C’est un article qui ne passe pas inaperçu de la référence mondiale du journalisme financier puisqu’il s’agit du Wall Street Journal (source ici) qui attaque frontalement l’Homme des Hommes de Davos à savoir Klaus Schawb.
Cet article est intitulé :
“Derrière Davos, des accusations de travail toxique”
“Malgré ses objectifs ambitieux, le Forum économique mondial a fait l’objet de nombreuses accusations de harcèlement sexuel et de discrimination à l’égard des femmes et des Noirs.
Il y a quelques années, Klaus Schwab, le fondateur octogénaire du Forum économique mondial, a décidé que l’organisation avait besoin d’un coup de jeune.
Il a donc choisi un groupe d’employés de plus de 50 ans et a demandé à son responsable des ressources humaines de se débarrasser de chacun d’entre eux, selon des personnes au fait de l’affaire. Il a expliqué que cela permettrait d’abaisser l’âge moyen de la main-d’œuvre. Le responsable des ressources humaines, un ancien cadre expérimenté de la Banque mondiale nommé Paolo Gallo, a refusé, soulignant qu’il devait y avoir une explication raisonnable pour licencier quelqu’un, comme de mauvaises performances. Peu de temps après, Schwab a licencié Gallo.”
Et oui, c’est à chaque fois la même chose.
Faites ce que je dis, mais certainement ce que je fais.
Klaus Schwab est un faiseur de roi et de puissance, cela au fil des ans lui a donné une forme de toute puissance.
Rares sont ceux capables d’user de la puissance en sagesse et sans céder à l’abus de puissance.
Méfiez-vous toujours des systèmes sans contre-pouvoirs.
Les contre-pouvoirs aussi pénibles soient-ils, les institutions, la répartition des rôles, les organes de contrôles, assurent et permettent à une société libre, démocratique et ouverte de pouvoir le rester.
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