Nous sommes la majorité, nous sommes des milliards, nous sommes le monde. Chez nous, l’homme ne tombe pas enceinte, les femmes ne portent pas de barbe et l'intestin n’est pas un organe reproducteur.
Nous venons d’un père et d’une mère. Nous ne venons pas du parent 1 et du parent 2. Nous ne venons ni de deux femmes, ni de deux hommes. Nous avons des grands-mères et des grands-pères, pas le grand-parent 1 et le grand-parent 2, 3 ou 4. Nos bébés sont allaités par leurs mamans. Ça se passe ainsi depuis des millions d'années. Des millénaires d’évolution nous permettent instinctivement de reconnaître les femmes et les hommes et de les distinguer de jour comme de nuit. Ceux qui étaient incapables de faire cette distinction ont disparu. Si l'on croisait une ombre dans la nuit, c’était une question de survie de savoir instantanément s’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Il en découle, que chez nous, l’utilisation des pronoms est largement instinctive. Nous ne les disons pas les uns aux autres quand nous nous présentons ni nous n'avons besoin de les tatouer ou de les afficher sur nos habits. Notre culture est inclusive. Elle est inclusive parce qu’elle englobe des milliards de gens qui vivent aujourd’hui, ont vécu hier et seront toujours là demain.
Aux wokes et dégénérés de tous bords, on ne vous déteste pas. On ne vous aime pas, nous savons juste que vous existez quelque part; vous nous inspirez de la pitié. On en a ras le bol de vous voir essayer de vous imposer dans les écoles, dans les institutions, la culture, le cinéma, les célébrations et utiliser n’importe quelle occasion pour vous étaler bien au-delà de votre niveau réel de représentativité, c’est-à-dire des poussières. Vous êtes comme cet invité indélicat qui, par des techniques de mauvais goût, vole la vedette aux mariés le jour de leurs noces pour ramener tous les regards vers lui. La moindre occasion doit se transformer en étalage de vos névroses. Comme vous n’êtes pas nombreux, vous cherchez toutes les occasions de visibilité pour faire de l’entrisme et gâcher la fête pour tout le monde. Si on ne vous remarque pas, vous vous fourvoyez dans la surenchère. Read the room ! Les gens ne supportent plus votre sectarisme, prosélytisme, intolérance et terrorisme intellectuel. Par quel mécanisme vous a-t-on laissé pirater une cérémonie avec un enjeu à 10 milliards et vous en servir comme plateforme d’outrage et de pornographie ? Certaines scènes, si elles étaient jouées dans des clubs, l’accès aurait été interdit aux moins de 18 ans ! Mais à Paris, on ne vous refuse rien. Vous êtes comme cet enfant colérique et prompt aux tantrums qu’on laisse faire par démission parentale.
Fidèles au règne dégénéré de Macron, vous avez emmerdé la population mondiale, dégoupillé une grenade dans la fête et dégoûté des millions de potentiels visiteurs de venir voir la France, parce qu’ils croient qu’il n’y a que des gens comme vous. Ceci va-t-il améliorer votre santé mentale ? Pas vraiment et vous le savez...
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