C’est une petite phrase qui n’est pas passée inaperçue. Et que l’Élysée n’a pas démenti. Lundi 10 juin, au lendemain de la dissolution, Emmanuel Macron se rend à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) pour y célébrer le 80e anniversaire des massacres de civils par les SS les 9 et 10 juin 1944.
« Je prépare ça depuis des semaines ».
Durant les commémorations, il s’entretient avec un grand patron, proche de l’Élysée. Celui-ci lui aurait demandé : « Ça va, pas trop dures, ces journées ? », selon le journal Le Monde. « Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent… »
Voilà donc le contentement indécent de cet effroyable président qu’est Macron.
Une homme aux failles intellectuelles, psychologiques et politiques béantes, « jouant » avec le peuple d’une nation qu’en réalité il déteste depuis toujours.
Il n’aime pas les Français… et les Français le savent, le perçoivent.
Seul une petite caste citadine, bourgeoise, victorieuse de la mondialisation, vote pour ce triste sire, d’ailleurs pas par conviction mais uniquement par intérêt.
Le problème c’est que c’est sans doute ses partisans, qui ont le moins intérêt au désordre et qu’il punira le plus.
Pour les autres, le petit peuple qu’il déteste tant, c’est déjà le désordre au quotidien, les difficultés économiques et les lendemains incertains.
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