Ricardo révèle les circonstances de la mort des frères Bogdanoff, qui étaient ses amis. C’est l’occasion de rappeler la version officielle par Wikipédia, qui est évidemment covidiste et non vacciniste.
Igor et Grichka Bogdanoff sont des animateurs français, producteurs d’émissions de vulgarisation scientifique diffusées à la télévision et essayistes en science-fiction. Nés le 29 août 1949 à Saint-Lary (Gers), ils sont morts à Paris des suites de la Covid-19 à l’âge de 72 ans, le 28 décembre 2021 pour Grichka et six jours plus tard, le 3 janvier 2022, pour Igor, tous deux n’étant pas vaccinés.
Cette vidéo de Ricardo tombe à pic pour contrer la nouvelle propagande qui monte à propos de la variole du singe, dite aussi mpox, qui serait « ultra-mortelle », selon l’OMS, qui est tout sauf une agence de santé. En revanche, elle est bien mondialiste.
Justement, le Système, qui inclut Big Pharma, a ressorti cette bonne vieille Karine Lacombe du formol où sa mission de désinformation l’avait enfermée, afin de faire la retape de la psychose et du faux vaccin qui va probablement suivre. On connaît désormais le cycle par cœur.
« La mortalité n’est pas négligeable. La mortalité peut monter de 5 à 10 %, ou plutôt la létalité, le nombre de morts parmi les personnes atteintes. »
Karine est spécialiste du sida, une maladie qui a surgi au bon moment pour Big Pharma et les gouvernements, en ce sens qu’elle a lancé une ère de psychose doublée de contrôle social. La dame officie à l’hôpital Saint-Antoine, où on ne trouve pas plus de 30 sidéens. Le sida ne fait plus peur ? Allons-y pour la variole, mais du singe, car la variole humaine, c’était vraiment méchant. Heureusement, le singe, vous allez voir, peut être aussi très inquiétant...
Un labo P4, des Africains, Big Pharma, un vaccin...
Entre le sida et le covid, on a eu Ebola de 2013 à 2015. Pour ceux qui ont de la mémoire, c’est encore un virus qui a surgi en Afrique – décidément –, et le tintouin autour de cette maladie rare ressemble étrangement à un brouillon de pandémie médiatique. Il y a même eu un film choc dessus, Alerte !, avec une distribution prestigieuse. Qui mieux que le cinéma peut faire office de vecteur de contagion ?
Les scénaristes de Big Pharma n’ont pas été très loin pour lancer leur nouveau produit, la variole du singe. On a aujourd’hui un condensé de sida, d’Ebola et de covid.
Rétroactivement, quand on repense au surgissement d’Ebola, on ne peut s’empêcher de penser à ceux du covid ou du sida. Regardez ce que Wikipédia, qui cache les raisons de la mort des frères Bogdanoff, écrit sur ce virus :
Compte tenu de son danger biologique, ce virus ne doit être manipulé qu’au sein de laboratoires P4 ou BSL-4, lesquels sont conçus pour prévenir les risques de contamination par accident ou du fait d’actes de malveillance (bioterrorisme). La maladie qu’il engendre, pour laquelle il n’existe pas jusqu’ici de traitement homologué, présente un taux de létalité allant de 25 % à 90 % chez l’humain ; l’épidémie qui a sévi en Afrique de l’Ouest en 2014 et 2015 affichait ainsi une létalité de 39,5 % au 27 mars 2016, avec 11.323 morts sur 28.646 cas recensés.
Et on retrouve toujours ces fameux laboratoires P4, qui ne sont évidemment pas les émetteurs, mais les récepteurs des virus tueurs... Un virus ne peut pas s’échapper d’un tel dispositif de sécurité, voyons !
Nos scénaristes de l’OMS, et donc de Big Pharma, seraient-ils en panne d’inspiration ? Ebola a surgi au Congo et en Guinée. C’est là aussi que les populations cibles ont été vaccinées après 2016. On n’a aucune information sur d’éventuels effets secondaires de ce « vaccin ». Mais tout ceci ressemble à un test bactériologique grandeur nature. On a vu pire, dans l’histoire de l’humanité, en termes de cobayes humains.
Les Bogdanoff, férus de sciences, ont-ils testé le vaccin de gré ou de force ? Ont-ils été des volontaires ou des cobayes à leur corps défendant ?
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