13 juin 2024

Cette dissolution pue la dictature européenne à plein nez

Ne nous réjouissons pas trop vite : la dissolution de l’Assemblée nationale française suite à la débâcle électorale européenne de la macronie n’augure rien de bon.

En réalité, elle inaugure la dissolution de la France dans le nouvel état européen que dirigera Mario Draghi dès cet été.

On notera ainsi l’empressement de Macron à annoncer cette dissolution alors que les chiffres officiels des résultats définitifs n’étaient même pas encore établis.

De même, la révélation dans la foulée des dates des futures élections législatives des 30 juin et 7 juillet alors que les différentes instances officielles n’avaient même pas été consultées préalablement : assemblée nationale, la première concernée, mais aussi sénat, partis politiques… est plus que suspecte.

Tout semble donc avoir été préparé en amont de longue date.

On ne peut s’empêcher ainsi de faire le parallèle évident avec la mise en place de la dictature sanitaire le 16 mars 2020 qui avait été préparée par le forum de Davos dès l’année précédente, avec une répétition générale par Klaus Schwab et ses complices dès septembre 2019. Cette « pandémie » qui n’était rien d’autre qu’une « plandémie » aura servi de matrice à ce qui se prépare aujourd’hui dans le même cénacle.

La désignation déjà acquise de Mario Draghi à la tête de la Commission européenne dans les semaines qui viennent va inaugurer un nouveau chapitre de l’Union de l’Enfermement qu’est devenue l’UE.

On bottera dehors chaleureusement l’ancienne taulière Von der Leyen qui rejoindra probablement Pfizer à Londres ou New York pour y finir une fin de carrière paisible en remerciement de tous ses bons sévices rendus aux populations occidentales…

Cette dissolution de l’Assemblée nationale est donc à marquer d’une pierre noire, car elle acte le début officiel de l’enterrement de la République française qui n’aura dorénavant guère plus de pouvoir que l’Ohio ou le Montana au sein de l’hégémon US.

Pour ce faire, Bruxelles aura à sa disposition un financier de haut vol qu’on ne peut que comparer aux nombreuses espèces prédatrices de la gente animale pour laquelle il n’y a que l’embarras du choix : requin, vautour, crocodile, chacal, mais pas hyène, déjà réservée à la sortante…

Ce fils de banquiers de père en fils qui a aiguisé ses crocs chez Goldman Sachs avant de devenir gouverneur de la banque d’Italie, puis président de la Banque Centrale Européenne est le prédateur idéal de la finance mondialiste pour faire de l’UE la première dictature technocratique du monde.

Il aura à sa disposition des seconds couteaux comme Macron qui n’acceptera jamais de continuer à diriger la France avec un gouvernement de cohabitation avec la victoire déjà annoncée du Rassemblement National aux prochaines élections législatives.

Il y a fort à parier que celles-ci seront les dernières élections nationales avant longtemps. La postulante qui remplacera Macron après les élections présidentielles qui devraient donc suivre les législatives, inaugurant la nouvelle fonction de l’Élysée : sous-préfecture de Bruxelles.

Pendant ce temps, la capitale belge abritera désormais autour de Mario Draghi un cabinet fantôme, probablement sur le modèle opaque des conseils de défense et autres conseils scientifiques de Macron pendant la dictature sanitaire, pour diriger et administrer les ex-états européens dissous dans l’administration kafkaïenne de la rue de la Loi, la bien nommée, à Bruxelles…

Tout ceci fait partie d’un plan qui se déroule depuis plus d’un siècle pour asseoir le pouvoir de la haute finance anglo-saxonne sur le monde.

Cette oligarchie financière apatride qui a déjà provoqué deux guerres mondiales et les millions de morts qui vont avec, n’en est plus à ça près de finir le sale boulot avec la troisième en préparation pour proroger son pouvoir en voie d’extinction.

Avec la gigantesque pyramide de Ponzi sur laquelle est assise la dette américaine, il n’y a pas d’autre issue pour cette oligarchie anglo-saxonne avant qu’elle ne s’effondre qu’une nouvelle guerre mondiale, encore et toujours contre la Russie, par proxys interposés pour piller ses richesses : Lénine, puis Hitler et maintenant l’UE, pour tenter de survivre dans ce monde multipolaire en voie d’expansion qui lui fait peur.

Avec Mario Draghi à la tête des nouveaux états européens dissous dans une UE plus tyrannique et belliciste que jamais, nul doute que la dépopulation européenne a encore de beaux jours devant elle.

On ne pourra pas encore une fois accuser la passivité des peuples européens face à ce nouveau suicide continental en train de s’écrire, et encore moins leur complicité, car on peut désormais sincèrement douter qu’ils s’en iront à nouveau la fleur au fusil comme en 14 quand Draghi et sa bande leur demandera le moment venu d’aller alimenter le hachoir à viande ukrainien.

L’abstention massive de ces élections (49 %) montre à quel point les peuples européens de plus en plus otages de cette ploutocratie financière anglo-saxonne n’ont plus d’autre choix que de s’en remettre aux Russes pour les délivrer de leurs geôliers. Cela commence par arrêter de considérer Poutine comme un nouvel Hitler qui veut envahir toute l’Europe, suivant le discours bien rodé de Mac Kinsey et autres cabinets de conseils américains pour accepter de servir de chair à canon pour la guerre de la finance mondialiste apatride.

Jean-Michel Grau

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