Amour métaphysique
des Démons et des Hommes
Par Dharma
Lors
d’une visite à Paris, un journaliste demanda au Dalaï-lama la
signification du mot Nirvâna. Le Dalaï-lama lui répondit : « Il n’y a
pas le feu ! ».
Non,
il y a le feu. Que dit le Sutta du feu ? Une maison est en feu. Des
enfants jouent à l’intérieur, ne savent pas que la maison brûle et que
leur vie est donc en danger. Leur père arrive à temps pour voir que la
maison est en feu. Aussitôt, il use d’un stratagème pour faire sortir
ses enfants et les sauvent.
(Le Père représente l’homme éveillé par l’Intuition métaphysique, le Sage qui instruit les hommes aveuglés et qui les sort de la maison en feu, le monde des désirs.)
Dès
la Tradition primordiale, du vivant du Bouddha, 40 techniques
classiques de méditation étaient pratiquées par les moines sur le
cheminement à la fois progressif et abrupte, vers le Nirvâna. Ces
Techniques toujours connues et peuvent être pratiquées si elles sont
justement enseignées, ce qui devient de plus en plus rare. Certaines
sont réservées aux moines. Il en est une qui concerne chacun. C’est les 4
aspects de l’amour dharmique illimité, inconditionné. Ces 4 aspects
sont :
1. Maitri : Amour pur, bienveillant, illimité.
Si le silence du Sage est un silence vertueux cela ne l’empêche pas si nécessaire de dire des paroles justes quand il le faut. Mais le silence peut résulter de la peur, de la lâcheté, du manque de courage, du manque d’amour agissant, Karunâ. Tout est assez clair.
Le mot « MENSONGE » vient de la racine Sanscrite « men » qui a donné en Sanscrit le mot « manas : mental », le mot Sanskrit « Manusya : humain » qui deviendra en Occident le mot « Manouche » puis Romanichel, enfin en anglais « man : homme ». « Man et mensonge font ainsi lien constant », sauf pour ceux qui en douteraient.
C’est ainsi que le mensonge a toujours été la marque d’infamie du politique et du religieux.
Ce mot « mensonge » détermine l’existence humaine au sein du « monde des désirs » (lat. desiderare : cesser de voir, être aveuglé), en Sanskrit le « kâma-loka ». Dans cette fin du Kali Yuga, l’âge sombre, l’âge de fer, dont la fin se rapproche à grands pas et dans lequel nous sommes sans aucun doute en ces moments sataniques. On retrouve en grec ancien, Satan, en hébreu ancien, Shâtân, qui est, psychologiquement nommé « l’adversaire », ce qui complique les besoins naturels au profit du désir égaré et entretenu par ses propagandistes dominants qui dirigent par la haine, l’avidité, la division, le diable signifiant « ce qui se met en travers », vecteurs de l’entropie galopante, de la destruction généralisée. SANSCRIT signifie PARFAIT pour qui peut être capable de connaître et comprendre les mots-clés de cette langue intemporelle dont, d’ailleurs, nul ne connait l’origine.
Il est « essentiel » (véritable traduction du mot Sanscrit « Satya ») de comprendre et de « pouvoir re–connaître ce monde tel qu’il est ». Pour cela il faut être informé correctement sans être désinformé, connaître « les causa : les choses, les phénomènes » pour s’en Libérer, tout au-delà du fait de se croire libre, ce qui est une illusion, sauf quand la seule solution libératrice est d’aller au-delà des phénomènes (latin « phaenomenon », grec « phainomenon : APPARENCES »).
Ainsi, « Voir profondément » que « tout n’est qu’apparences trompeuses » et que, dans ces apparences, l’humain croyant, manipulé, hypnotisé, vampirisé, est plongé dans le bourbier jusqu’au bord supérieur de la lèvre inférieure !
Depuis des temps inconcevables, du moins depuis 4000 ans, Dieu « joue-il aux dés ? ». Ce très ancien jeu des possibles parmi les possibles nourrit les mythologies déformées, au profit des manipulations et hypnoses collectives, croyances, superstitions, préjugés, opinions dans et par le rationalisme et l’irrationnel, orchestrés par des dominants fanatiques quels qu’ils soient.
Dans la guerre de l’information le mot « Dieu » reste neutre. Le mot vient du Sanscrit DEVA qui a donné en Occident les mots latins DEUS, et DIES, le jour. Ce mot représente tout simplement « cela qui éclaire, cela qui brille ». Il s’adresse aux humains hélas rarement capables de « pouvoir ne pas croire » pour pouvoir comprendre ce qui leur est dit.
Satan incarne la désinformation. Il veut tous les pouvoirs car sa soif psychotique-pathologique est insatiable. Esclave de ses pulsions incohérences, obsédé, grand falsificateur de l’histoire, tueur des messagers, il cherche constamment à rallier à ses armées de diablotins et de lucifériens les hommes errants aveuglés dans le grand cirque de sa folie. 2020-2024 en est l’illustration parfaite. Et ce n’est pas terminé.
En termes dualistes, Dieu, le brillant, est grand et son pardon est sans trahison.
« Entropie-néguentropie-homéostasie-rétroaction ».
« Distorsion-confusion-désinformation-incompréhension ».
Question :
Réponse :
Question :
Sur i24News, l’ancien ambassadeur d’Israël à Paris Avi Pazner raconte le jour où Jacques Chirac
a traité de menteur Benyamin Netanyahou, lui disant en face: “Je ne
crois pas un mot qui sort de votre bouche. Toute votre politique
consiste à provoquer les Palestiniens.” Quand Chirac a traité Netanyahu de menteur.
(Le Père représente l’homme éveillé par l’Intuition métaphysique, le Sage qui instruit les hommes aveuglés et qui les sort de la maison en feu, le monde des désirs.)
1. Maitri : Amour pur, bienveillant, illimité.
2.
Karunâ : Amour agissant, la compassion, illimités Tous les moyens
habiles sont mis en œuvre par le guide pour provoquer la compréhension.
3. Mûdita : Amour joyeux illimité pour le bonheur des autres.
4. Upeksha : Amour serein, transcendant en non-différence illimitée par la Vue des choses telles qu’elles sont.
Revenons au Dalaï-lama. Il ne peut pas ne pas connaître ces quatre aspects de l’amour métaphysique. Dans le cas contraire ce serait ennuyeux. Un moine qui se prétend être le guide d’une modalité bouddhique ne doit pas consacrer son temps à la politique, mais il peut témoigner de cet Amour métaphysique pour informer, aider et conduire le politique à stopper ses horreurs perpétrées, comme, par exemple, actuellement, au moyen orient.
Revenons au Dalaï-lama. Il ne peut pas ne pas connaître ces quatre aspects de l’amour métaphysique. Dans le cas contraire ce serait ennuyeux. Un moine qui se prétend être le guide d’une modalité bouddhique ne doit pas consacrer son temps à la politique, mais il peut témoigner de cet Amour métaphysique pour informer, aider et conduire le politique à stopper ses horreurs perpétrées, comme, par exemple, actuellement, au moyen orient.
Pourquoi ne l’entendons-nous pas témoigner de cet amour pour apaiser le politique ?
Pourquoi
a-t-il fait la promotion des injections comme l’autre chef religieux du
Vatican qui insistera sur le fait de se faire injecter « par amour »
?!!
Pourquoi
ce moine, ami du Dalaï-lama, généticien de formation, affilié au Forum
économique Mondial, ne se manifeste-t-il plus sur les plateaux TV ?!
Si le silence du Sage est un silence vertueux cela ne l’empêche pas si nécessaire de dire des paroles justes quand il le faut. Mais le silence peut résulter de la peur, de la lâcheté, du manque de courage, du manque d’amour agissant, Karunâ. Tout est assez clair.
Le mot « MENSONGE » vient de la racine Sanscrite « men » qui a donné en Sanscrit le mot « manas : mental », le mot Sanskrit « Manusya : humain » qui deviendra en Occident le mot « Manouche » puis Romanichel, enfin en anglais « man : homme ». « Man et mensonge font ainsi lien constant », sauf pour ceux qui en douteraient.
C’est ainsi que le mensonge a toujours été la marque d’infamie du politique et du religieux.
Ce mot « mensonge » détermine l’existence humaine au sein du « monde des désirs » (lat. desiderare : cesser de voir, être aveuglé), en Sanskrit le « kâma-loka ». Dans cette fin du Kali Yuga, l’âge sombre, l’âge de fer, dont la fin se rapproche à grands pas et dans lequel nous sommes sans aucun doute en ces moments sataniques. On retrouve en grec ancien, Satan, en hébreu ancien, Shâtân, qui est, psychologiquement nommé « l’adversaire », ce qui complique les besoins naturels au profit du désir égaré et entretenu par ses propagandistes dominants qui dirigent par la haine, l’avidité, la division, le diable signifiant « ce qui se met en travers », vecteurs de l’entropie galopante, de la destruction généralisée. SANSCRIT signifie PARFAIT pour qui peut être capable de connaître et comprendre les mots-clés de cette langue intemporelle dont, d’ailleurs, nul ne connait l’origine.
Il est « essentiel » (véritable traduction du mot Sanscrit « Satya ») de comprendre et de « pouvoir re–connaître ce monde tel qu’il est ». Pour cela il faut être informé correctement sans être désinformé, connaître « les causa : les choses, les phénomènes » pour s’en Libérer, tout au-delà du fait de se croire libre, ce qui est une illusion, sauf quand la seule solution libératrice est d’aller au-delà des phénomènes (latin « phaenomenon », grec « phainomenon : APPARENCES »).
Ainsi, « Voir profondément » que « tout n’est qu’apparences trompeuses » et que, dans ces apparences, l’humain croyant, manipulé, hypnotisé, vampirisé, est plongé dans le bourbier jusqu’au bord supérieur de la lèvre inférieure !
Depuis des temps inconcevables, du moins depuis 4000 ans, Dieu « joue-il aux dés ? ». Ce très ancien jeu des possibles parmi les possibles nourrit les mythologies déformées, au profit des manipulations et hypnoses collectives, croyances, superstitions, préjugés, opinions dans et par le rationalisme et l’irrationnel, orchestrés par des dominants fanatiques quels qu’ils soient.
Dans la guerre de l’information le mot « Dieu » reste neutre. Le mot vient du Sanscrit DEVA qui a donné en Occident les mots latins DEUS, et DIES, le jour. Ce mot représente tout simplement « cela qui éclaire, cela qui brille ». Il s’adresse aux humains hélas rarement capables de « pouvoir ne pas croire » pour pouvoir comprendre ce qui leur est dit.
Satan incarne la désinformation. Il veut tous les pouvoirs car sa soif psychotique-pathologique est insatiable. Esclave de ses pulsions incohérences, obsédé, grand falsificateur de l’histoire, tueur des messagers, il cherche constamment à rallier à ses armées de diablotins et de lucifériens les hommes errants aveuglés dans le grand cirque de sa folie. 2020-2024 en est l’illustration parfaite. Et ce n’est pas terminé.
En termes dualistes, Dieu, le brillant, est grand et son pardon est sans trahison.
« Entropie-néguentropie-homéostasie-rétroaction ».
« Distorsion-confusion-désinformation-incompréhension ».
Question :
- Certains disent que le monde est programmé en auto–destruction, est-ce possible ?
Réponse :
-
OUI. Ceux qui comprennent l’atemporel et l’intemporel ne s’inquiètent
plus de rien. Mais il faut pour CELA et tout d’abord voir que le
temporel est une curieuse distraction constante pour les infantiles qui
ne peuvent ni ne veulent voir.
Question :
- Mais alors, pour ceux qui ne le comprendraient pas ?!
Réponse :
- La
notion de mort sert toujours à apprendre à vivre métaphysiquement vers
le « sans-naissance » ! Ceux qui ne le comprennent pas sont comme s’ils
étaient déjà morts.
Dieu le brillant restait calme et serein, le regard amusé et aimant, attendant son heure
patiemment, devant Satan, nerveux, crispé, très agité comme un « gamin-état-miaou » (1) disciple
de Satan.
Dieu
brillait. Impersonnel spectateur il contemplait le spectacle de la
folie. Il croisa de Gaulle qui, témoin, se leva et s’exclama : « Je vous
ai compris ! »
1) « Gamin-état-miaou » :
L'auteur du post fait allusion au Premier ministre surnommé "Satanyaou" sur les réseaux sociaux.
Benjamin Netanyahou, né Mileikowsky, petit-fils de Nathan Mileikowsky, est un mythomane.
Sarkozy : "Netanyahou, je ne peux plus le voir, c'est un menteur" (Le Point)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.