Quand on n’a plus que Philippe Val pour défendre le génocide

En prison, les violeurs et a fortiori les pédophiles sont soumis à un dur traitement. Certains, tabassés des jours durant pour avouer leur crime, sont cassés à vie. Ils sont parfois violés, servant de « putes », et deviennent les larbins des autres. Fin de la parenthèse carcérale.

Philippe Val, à l’instar du Premier ministre des années de sang Manuel Valls, s’est fait le porte-parole de l’extrême droite sioniste et islamophobe en France. C’est un choix, ou alors un non-choix, qui ressemble à une punition. Val aurait-il commis quelque chose qui le place dans une situation difficile et l’oblige à soutenir l’insoutenable ?

La conversation est archivée, avec les menaces de Philippe Val.

Pavlenko : Vous n’avez pas l’air dans votre assiette ce matin, mon cher Philippe, c’est la rentrée, c’est ça ?

Val  : C’est vrai, Dimitri, c’est vrai. Il y a quelque chose que je n’ai pas digéré, et comme ça fait maintenant plus d’une semaine, le mieux, c’est de l’expulser dans une chronique : c’est une scène qui se passe dans la cour de l’Élysée, Lucie Castets sort de l’entretien d’embauche sollicité par le président de la République afin de trouver un Premier ministre. Lucie Castets, tout sourire, entourée de ses camarades écologistes, socialistes, LFIstes, tous plus sympathiques les uns que les autres, au point que pour les plus âgés d’entre nous on pourrait la confondre avec Édith Piaf entourée des Compagnons de la chanson qui s’apprêtent à entonner Les Trois Cloches, sauf que là les cloches sont une dizaine.

Pavlenko : Alors jusqu’ici c’est sympathique, qu’avez-vous trouvé d’indigeste ?

Val  : Les journalistes tendent leurs micros vers Lucie Castets, qui nous promet la vie en rose, quand l’un d’eux, sans doute insensible aux charmes surannés du music-hall, lui pose cette question : êtes-vous pour la levée de l’immunité parlementaire de Rima Hassan, qui refuse d’appeler « acte terroriste » le pogrom du 7 Octobre perpétré par le Hamas ? Alors Lucie Castets répond, tout sourire, « cette question n’est pas à l’ordre du jour. ». Et là ça coince, ça n’passe pas ! Citrate de bétaïne, Alka-Seltzer, Oxyboldine, rien n’y fait ! Comme on dit vulgairement, j’ai la gerbe. Ça prétend être Premier ministre de la France et quand on lui pose une question qui engage l’identité même de la France, à savoir sa position face au terrorisme islamique et à l’antisémitisme, madame Lucie considère que ce n’est pas à l’ordre du jour. Mais alors, c’est quoi l’ordre du jour pour un Premier ministre ?

Pavlenko : Oui, d’autant que quelques heures plus tard un Algérien, radicalisé, tentait d’incendier la synagogue de La Grande-Motte.

Val  : Oui, une tragédie immédiatement suivie par le tweet révélateur de Mélenchon, qui réussit à faire un message sans écrire le mot juif, ni le mot antisémite. Bah on le comprend d’ailleurs, il ne va pas gâcher tout l’boulot qu’il a fait pour exciter l’antisémitisme musulman en France, en balançant un tweet solidaire des juifs, qui condamne l’antisémitisme sans le contrebalancer par la condamnation de l’islamophobie. Bon. Alors il se contente de dire que le racisme, c’est vilain, et qu’y faut pas embêter les croyants, avec leurs croyances. Non mais, non mais que croit la bande de Mélenchon, Castets, Bompard, Faure et autres David Guiraud ? Qu’on va laisser passer tout ça ? Qu’on va regarder s’installer les minis… dans les ministères des antisémites et des copains d’antisémites comme les vaches regardent passer des trains ? Ils croient qu’ils sont les seuls à savoir manifester et paralyser un pays ? Je crois connaître la France aussi bien qu’eux : c’est le pays où Dreyfus a gagné, où Maurice Papon a été jugé et condamné, le pays où pendant la guerre, des Justes, au péril de leur vie ont caché des juifs, le pays qui a mis Simone Veil au Panthéon et qui s’apprête à y faire rentrer Robert Badinter aux côtés de Voltaire, de Zola et d’Hugo. Si les petits copains de Rima Hassan et du Nouveau Front populaire arrivaient au gouvernement, mais ils n’auraient pas une minute de répit. Je crois qu’en toute franchise, on peut leur promettre qu’ils vont vivre l’enfer, parce qu’on ne les lâchera pas jusqu’à tant qu’ils partent.

Pavlenko : Vous voulez dire qu’il y aurait un mouvement de résistance, Philippe ?

Val  : Oui ! Oui, je crois que tout Français qui se respecte est parfaitement déterminé à chasser des ministères de la République les antisémites, les islamo-compatibles et les faux-culs qui font semblant de condamner l’antisémitisme pour mieux l’attiser. Je ne suis pas tout seul à mal digérer. L’immense majorité de la population commence à avoir de sérieux problèmes de digestion avec cette bande de pitres, qui déshonorent non seulement la gauche républicaine mais le pays tout entier. Et n’en déplaise à Lucie Castets, la seule chose qui n’est pas à l’ordre du jour, c’est sa nomination comme Premier ministre de la France.

Connaissant le pedigree de cet homme, qui sera un jour rendu public, Europe 1 prend un risque moral et médiatique certain, surtout en plein génocide des Palestiniens.

On rappelle à Philippe Val que « l’immense majorité de la population » n’est pas avec lui : il n’y a qu’à voir le nombre de Français qui manifestent sur ordre des médias après les fausses agressions antisémites ou les agressions antisémites fabriquées. La courbe des manifestants contre « l’antisémitisme » est la même que celle des vaccinés contre le covid : descendante.
Au bout de la 5e dose, tout le monde reste chez soi...

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