Noémie Halioua raconte la souffrance des génocidaires

C’est connu, la presse internationale et les grandes agences sont tenues par le lobby palestinien. Il faut que le génocide des Israéliens par les Palestiniens cesse. Que fait le monde ?

Rien, comme pour la Shoah. Noémie Halioua, ou l’art de retourner le génocide.

« C’est le symptôme d’une maladie mentale développée et collective depuis le 7 Octobre qui a touché la société israélienne et dont on parle assez peu, finalement, en Europe. On parle assez peu de ces centaines d’orphelins qui sont depuis le 7 Octobre mais aussi après, parce que la majorité des hommes sont mobilisés dans l’armée, et vous avez des hommes qui meurent, on en parle rarement en Europe, mais il y a des enfants qui se retrouvent orphelins. Il y a des femmes qui ne voient pas leur mari pendant des mois et qui doivent gérer les familles toutes seules. Vous avez des mères de famille qui voient leurs fils partir à l’armée sans savoir s’ils vont revenir, et lorsqu’ils reviennent, eh ben ils ne sont plus exactement comme lorsqu’ils sont partis, donc il faut s’occuper d’eux. »

La journaliste d’i24News évoque des orphelins par centaines, alors que du côté palestinien, on peut parler de milliers d’orphelins, et de milliers de parents orphelins de leurs enfants, quand des familles entières n’ont pas été exterminées sous les bombes. L’échelle n’est pas la même, elle est même 100 fois supérieure.

« Vous avez toute la société israélienne qui s’est adaptée à cet état de guerre, c’est assez peu raconté parce que malheureusement une partie des agences de presse préfère reprendre des chiffres et les narratifs du Hamas, et on ne parle pas de la souffrance de cette guerre qu’elle occasionne au sein de la société israélienne, qui est véritable. Y a beaucoup de choses à raconter là-dessus, et finalement cette augmentation de l’utilisation des psychotropes, des antidépresseurs, etc., c’est ce que ça dit, c’est cette souffrance qui est larvée, qui existe d’une société qui est extrêmement résiliente malgré tout, qui continue de fonctionner, mais qui s’adapte à une situation de guerre avec des familles qui sont détruites. »

Si on doit comparer les souffrances, alors il faut comparer celles du peuple israélien avec celles du peuple allemand pendant la Seconde Guerre mondiale.

CNews est la version nationale d’i24News. On y déroule le narratif sioniste de la manière la plus décomplexée du monde. Ce ne serait pas grave si le camp sioniste n’était pas le camp génocidaire.

« C’est très important de comprendre que ce qui touche les juifs touche aussi une bonne majorité des Français. »

Noémie en immersion pendant la guerre des campus

J'ai participé hier au blocus de Sciences-Po aux cris d'"Israël assassin" et aux chants antifascistes. J'avais enfilé un bandana sur la bouche et flanqué mon blouson d’un autocollant pro-palestine, tout cela me donnant un air de zadiste semi-clochard fort utile pour se fondre… pic.twitter.com/pNiBWIZ9ym

— Noémie Halioua (@NaomiHalll) April 27, 2024

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