Le sabotage du gazoduc Nord Stream en 2022, initialement approuvé par Zelensky puis "désavoué" sous pression de la CIA, aurait été mené par l'Ukraine, selon des sources citées par le Wall Street Journal.
Une réunion secrète, un plan machiavélique
Imaginez la scène : nous sommes en mai 2022, trois mois après que la Russie attaque l’Ukraine. Une réunion secrète se tient quelque part à Kiev. Autour de la table, des officiers supérieurs, des chefs d’entreprise… Et là, l’idée machiavélique jaillit : « Et si on faisait exploser le Nord Stream ? Ça pourrait être fun, non ? »
Un sabotage à 300 000 dollars, financé en privé
Ce qui est encore plus incroyable, c’est que cette brillante idée aurait coûté un petit 300 000 dollars. Un peu plus que le prix d’un appartement parisien (enfin, une chambre de bonne), six personnes auraient réalisé ce coup d’éclat. Et pour financer tout ça ? Pas besoin de casser la tirelire de l’État, quelques généreux donateurs privés ont suffi.
Zelensky et CIA : Un récit enjolivé
Mais le clou du spectacle, c’est le rôle de Zelensky dans cette affaire. Selon les informations recueillies par le Wall Street Journal, notre cher Volodymyr aurait d’abord dit oui, puis, après un coup de fil de la CIA, aurait fait marche arrière. « Stoppez tout ! », aurait-il ordonné. Mais c’était sans compter sur le commandant en chef de l’armée ukrainienne à l’époque, Valeri Zaloujny, qui, comme tout bon militaire, a pensé : « Pourquoi suivre les ordres quand on peut faire à sa tête ? » ! Ce récit semble être enjolivé afin d’atténué la responsabilité du président ukrainien et des américains qui avaient pourtant annoncé la couleur via a sous-secrétaire d’État américaine aux Affaires politiques, Victoria Nuland :
Le bouc émissaire Zaloujny : Ambassadeur ou exilé ?
Le bouc émissaire et porte-flingue Zaloujny, qui depuis a été expédié à Londres en tant qu’ambassadeur (une promotion, ou un exil déguisé ?), aurait ignoré les directives de Zelensky et adapté le plan initial pour qu’il soit, disons, moins officiel. Contacté par le Wall Street Journal, Zaloujny a bien sûr nié en bloc, affirmant qu’il n’était au courant de rien et que toute cette histoire était une provocation. Ah, la bonne vieille technique du « ce n’est pas moi, c’est l’autre ».
Et que s’est-il passé après que le gazoduc ait effectivement explosé en septembre 2022 ? Zelensky, jouant les surpris, aurait demandé des comptes à Zaloujny. La réponse de ce dernier : « Trop tard, chef, le train est déjà parti ! »
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