Un petit garçon de quatre ans a été retrouvé errant dans les rues de Gliwice, portant des marques de sévices graves et prolongés qui lui auraient été infligés par sa mère biologique et sa partenaire lesbienne.
Un cas choquant de maltraitance d’enfant a été révélé à Gliwice, en Pologne, où un petit garçon de quatre ans aurait été victime de violences prolongées de la part d’un couple de lesbiennes, composé de sa mère biologique et de sa compagne.
Le couple, Julia B. et Patrycja J., qui vivait avec trois enfants, a été arrêté après que l’enfant a réussi à s’échapper de leur appartement et a été retrouvé seul dans la rue, vêtu uniquement de ses chaussures. Il présentait des signes de violence brutale et sadique.
Le bureau du procureur du district de Gliwice a divulgué les accusations, soulignant la nature inquiétante des blessures subies par l’enfant de quatre ans. Selon les rapports, Patrycja J. a soumis la victime à des tourments physiques et psychologiques, notamment en l’affamant, en l’injuriant, en la menaçant d’abandon et en lui infligeant des violences physiques telles que des coups de poing, des morsures, des étouffements et des coups de câble.
De plus, la victime était un enfant handicapé, souffrant d’une maladie osseuse congénitale qui a nécessité plusieurs interventions chirurgicales avant l’âge de quatre ans. Malgré sa vulnérabilité, le couple est accusé de l’avoir torturé physiquement et psychologiquement de manière calculée.
Le 31 juillet 2024, l’enfant a réussi à quitter l’appartement et a été découvert dans la rue, son corps présentant de nombreuses blessures, notamment à l’épaule gauche, à la poitrine, à la joue droite et à l’orbite gauche. Il a ensuite été emmené au poste de police local par un passant qui l’a trouvé.
Cet incident a relancé le débat sur la sécurité des enfants dans les foyers de parents LGBT, les associations locales pro-vie critiquant l’acceptation des structures familiales LGBT et établissant un parallèle avec les cas signalés de maltraitance d’enfants dans de tels foyers à l’étranger.
La communauté locale et les autorités continuent de réagir à cette tragédie, appelant à une vigilance accrue et à des mesures de protection pour les enfants se trouvant dans des situations similaires. L’enquête se poursuit et de nouveaux détails apparaissent sur le traitement des demi-sœurs d’Ignacy, qui n’auraient pas subi les mêmes sévices.
Certains ont spéculé sur l’influence d’une idéologie qui considère la masculinité comme quelque chose à combattre, établissant un parallèle avec des cas similaires à l’étranger où des garçons ont été la cible d’abus de la part de couples lesbiens.
Traduction de Remix par Aube Digitale
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