ordres des intérêts de leurs financiers, pendant que les médias indépendants, les vrais, les purs, sont naturellement plus objectifs et honnêtes. Nous comprenons ici le lien direct et insécable entre pouvoir, finances et endoctrinement. Il y a bien deux guerres, la première se déroule sur le champ de bataille, dans les chars, dans les tranchées et aux commandes des drones, la seconde se déroule dans le spectacle de la guerre et son illustration, sa représentation. Autant le champ de bataille ne ment pas et vit ses propres souffrances, autant le spectacle de la guerre n’est qu’un tissu de mensonges, d’influences, d’intérêts et de pressions politiques. C’est en comprenant les intérêts et les risques des parties en présence que l’on a une chance de s’approcher de la vérité. Tout le reste, c’est du bla-bla, donc essayons de nous nettoyer les yeux et les oreilles de tous ces bavardages et libérons-nous de ces peurs fomentées par les médias et les chefs d’État en manque de réussite qui essaient de se rendre intéressants en jouant les va-t-en-guerre.
La peur organisée d’une maladie synthétique a précédé la peur d’une guerre nucléaire, qui débouchera sur la peur artificielle de la prochaine pandémie organisée.
Comprendre les mécanismes c’est maîtriser sa peur, refuser la propagande c’est se libérer. La liberté est dans le détachement, pas dans l’asservissement. Ne les écoutons plus, ils finiront par se taire.
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/11/28/la-guerre-mondiale-naura-pas-lieu-par-pol-quadens/?
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