19 septembre 2024

préparent-ils par incompétence un accident industriel français ?


Depuis les élections européennes, les jours passent et les capitaines de pédalos vendus comme des Cadors depuis 2017 – et les bras nous en tombent un peu plus chaque jour ! – effondrent méticuleusement le pays. Ils se la racontaient en s’affichant comme génies du siècle, mais ils pouvaient à peine barboter dans les eaux lacustres ! En haute mer, Macron expose le pays à tous les dangers… jusqu’à la ruine complète ? Nous tendons à parier pour un accident industriel dévastateur dans les trois mois, avec deux scénarios possibles. Les voici exposés, avec leurs conséquences pour votre patrimoine.
Donc, Michel Barnier n’a toujours pas constitué son gouvernement, et comme nous le signalions tout à l’heure, ce peut être le signe annonciateur de nombreuses choses désagréables, comme l’incapacité générale de faire fonctionner les institutions, et donc de mettre la France dans une situation révolutionnaire. Révolutionnaire ? Non au sens galvaudé du terme où quelques illuminés appelleraient à des violences de rue. Mais au sens historique vrai : un régime politique qui se termine, un autre qui s’ouvre.

Nos lecteurs savent avec quelle ferveur ou quelle résignation nous abordons cet épisode (qui s’ouvre) ingrat de l’histoire de France : le défaut de l’État nous parait être une épreuve nécessaire, douloureuse mais salutaire pour le pays. C’est en touchant le fond de la piscine qu’on remonte à la surface !

Il n’est jamais possible de savoir à l’avance avec exactitude quelle sera la date exacte de ces bouleversements fondamentaux, ni même s’ils arriveront à coup sûr.

Il n’en demeure pas moins qu’un faisceau de présomptions de plus en plus solide laisse à penser qu’un tremblement de terre, suivi d’un tsunami, n’est pas impossible, voire, qui sait, qu’il est possible !

Dans cet ensemble, plusieurs éléments coexistent : 
  • Michel Barnier peine à former un gouvernement, et nul ne sait si ce gouvernement, s’il devait exister, ne serait pas censuré dans les semaines qui viennent… voire les jours qui viennent.. voire les heures qui suivent sa création (par exemple à l’occasion du discours de politique générale et du vote de responsabilité du gouvernement)
  • le débat budgétaire semble bien mal embouché et rien n’exclut que le gouvernement ne parvienne pas à “sortir” un texte budgétaire correct pour 2025. Dans ce cas, la crise de confiance serait immense
Dans ces deux hypothèses très plausibles, la dégradation des comptes publics serait encore plus rapide et expéditive.

Que faire dans ce cas ?

Il faut bien comprendre les implications d’un scénario de ce type.

D’abord la crédibilité de la France serait ruinée et le retour à la confiance serait complexe, long et périlleux. Le défaut français, ou le risque de défaut français hanterait les esprits et se pointeraient en ombre chinoise de tout discours possible sur la dette.

Surtout, il deviendrait évident que la France ne serait plus capable de répondre politiquement aux exigences budgétaires de la zone euro. Le signal serait celui d’une insolvabilité rapide qui pourrait contaminer l’ensemble des places financières mondiales. Dans cette hypothèse, la déflagration serait terrible.

Globalement : 
  • la “planète finances” parierait sur un défaut de solvabilité de la France
  • les taux d’intérêt auxquels la France pourrait emprunter augmenteraient de façon pharamineuse
  • le gouvernement “élu” se trouverait dans l’impossibilité d’agir selon une ligne politique claire
  • l’Élysée serait obligé de se substituer au gouvernement
  • le désordre politique serait généralisé.
Dans cette hypothèse, la seul issue des épargnants serait de retirer ses avoir des banques. Mais serait-il encore temps ?

Nous vous conseillons d’anticiper ce moment qui pourrait tout à fait survenir avant la fin octobre.

Soyez prudents !
 

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