Peut-on dire que Florence Mendez est une grosse pute du Système ?
Florence Mendez (clin d’œil à Mendez-Flence ?) est un boudin de la contre-culture dominante accessoirement humoriste de gauche, qui injurie et rabaisse les résistants à l’ordre mondialiste qui lui dicte ses concepts.
Le 9 septembre 2024, elle a pour mission d’exécuter Thaïs d’Escufon, la dangereuse « connasse d’extrême droite » forcément « antiféministe ». Cependant, son job consiste principalement à pratiquer la délation à l’encontre de ses confrères.Florence Mendez se revendique comme féministe intersectionnelle et antiraciste. Elle-même bisexuelle, elle dénonce aussi les injustices et violences que subissent les personnes LGBTQIA+. Elle milite pour briser les tabous qui subsistent autour de la santé mentale et pour mieux faire comprendre la neuroatypie.
Elle compense son manque de talent en essayant de devenir la balance numéro un du milieu, nous confirme Wikipédia :
En octobre 2023, à la suite du passage du statut d’accusé au statut de témoin assisté d’Ary Abittan dans une affaire de viol, ce dernier reprend progressivement son activité de spectacle et est programmé dans plusieurs salles françaises. Florence Mendez annonce alors qu’elle refusera de jouer son spectacle dans des salles qui hébergent un spectacle d’Abittan. En janvier 2024, elle appelle à dénoncer les agressions sexuelles commises dans le milieu de l’humour français et annonce avoir recueilli une vingtaine de témoignages de femmes contre le stand-uppeur français Seb Mellia. Ce dernier nie ces accusations et dit vouloir porter plainte contre Florence Mendez.
Malheureusement, déclarée indraguable par les médecins du fait de son physique plus que de son handicap (une victimisation de plus ne peut pas nuire), elle ne peut qu’accuser de loin, sans avoir connu l’amour des hommes. Jalouse de la jolie Thaïs, elle peut alors laisser libre cours à sa haine.
Cette collabo est diplômée de l’école Stéphane Guillon, l’ancienne balance-Système du monde culturel, aujourd’hui déprimé et démonétisé. Après avoir fait le job contre Le Pen et Dieudonné dans les années 2000 sur Canal et France Inter, vilipendé sur les réseaux sociaux qui ont démasqué son imposture, il s’est sagement retiré dans l’anonymat, remplacé qu’il est par des Mendez-Flence.
On remarquera que les humoristes virés de France Inter par la direction israéliste atterrissent chez Nova, qui est encore plus à gauche. En parlant de radio, on est tombés sur l’interview de Sibyle Veil dans Le Figaro.
La pédégère pense que « Radio France peut être une solution face à la cocotte-minute sociale ». La reine de la désinfo et de la censure veut désormais faire le bien :
« Ce que le pays a vécu avant l’été irrigue la rentrée. Les Français étaient fatigués des polémiques et des tensions. Les retours de nos auditeurs sont sans équivoque, il y avait besoin de retrouver de la joie, de l’enthousiasme, de vibrer à l’unisson. Les Jeux Paris 2024 ont été une thérapie olympique pour le pays que nous voulons prolonger. Nous proposons donc une “Radio France thérapie” avec nos radios qui sont là pour faire du bien, elles sont des thérapies contre tout ce qui met à mal le vivre-ensemble : désinformation, polarisation, repli sur soi... Ce qui nous rassemble, c’est ce qui nous fait du bien. On peut être une solution face à la Cocotte-Minute sociale et renforcer les défenses immunitaires de la société face aux crises. »
Celle qui lutte pour le « vivre-ensemble » ne travaille paradoxalement que pour une minorité de Français, d’après le score de la gauche aux dernières législatives (30 %). Les autres sont invisibilisés, même si leurs impôts financent largement la radio publique et les hauts salaires de son armée mexicaine.
Jamais il ne lui viendrait à l’idée que ces « crises » ne sont que les conséquences (voulues) de son logiciel mondialiste. Un logiciel qui pue la censure, sous le prétexte d’auditeurs blessés (on se demande bien qui) :
« J’ai licencié Guillaume Meurice pour déloyauté. Je lui avais demandé de faire preuve de responsabilité après un trait d’humour qui a blessé beaucoup de nos auditeurs et a été sanctionné par l’Arcom. Or, il a envenimé la situation, allant jusqu’à mettre en cause la liberté éditoriale existant sur nos antennes et la direction. Cette déloyauté était honteuse. C’est derrière nous. Charline Vanhoenacker reste et une nouvelle génération d’humoristes arrive sur France Inter. »
La « nouvelle génération d’humoristes », ce sont des Guillaume Meurice dépalestinisés.
Les auditeurs blessés, c’est BHL et Korsia ?
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