01 juillet 2024

“Swipers” : voles aux caisses automatiques des supermarchés en plein essor!

Connaissez vous la communauté des « swipers » ?

Si je vous pose la question, c’est que je ne connaissais pas.

J’ai découvert cela en écoutant une chronique de France Culture source ici.

C’est là que j’ai appris que non seulement le journaliste en question à peine coupable avouait sans vergogne avoir volé aux caisses automatiques des supermarchés, mais que cela était un phénomène en plein essor et que ces voleurs qui ne sont pas d’un nouveau genre, un voleur étant un voleur, hier comme aujourd’hui contrairement à ce que peut tenter de justifier ce journaliste, mais que ces voleurs avaient un nom.

Les swiper et non ce n’est pas une nouvelle lingette !

Il signifie “Seemingly Well Intentioned Patrons Engaging in Regular Shoplifting”, traduction “clients en apparence bien intentionnés qui se livrent régulièrement à du vol à l’étalage”.

Des voleurs donc.

Mais il est vrai que cela nous renvoie à quelques questions sur ces caisses automatiques qui ne favorisent semble-t-il pas l’honnêteté !

Je vous laisse écouter la chronique où le vol est justifié par cet environnement technophile.

Ce qui est certain, c’est que comme beaucoup de Français, je ne vole pas aux caisses automatiques.

Non.

Je me fais un malin plaisir de passer à la caisse avec humain.

De discuter avec la caissière ou le caissier.

Je prends le temps de ranger dans mon caddie mes courses.

De payer par CB avec contact et en faisant mon code.

Oui… modestement mon acte de résistance ne consiste pas à voler, mais à faire travailler une personne qui a besoin d’un salaire.

D’un autre côté, je ne peux que dire que plus il y aura de vols, plus les supermarchés seront obligés de conserver de l’humain, et donc du travail, et donc de la répartition de richesses en versant des salaires.

C’est la raison pour laquelle je partage cet article.

Les choses sont toujours nuancées.

Le vol c’est mal et c’est pas bien.

D’un autre côté si les caisses automatiques nécessitent plus de vigiles que de caissières, alors nous retrouverons nos caissières et nos caissières comme nos emplettes font nos emplois.

Charles SANNAT

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