20 août 2024

L’industrie de la pandémie : Une menace permanente

Nous sommes entrés dans l'ère de la pandémie permanente. Avec le Covid, est née l’industrie de la pandémie : masques, QR codes, vaccins, outils de traçage… sur lesquels des milliards d’argent public ont été déversés sans le moindre contrôle. Rien qu’au Royaume-Uni, le programme “Test and Trace” a coûté près de 43 milliards d’euros (bien 43 milliards, pas millions) sans jamais avoir fonctionné. Les ministres transféraient des contrats publics vers leurs familles, amants et entourage.

Cette industrie ne veut pas partir et elle travaille à devenir une caractéristique permanente de notre époque. Tel un troupeau de bestiaux apeurés, nous devons courir nous confiner à chaque fois qu’on sonne le tocsin. Plus tard, on consommera sous la coercition des médicaments inutiles ou dangereux qui feront exploser les dividendes des actionnaires pharmaceutiques.

Qui se souvient du TAMIFLU en 2009 ? C’était à l’époque du H1N1. Le laboratoire suisse Roche le fabriquait. Les Etats en ont acheté pour des milliards et il a été distribué comme des bonbons. On disait qu’il réduisait les cas graves et les hospitalisations de 61%. Les études scientifiques ont démontré par la suite qu’il n’avait aucune efficacité. Ces études, on aurait dû les faire avant, pas après. Mais l’hystérie pandémique renverse toutes les priorités et c’est pour cette raison qu’elle fait saliver l’actionnariat. Dans un monde en proie à une crise économique aux ramifications profondes, les entreprises – tous secteurs confondus – peine à faire de l’argent. Alors, on n’a rien trouvé de mieux que le consommateur captif et forcé.

Aujourd’hui, on nous on prend les mêmes et on recommence avec la variole du singe. On l’appelle #Mpox. A chaque vaudeville, on invente un nouveau vocabulaire. La dernière fois, le coronavirus a été renommé #COVID.

Pour le grand public, il y a un point commun entre le MPOX et le COVID. Les maladies respiratoires se ressemblent toutes. Qui peut faire la différence entre une bronchite, une pneumonie, un emphysème ou une tuberculose ? Les médecins eux-mêmes doivent faire des examens approfondis pour déterminer à quoi ils ont à faire. Pareil pour les maladies dermatologiques : dermatite, urticaire, acné, herpès… Comme toutes les maladies respiratoires ont été appelées COVID et laissées pourrir sans traitement, on peut imaginer que n’importe quelle bouton, rougeur ou éruption cutanée reçoit le label MPOX et sert à alimenter le narratif.

Ils vont également venir avec un mode de transmission respiratoire. C’est nécessaire pour créer la panique et imposer les masques qui sont un symbole visible de l’urgence et un marqueur visible d’obéissance.

Nécessairement, on sortira un test, PCR ou autre, afin de créer des cas artificiels permettant d’annoncer des chiffres effrayants aux 20 heures.

Les mêmes médecins de plateaux, ayant plus de conflits d’intérêts que de diplômes, reviendront alimenter la sinistre messe.

Si un médicament est efficace contre la variole du singe, il sera interdit afin de ne permettre que les produits des sponsors.

Les plus de 50 ans, vaccinés contre la variole dans leur enfance, s’entendront dire que leur vaccin n’est plus valable et que l’immunité croisée est un mythe et qu’il faudra qu’ils consomment les nouvelles injections sous abonnement.

Attendez-vous à des restrictions de voyage et de déplacement. Même sortir de chez-vous, sera un problème.

L’agenda 2030 avancera encore. D’ici 5 ans, de nombreux pays occidentaux se seront transformés en Corée du Nord afin de préserver le “climat”. Le moindre aspect de la vie sera soumis à des contrôles, quotas et permissions accordées au mérite. Les pandémies répétitives sont des crises artificielles qui jalonnent ce cheminement vers un autre monde.

Résistez, votre vie en dépend.

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