HUMAIN « AU-DELA » DU MONSTRE HUMAIN
Par Dharma
Au fait …, pour gagner du temps …, « Il n’y a jamais eu de pandémie ! » … Seulement comme disent certains : une « plandémie » satanique.
Il est dit qu’ils sont rares ceux qui sont instruits des cinq corps du Yoga traditionnel Hindou et qui les appliquent à leur vie quotidienne par connaissances psychologiques et métaphysiques libératrices. Depuis des millénaires, mais autrement plus subtilement, ces Connaissances transcendent, dépassent ce qui suit :
L’homme « neuronal » est une invention pseudo-scientifique, une aberration, une erreur épistémologique.
Ceux qui connaissent et comprennent, mais pas en surface, les points-clés de la physiologie humaine dont cérébrale, neuronale et synaptique, devraient pouvoir constater que le néocortex n’est qu’une sorte d’étrange tumeur maligne qui fonctionne de façon chaotique par l’impact en interdépendance sur le « cœur psychologique » (pas la pompe cardiaque !) des cerveaux reptilien, mammifère, limbique, qui déterminent la quasi-totalité des comportements humains. La notion de liberté telle qu’elle est injectée depuis l’enfance aux masses ignorantes pour les tenir en laisse est ici totalement remise en question. Ce que l’on nomme le « librearbitre » est la capacité à le comprendre pour réfréner et calmer l’aspect animal et ses comportements générés et augmentés par les désirs toxiques et destructeurs. En effet, l’humain reste avant tout un animal et souvent, d’ailleurs, ne le dépasse pas. Par ses conduites de fuite et d’attaque, il peut même, pour sa survie, être capable de tuer père et mère ! Le rôle réfléchi de l’intelligence du cœur éclairé est normalement de contrôler les pulsions. En ce sens, la démarche scientifique authentique se doit de faire toujours abstraction des opinions, des croyances, des préjugés, des superstitions, de l’irrationnel. Hélas, la plupart des gens et la plupart des scientifiques dont certains deviennent « des tueurs en série » sous influence de leur subconscient et de leur conscient aveuglé, en sont incapables, influence qui sert leurs intérêts morbides conditionnés par l’avidité. Ceux qui sont capables de le comprendre profondément s’orientent et s’appliquent vers le détachement de toute recherche d’affirmation de soi. Cela se nomme la Sagesse atemporelle. Seule la claire compréhension libératrice des pulsions les guide au-delà de toute recherche inutile de tout profit mondain, quel qu’il soit. La joie apaisante du partage rare de la Connaissance, « quand elle est possible », leur suffit. Certains d’entre eux sont des Bodhisattvas dans le Dharma du Bouddha qui était Bodhisattva, ou des Yogis comme le Christ, car en Inde des Pandits considèrent le Christ comme un grand Yogi ! Il faut bien comprendre que les concepts « Buddha » et « Christ » se rapportent uniquement à « l’impersonnel », jamais au personnel ! La Connaissance métaphysique n’a rien à voir avec les connaissances mondaines car elle n'appartient pas au « moi ». Si elle appartenait au « moi » elle serait mensongère. Nous sommes donc très loin des monothéismes égarés dans la dualité, de leurs églises et de leurs croyances enfantines. Les véritables chercheurs et/ou scientifiques se détachent du matériel dérisoire. Comme le dit Maître Eckhart, « il n’est pas d’humilité sans détachement… mais deux vertus valent mieux qu’une ».
2020-2024 restera la démonstration parfaite de cette avidité accompagnée de la haine par sa violence pour satisfaire cette avidité dans l’illusion des intéressés majoritaires face aux désintéressés minoritaires. Curieusement, très peu de « psy » et/ou neurologues connaissent et considèrent l’impact du limbique et des cerveaux archaïques sur les comportements de l’humain et, s’ils en tirent et partagent parfois des enseignements utiles et bénéfiques, ils sont immédiatement attaqués. Nous l’avons vu récemment. Mais il y a pire. Parmi les scientifiques certains connaissent cet impact sur l’humain mais « comme ils ont vendu leur âme au diable » ils deviennent « démoniaques » en usurpant et en détournant ces savoirs pour asservir les masses et pour assouvir leurs idéologies sataniques. Ce sont des démons.
C’est exactement ce que les années 2020-2024 révèlent. Rien n’est égal à la compréhension lorsque cette compréhension est libérée du Diable, de Satan, de Lucifer, ces trois comparses psychologiques « qui font en un, partie issue de cette tumeur incontrôlée nommée néocortex ! ».
L’origine de la souffrance est l’avidité des six sens pour les objets des sens, en Orient le mental est un sens, par ignorance de la fonction tripartite de l’homme.
Quelle-est cette fonction tripartite de l’humain ?
Dans les trois Traditions antiques nous trouvons :
Tradition latine :
Corpus - anima/animus - Spiritus.
Tradition grecque :
Soma - psycké - Noûs.
Tradition hindou :
Rûpa - nâma - Prajñâ.
En Occident, « Spiritus et Noûs » ont quasi disparu et ne sont plus que des mots vidés de leur pouvoir opératoire sur le psychosomatique ou psychophysiologique. Ne dit-on pas d’un clown qu’il a de l’esprit ? Ne dit-on pas « avoir vendu son âme au diable ? ». Le sens du mot âme se rapporte au corps d’énergie, le prâna, « pra-ana » et il se rapproche du mot sanskrit « citta » qui ne signifie pas « pensée » mais « Cœur » au sens psychologique quand il est éclairé par la métaphysique. Hélas, même dans « certains bouddhismes amuïs » la confusion règne.
En Orient, « Prajñâ », la Connaissance transcendante ou Intuition métaphysique est encore connue par des éveillés sur leur voie de libération. Mais la notion de liberté est une notion si vague qu’elle est, par dégénérescence, devenue synonyme d’asservissement, d’abrutissement des masses dominées par des dominants eux aussi abrutis et égarés.
Les mots esprit et âme sont donc ainsi devenus dégénérés car submergés par les désirs aliénés du fait de la disparition de la fonction métaphysique. Car la métaphysique occidentale n’est pas la métaphysique orientale. De même pour la psychologie occidentale limitée face à la psychologie profonde de l’Inde antique, toujours connue, Abhidharma.
Les conséquences de cette perte, de cette chute abyssale est visible à ceux qui ont des yeux pour voir davantage les désastres depuis début 2020. La chute risque de se continuer jusqu’à la fin d’un processus d’auto destruction possible tant la fureur humaine est à son comble.
Le dominant au pouvoir, ignorant, est sans aucun pouvoir sur sa médiocratie. Accroché aux fausses branches de sa funeste destinée, il ne veut rien lâcher car, encore une fois, il reste déterminé, conditionné par l’avidité, la haine, la stupidité, ces trois invariants nommés en sanskrit les « trimûla », les trois racines-poisons. Il ne sait pas qu’il est empoisonné et qu’il est empoisonneur.
*******
Fable dualiste qui n’amusera pas grand monde (?!) ou fera rire jaune certains
Nous
ne pouvons que suggérer en fin de texte le « sans-duel », Advaïta, et
le « sans-moi », Anâtman, réservés à ceux qui sont capables, après éveil
de l’Intuition Métaphysique, la Connaissance Transcendante, d’opérer
une investigation soutenue au cours d’une ascèse (s’exercer) réfléchie
et tranquille, au-delà de l’intellect limité, nous l’avons dit, qui ne
peut résoudre seul l’équation Y = 0. Quand le spectateur s’éveille au
fait que le spectacle est absurde et ridicule, alors, absorbé par le
RIEN il disparaît de la scène de théâtre sur l’écran blanc. Les
plaisanteries mondaines et profanes dans ces jeux du cirque de
l’existence cessent enfin.
Une catastrophe programmée depuis des décennies, d’une forte intensité sur l’échelle de riches terres en tremblements « anti-sanitaires », arriva brusquement début 2020.
Satan, empereur des menteurs, s’était déguisé à Paris en une démone sinistre, curieuse buze zinzin de la maladie, bru d’une fiel Simone, pour annoncer un fallacieux non-événement qui « cachait » totalement aux gens son but final maintenant dévoilé, celui de fomenter une dépopulation au moyen d’une arme injectable doublement physique et psychologique.
Les humains terrorisés se ruèrent sur leurs TV et leurs radios qui, matin et soir, soir et matin, diffusaient en boucle leurs propagandes éhontées par des serpillères souillées, achetées car fort bien payées depuis leur « pacs » avec le diable.
Des toubibs-tirelires d’avidité jouissaient. Sans aucun état d’âme, puisque sans âme, ils offraient aux masses apeurées, du bout de fléchettes affûtées, un nouveau poison non-certifié, vers les pompes funèbres agréées. Des apothicaires poudrés par la blanche, mais pas colombe, fournissaient leurs camelotes emmaillotées, mystérieusement encapsulées, vaticanisées et bénies par une camorra mondialisée et alliée à un Romain nommé « El Papé ».
La fléchette dégoupillée, fourguée d’un drone canonisé, genre foutaise-en-ski, faisait la joie du patient qui se mettait à chanter :
« Merci Necron, merci Necron, nous sommes heureux de travailler pour vous, on est heureux comme des fous, ce que vous faites ici-bas, un jour, Dieu vous le rendra … » …
… puis il clamait :
« On ira tous au paradis, c’est promis, nous faire p(n)iquer et rep(n)iquer, toute la famille au grand complet, cousins, cousines, neveux et nièces, Papy, Mamie, Papa, Maman, petitsenfants, la Bonne et moi (au moins trois fois, car on aime ça), Tonton, Tatie, aussi le chien, aussi le chat … » … « Puis, on ira au cinéma et au restaurant de Gégé pour son cassoulet renommé ». « On rentrera par le cimetière voir s’il reste de la lumière ».
Des sceptiques qui doutaient, pauvres imprudents qu’ils étaient, osaient poser des questions. Alors, la censure « Yawohl herr major » surgissait au pas de l’oie leur casser le reste des dents.
Deux moribonds post-injectés se disputaient un cercueil d’un bois rare, très cher aussi. L’un d’entre eux voulait qu’on y place ses dernières économies à dépenser au paradis pour une divine comédie, une ultime surprise partie avec St Truc ou St Machin, St Boutentrain. Les funérailles s’accumulaient. Les pompes funèbres du son d’un gong très excité, en un seul orchestre trompétaient, puis orgasmaient à l’unisson de tout ce pognon qui pleuvait.
Les familles n’oubliaient jamais de se rendre chez le banquier, vérifier si rien n’y manquait. Puis venait l’instant du notaire, parfois joyeux, parfois amère. Curieusement, telles des mouches assommées, tombées sur le carreau, de vie à trépas elles passaient après les pics-pics des margoulins qui veulent à autrui tant de bien.
« Enterrements et oraisons » était la nouvelle chanson en vogue dans les institutions qui riaient avec Satan, aux pas cadencés et rythmés, d’un geste singulier, le bras droit tendu relevé.
Salauski, Necronus, leurs Maquerelles, s’égosillaient au rythme de l’hymne des fous.
Les arnaques financées par les maffieux du clan Satan au sein des églises infiltrées, se succédaient allègrement : pics-pics, supercherie climatique, épandages connus dans le ciel d’aérosols de métaux lourds mal connus, perturbateurs endocriniens dans les environnements, empoisonnements de sols fertiles, escroquerie du CO2 si nécessaire aux végétaux, adultes infantiles désaxés, genrés manipulés, « attentats à la vie », enfants maltraités et bloqués dans leur puberté, extorsions des consentements, dérèglements des ciboulots surtout de nos gigolos, démentiels-timbrés pas rigolos, sectaires formatés, monstres cinglés par magie noire et crétineries digitales, propagandistes dégénérés dont la mort est déjà programmée !
Tandis que le tartuffe inverti, psychotique pervers narcissique, très kriffé à la meute maffia, triste sire d’une enfance perturbée, « l’bobo de Paris », nouveau Barabbas maudit, lui, dansait la Salsa du Démon avec sa sorcière Draculée, sinistrée de la cage aux folles, sans humour, rides cachées, toute grimée « genre ch’tit-j.mi flétri ».
Les citoyens qui doutaient ou mieux ceux qui comprenaient, attendaient la sortie du film primé au festival des horreurs, des « cannes » et des « canards » meurtris, sans têtes, décérébrés : « six pieds sous terre au cimetière ».
Pendant ce temps, Dieu jouait pile et Satan de face préparait la seconde partie de cette monstrueuse tragédie d’une série qui faisait « FURHER » auprès des téléspectateurs.
Au camp de vacances « les barbelés joyeux » d’un bord de mer très convoité pour son gaz et pour son pétrole, résidaient des survivants dont des enfants sans leurs parents, pendant que des phoques otanesques et des otaries ahuries ratissaient large dans les crémeries du reste des chancelleries.
Déterminé à inclure ses coups bas aux joujoux de Paris 24 pour les infantiles abrutis, du sein des probabilités Satan s’apprêtait à créer de nouveaux mythes alambiqués, pour occuper l’humanité, les anciens étant périmés.
D’autres poisons bien emballés, par millions de doses réservées à des cheptels hypnotisés, arrivaient à peine à Roissy que déjà le champagne à flot coulait à la place Beauvau où Satan par son dard malin avait infiltré ses monstres vendus à des sinistres reconnus.
Question : Que faire ?
Réponse : RIEN.
WU WEI en Chinois signifie : « Rien faire ». « Faire rien » est une erreur. RIEN FAIRE est serein. Les destins suivent leur chemin : Fata viam inveniunt.
Question : Mais si tout le monde fait comme vous, le monde va s’arrêter ?
Réponse : En ce qui me concerne, je n’y vois aucun inconvénient.
Rassurez-vous, ce n’est pas la veille !
Autre chose : savez-vous que le mot « folie » signifie « enfler, être enflé » et que le mot « fou » du latin « follis » signifie « sac rempli d’air » ? Comme dit le langage populaire : « Quelles bandes d’enflures ! », drôlement « gonflés » ces types-là !
Une catastrophe programmée depuis des décennies, d’une forte intensité sur l’échelle de riches terres en tremblements « anti-sanitaires », arriva brusquement début 2020.
Satan, empereur des menteurs, s’était déguisé à Paris en une démone sinistre, curieuse buze zinzin de la maladie, bru d’une fiel Simone, pour annoncer un fallacieux non-événement qui « cachait » totalement aux gens son but final maintenant dévoilé, celui de fomenter une dépopulation au moyen d’une arme injectable doublement physique et psychologique.
Les humains terrorisés se ruèrent sur leurs TV et leurs radios qui, matin et soir, soir et matin, diffusaient en boucle leurs propagandes éhontées par des serpillères souillées, achetées car fort bien payées depuis leur « pacs » avec le diable.
Des toubibs-tirelires d’avidité jouissaient. Sans aucun état d’âme, puisque sans âme, ils offraient aux masses apeurées, du bout de fléchettes affûtées, un nouveau poison non-certifié, vers les pompes funèbres agréées. Des apothicaires poudrés par la blanche, mais pas colombe, fournissaient leurs camelotes emmaillotées, mystérieusement encapsulées, vaticanisées et bénies par une camorra mondialisée et alliée à un Romain nommé « El Papé ».
La fléchette dégoupillée, fourguée d’un drone canonisé, genre foutaise-en-ski, faisait la joie du patient qui se mettait à chanter :
« Merci Necron, merci Necron, nous sommes heureux de travailler pour vous, on est heureux comme des fous, ce que vous faites ici-bas, un jour, Dieu vous le rendra … » …
… puis il clamait :
« On ira tous au paradis, c’est promis, nous faire p(n)iquer et rep(n)iquer, toute la famille au grand complet, cousins, cousines, neveux et nièces, Papy, Mamie, Papa, Maman, petitsenfants, la Bonne et moi (au moins trois fois, car on aime ça), Tonton, Tatie, aussi le chien, aussi le chat … » … « Puis, on ira au cinéma et au restaurant de Gégé pour son cassoulet renommé ». « On rentrera par le cimetière voir s’il reste de la lumière ».
Des sceptiques qui doutaient, pauvres imprudents qu’ils étaient, osaient poser des questions. Alors, la censure « Yawohl herr major » surgissait au pas de l’oie leur casser le reste des dents.
Deux moribonds post-injectés se disputaient un cercueil d’un bois rare, très cher aussi. L’un d’entre eux voulait qu’on y place ses dernières économies à dépenser au paradis pour une divine comédie, une ultime surprise partie avec St Truc ou St Machin, St Boutentrain. Les funérailles s’accumulaient. Les pompes funèbres du son d’un gong très excité, en un seul orchestre trompétaient, puis orgasmaient à l’unisson de tout ce pognon qui pleuvait.
Les familles n’oubliaient jamais de se rendre chez le banquier, vérifier si rien n’y manquait. Puis venait l’instant du notaire, parfois joyeux, parfois amère. Curieusement, telles des mouches assommées, tombées sur le carreau, de vie à trépas elles passaient après les pics-pics des margoulins qui veulent à autrui tant de bien.
« Enterrements et oraisons » était la nouvelle chanson en vogue dans les institutions qui riaient avec Satan, aux pas cadencés et rythmés, d’un geste singulier, le bras droit tendu relevé.
Salauski, Necronus, leurs Maquerelles, s’égosillaient au rythme de l’hymne des fous.
Les arnaques financées par les maffieux du clan Satan au sein des églises infiltrées, se succédaient allègrement : pics-pics, supercherie climatique, épandages connus dans le ciel d’aérosols de métaux lourds mal connus, perturbateurs endocriniens dans les environnements, empoisonnements de sols fertiles, escroquerie du CO2 si nécessaire aux végétaux, adultes infantiles désaxés, genrés manipulés, « attentats à la vie », enfants maltraités et bloqués dans leur puberté, extorsions des consentements, dérèglements des ciboulots surtout de nos gigolos, démentiels-timbrés pas rigolos, sectaires formatés, monstres cinglés par magie noire et crétineries digitales, propagandistes dégénérés dont la mort est déjà programmée !
Tandis que le tartuffe inverti, psychotique pervers narcissique, très kriffé à la meute maffia, triste sire d’une enfance perturbée, « l’bobo de Paris », nouveau Barabbas maudit, lui, dansait la Salsa du Démon avec sa sorcière Draculée, sinistrée de la cage aux folles, sans humour, rides cachées, toute grimée « genre ch’tit-j.mi flétri ».
Les citoyens qui doutaient ou mieux ceux qui comprenaient, attendaient la sortie du film primé au festival des horreurs, des « cannes » et des « canards » meurtris, sans têtes, décérébrés : « six pieds sous terre au cimetière ».
Pendant ce temps, Dieu jouait pile et Satan de face préparait la seconde partie de cette monstrueuse tragédie d’une série qui faisait « FURHER » auprès des téléspectateurs.
Au camp de vacances « les barbelés joyeux » d’un bord de mer très convoité pour son gaz et pour son pétrole, résidaient des survivants dont des enfants sans leurs parents, pendant que des phoques otanesques et des otaries ahuries ratissaient large dans les crémeries du reste des chancelleries.
Déterminé à inclure ses coups bas aux joujoux de Paris 24 pour les infantiles abrutis, du sein des probabilités Satan s’apprêtait à créer de nouveaux mythes alambiqués, pour occuper l’humanité, les anciens étant périmés.
D’autres poisons bien emballés, par millions de doses réservées à des cheptels hypnotisés, arrivaient à peine à Roissy que déjà le champagne à flot coulait à la place Beauvau où Satan par son dard malin avait infiltré ses monstres vendus à des sinistres reconnus.
Question : Que faire ?
Réponse : RIEN.
WU WEI en Chinois signifie : « Rien faire ». « Faire rien » est une erreur. RIEN FAIRE est serein. Les destins suivent leur chemin : Fata viam inveniunt.
Question : Mais si tout le monde fait comme vous, le monde va s’arrêter ?
Réponse : En ce qui me concerne, je n’y vois aucun inconvénient.
Rassurez-vous, ce n’est pas la veille !
Autre chose : savez-vous que le mot « folie » signifie « enfler, être enflé » et que le mot « fou » du latin « follis » signifie « sac rempli d’air » ? Comme dit le langage populaire : « Quelles bandes d’enflures ! », drôlement « gonflés » ces types-là !
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