Donald Trump a de plus en plus de chances d’être le vainqueur de la course à la présidence. J’ai longtemps pensé que les globalistes prépareraient un effondrement économique ou une guerre mondiale et les jetteraient sur les genoux de Trump. – Brandon Smith
Cette fois-ci, le tireur est en vie et devra s’expliquer. Vous demandez-vous s’il ne va pas finir par s’expliquer sur son rôle auprès des organisations non gouvernementales (ONG) douteuses soutenues par la CIA qui lui ont permis de se rendre en Ukraine et d’y recruter des cabots du monde entier pour combattre dans le bataillon nazi Azov ? Peut-être pourrait-il dénoncer les fonctionnaires qui l’ont aidé dans ses mésaventures colorées ? Comme l’a fait remarquer Ed Snowden dans l’émission « X », l’aspirant assassin de Trump Ryan Routh a « quelque chose d’Oswald », c’est-à-dire qu’il a été bien préparé par les services de renseignements et qu’il peut être utilisé à sa guise.
Peut-être découvrirons-nous – si rien de fatal n’arrive à M. Routh pendant sa garde à vue – comment il a appris que M. Trump serait sur le parcours de golf cet après-midi-là ? La partie de golf du candidat ce jour-là était censée être une décision prise à l’improviste et connue uniquement de son cercle le plus proche. Ou comment M. Routh a-t-il trouvé le fairway le plus avantageux sur lequel s’allonger pour avoir un coup direct ? Le FBI est sur l’affaire, rassurez-vous.
Les choses politiques s’accélèrent avec l’arrivée de l’automne. Le blob est vraiment et profondément effrayé. Tant de blobsters devront payer pour leurs multiples crimes contre le peuple de ce pays si M. Trump revient au pouvoir qu’un tel avenir leur est impensable. Et pourtant, rien n’a été fait pour désactiver ce…. golem d’or qui rôde dans le pays. Rien à voir avec l’immense catalogue de procès concoctés pour le vider de sa richesse et l’enfermer dans une cellule de prison – et il est stupéfiant de constater à quel point ils étaient tous des amateurs ! Engoron et Merchan, deux nichons issus de Judicial Error Central. Fani Willis, une peau de banane ambulante ! Merrick Garland, sauvant la démocratie un abus de pouvoir à la fois!
L’opération de Butler, en Pennsylvanie, a bien failli éliminer leur problème, mais pas de cigare en récompense comme l’opération a merdé. L’embuscade du terrain de golf de Palm Beach avait des airs de Peter Sellers, n’est-ce pas ? Avec le canon du fusil qui dépasse à travers les arbustes derrière une clôture. Et ensuite ? Une pizza avec du pepperoni, des champignons et du cyanure ? Peut-être essayer de faire tomber une enclume sur la tête de M. Trump depuis un avion qui passe (Bip-bip… woosh!).
Que quelqu’un fasse quelque chose !!! Le blob hurle à ses larbins depuis les sous-sols de Langley jusqu’aux salons de Georgetown, en passant par l’ambassade des États-Unis en Ukraine. Il y a toujours la troisième guerre mondiale ! Et il semble que cette guerre soit sur le point d’être déclenchée. Vous avez peut-être vu la semaine dernière la photo de « Joe Biden » rencontrant le Premier ministre britannique Keir Starmer autour d’une grande table de conférence, discutant d’un plan visant à donner à l’Ukraine le feu vert pour faire pleuvoir des missiles à longue portée sur la Russie. Autrement dit, laisser les techniciens de l’OTAN manipuler la console de ciblage pour envoyer des roquettes américaines ou britanniques n’importe où là-bas ? Comme la Place Rouge ? Ou le Palais d’hiver, à Saint-Pétersbourg ? Trouvez un véritable Ukrainien pour appuyer sur le bouton de lancement.
En quoi ne s’agit-il pas d’une attaque directe de l’OTAN contre la Russie ? Bien sûr, c’est exactement cela. Le chef de l’exécutif russe, M. Poutine, a précisé à l’intention de la cohorte néocon globaliste qui infeste l’OTAN qu’une telle action entraînerait. . . des « conséquences ». C’est un mot que les Néocons ne connaissent plus ; cela fait tellement longtemps qu’ils n’ont pas croisé son chemin, tout comme son compagnon de fortune, la « vérité », également absente ces jours-ci. Et, pour être juste, M. Poutine n’a pas précisé quelles pourraient être les conséquences, pas même une simple métaphore comme un champignon atomique ou un cendrier.
Comment ont-ils pu faire sortir « Joe Biden » de la plage pour cette séance photo ? Tous les Américains de plus de dix ans savent que « JB » n’est plus disponible pour le service. Le panneau « sorti pour manger » est désormais accroché en permanence à la poignée de porte du bureau ovale. Pour la première fois en 235 ans, les États-Unis n’ont pas de chef d’État en exercice. Après 2021, c’est une sorte de Politburo non élu et informel qui s’est auto-assemblé à la Maison Blanche, comme un caillot provenant d’une injection de vaccin Covid, qui dirige nos affaires. Peut-être que Kamala Harris a une idée de qui fait partie de cette équipe. Ou bien quelqu’un dans les médias pourrait le lui demander (si jamais elle organise une véritable conférence de presse, où les questions ne sont pas préparées à l’avance ou scénarisées). Quelqu’un ose-t-il demander ?
Kamala Harris est étrangement absente de la première page du New York Times ce matin. Est-ce de mauvais augure ? Le débat est derrière elle. Il n’y en aura pas d’autre, apparemment. Il n’y a rien sur son emploi du temps sur le site officiel de la campagne. Est-elle entrée en mode « je m’estompe » ? Tout est fini maintenant, à l’exception de la récolte des bulletins de vote et des petits ajustements apportés aux machines de comptage des votes du Dominion ? Les beuveries ont-elles recommencé ?
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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