Il est très difficile de gouverner aujourd’hui… Le premier amendement constitue un obstacle majeur. – John Kerry.
Ainsi parlait la coupe de cheveux à la recherche d’un cerveau qui s’est présentée à l’élection présidentielle de 2004. Quelque chose n’allait pas à l’Hôpital Conception Central la nuit où Dieu a créé John Kerry. Peut-être qu’ils étaient à court d’inventaire pour le matériel qui va à l’intérieur de la tête, et qu’ils ont donc exagéré sur le matériau de couverture. Peut-être lui ont-ils aussi attribué un testicule supplémentaire en guise de compensation. Il fallait certainement des couilles (mais pas de cervelle) pour affirmer, depuis la scène du Forum économique mondial (WEF), que la liberté d’expression encombre la marche de l’Amérique vers le totalitarisme.
La déclaration malheureuse de Kerry vous dit tout ce qu’il faut savoir sur la façon dont le parti de John F. Kennedy s’est transformé, des années plus tard, en une secte démoniaque cherchant à détruire tout ce qui était autrefois noble et droit dans notre pays. Si la désinformation existe – et cette affirmation est douteuse car, en réalité, il n’y a que la vérité et le mensonge -, le principal dispensateur de cette désinformation est notre propre gouvernement dépravé. Chaque morceau qu’il publie est une sorte de contre-pensée orwellienne.
Hier encore, l’ancien procureur général Eric Holder a déclaré à Jen Psaki, de MSNBC, à propos du retour de Trump au pouvoir : « Ils utiliseront les mécanismes du ministère de la justice pour s’en prendre aux personnes qui sont leurs adversaires politiques. C’est quelque chose qui ne s’est jamais vraiment produit dans l’histoire de cette république ». Holder est peut-être né la nuit, mais probablement pas la nuit dernière.
Apparemment, il n’a pas remarqué l’usage que l’actuel procureur général Merrick Garland a fait du ministère de la justice de « Joe Biden », pliant le ciel, la terre et la loi pour mettre Trump derrière les barreaux et le ruiner – sans parler des dizaines d’avocats proches de Trump poursuivis dans des affaires farfelues en raison de leurs efforts pour poursuivre les fraudes électorales lors des élections de 2020.
La semaine dernière, Hillary Clinton s’est montrée tout aussi convaincante avec Margaret Hoover dans l’émission Firing Line de la chaîne PBS, en déclarant : « La presse a besoin d’un récit cohérent sur le danger que représente Trump ». Bien sûr, elle ne cesse de l’affirmer – et les médias le répètent – sans jamais préciser quel est ce danger. Alors, je vais vous le dire : Hillary Clinton et des centaines de fonctionnaires affiliés au Parti démocrate, passés et présents, craignent d’être soumis à une procédure judiciaire pour des crimes allant jusqu’à la trahison pour leur conduite au cours de la dernière décennie, y compris le meurtre de masse et la blessure de millions de personnes avec leur politique Covid, leur complicité délibérée avec des millions de personnes qui traversent la frontière illégalement, leur utilisation de plusieurs agences gouvernementales pour restreindre le premier amendement, leur abus de pouvoir du DOJ et du FBI dans des poursuites malveillantes, leurs jeux de passe-passe qui font passer l’argent des contribuables à des centaines d’ONG de copinage, et leur utilisation de l’Ukraine comme blanchisserie pour l’ensemble du cartel criminel de la Beltway. Et ce n’est certainement pas tout.
C’est le dernier élément de cette liste qui a provoqué la destitution n° 1 de Trump, qui a failli s’en enquérir lors de l’appel téléphonique fatidique de 2019 au président Zelensky. Et, bien sûr, c’est exactement dans ce gouffre de corruption que la famille Biden s’est servie en millions de dollars détournés pendant que Joe n’était pas en fonction, et que son fils, homme à tout faire, gambadait à travers le monde en arrachant encore plus de millions à des arbres à argent de divers pays exotiques, partout où il atterrissait. Tout cela pour dire que le « danger » que représente Trump est pour eux personnellement et directement, et certainement pas pour « notre démocratie », leur cri de guerre bidon. Alors, maintenant vous savez.
Nombre de ces acteurs ont été mis à terre au cours de l’année écoulée, voire plus. On n’entend plus beaucoup parler ces jours-ci de gens comme Jim Comey, John Brennan, Jim Clapper, Andy McCabe, Tony Fauci, Peter Hotez, et bien d’autres encore, qui étaient si actifs à s’épancher sur les chaînes câblées après que le blob eut réussi à installer « Joe Biden » comme son « barbu » dans le bureau ovale. Aujourd’hui, ils sont tous terrorisés par l’échec spectaculaire de l’immense batterie d’attaques contre Trump, qui n’a pas réussi à l’empêcher de se représenter, et par l’échec des deux premières tentatives d’attenter à sa vie. Pendant ce temps, Garland, Mayorkas, Christopher Wray, restent dans les tranchées, réduits à faire de l’obstruction à tous les efforts visant à obtenir d’eux des réponses directes sur la façon dont ils gèrent les choses. Et en face d’eux, il y a leur supposée protectrice, Kamala Harris, la candidate la plus incapable que l’on puisse imaginer. Pas étonnant qu’ils soient si désespérés.
En contraste avec toute cette trahison de bas étage dans et autour du Parti du chaos et de ses agents corrompus et dépravés qui craignent que la loi ne se retourne contre eux, il y a eu l’événement Rescue the Republic (Sauvez la République) au centre commercial de Washington dimanche. L’intelligence et l’honnêteté qui y régnaient étaient un rappel saisissant des sentiments qui ont donné naissance à notre pays. RFK Jr, Tulsi Gabbard, Jordan Peterson, Matt Taibbi, le sénateur Ron Johnson, Del Bigtree, le Dr Pierre Kory, le Dr Robert Malone et bien d’autres personnalités s’alignant sur la campagne Trump ont délivré un message émouvant après l’autre, nous informant que les vertus cardinales de l’honneur, de la force d’âme, du courage et de la justice sont toujours vivantes à l’arrière-plan de cette nation endolorie. Je n’ai jamais entendu d’appel extemporané plus éloquent à nos vertus humaines communes que le discours prononcé par le Britannique Russell Brand, censé être un humoriste. C’était du Shakespeare.
Demain, nous entrons donc dans le mois d’octobre, le mois des « surprises » promises, et généralement pas des plus heureuses. Hillary y a fait allusion dans son discours lors de l’émission Firing Line. Sa bande (Huma, Alex Soros) a-t-elle quelque chose dans sa manche ? Le faux procureur spécial (nommé illégalement et non confirmé par le Sénat) Jack Smith qui se présente dans la salle d’audience fédérale du juge Tanya Chutkan à Washington avec un gros dossier détaillant son nouvel acte d’accusation préparé pour remplacer l’affaire précédente qui a déraillé à la suite de la décision de la Cour suprême au début de l’année sur l’immunité présidentielle ? Des équipes d’assassins qui parcourent le pays à la recherche de Trump ? Et il ne s’agit là que des inconnues connues.
Mais il y a quelque chose d’autre dans l’air, à un peu plus d’un mois de cette journée électorale fatidique. On a l’impression que suffisamment d’Américains ont retrouvé leurs esprits pour agir contre la guerre, la censure, l’ouverture des frontières et le règne despotique d’une masse bureaucratique malveillante pour laquelle personne n’a voté. Des fraudes aux bulletins de vote par correspondance sont déjà découvertes. Trump pourrait finalement survivre à cette épreuve de la campagne, malgré tous les efforts de ses ennemis. La nation pourrait sortir de ce bourbier d’autodestruction et de désespoir après tout. Nous avions l’habitude de dire fièrement que nous vivons dans un pays libre. Il peut l’être à nouveau.
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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