De nos jours, des vidéos sont rapidement censurées et les paroles s'envolent. Grâce à la transcription et l'impression de l'audio du film, les écrits restent
(Verba volant, scripta manent). De plus, la transcription des noms des
intervenants, des références et des données scientifiques facilitent des
recherches complémentaires.
Professeur Steven Koonin :
Voici une histoire de comment une peur environnementale excentrique est devenue une puissante industrie mondiale. C’est une merveilleuse opportunité commerciale, n’est-ce-pas ? Vous voulez le climat ? On vous le donnera ! Il y a énormément d’argent en jeu. « Il s’agit d’une énorme ARNAQUE financière ». Ce n’est pas seulement des milliards maintenant, mais des trillions de dollars qui sont en jeu. C’est une histoire d’intérêts privés et de financements gouvernementaux importants. Pour des gens comme moi, nos carrières dépendent essentiellement du financement de la recherche sur le climat. C’est ce que j’ai fait pendant presque toute ma carrière et c’est ce que font les autres climatologues avec leurs carrières. Ils ne veulent pas que cela s’arrête. Si le CO2 n’a pas les énormes impacts négatifs qu’on a prétendu qu’il avait à l’origine, comment va-t-on pouvoir subsister ? L’emploi de nombreuses personnes en dépend. Ils ne vont pas y renoncer.
C’est l’histoire de la « corruption de la science ».
Une urgence climatique n’existe pas actuellement sur cette planète.
Il n’y a aucune preuve de cette situation.
L’alarme climatique est un non-sens, un canular, je n’ai jamais aimé « canular », je pense
qu’ANARQUE serait mieux mais je suis prêt à m’arranger avec « canular ».
C’est une histoire sur l’intimidation, l’intimidation de quiconque qui oserait contester
l’alarme climatique.
Dénoncer ou parler du changement climatique d’une manière sceptique quelconque, c’était essentiellement un suicide professionnel. Des militants revendiquent même que tout « scepticisme » soit criminalisé. C’est l’histoire d’une agression contre la liberté individuelle. C’est une merveilleuse façon d’augmenter le pouvoir du gouvernement, et s’il y a une menace existentielle là, dehors, de portée mondiale, et bien, on aura besoin d’un puissant gouvernement mondial pour y faire face. On voit toutes sortes de mesures autoritaires en cours d’adoption au nom de la sauvegarde de la planète. Vous avez soudainement la population sous contrôle partout dans le monde.
CLIMAT LE FILM
LA FROIDE VERITE
Durée 1 :20:08.Dirigé et écrit Par Martin Duckin. Produit Par Tom Nelson. Doublé de l’Anglais par L’AILE à STICK. Film visible par Internet sur le site l’Aile à Stick ODYSSEE :
Nous appelions cela le progrès industriel. Depuis la révolution industrielle, le développement de la production de masse capitaliste du marché libre a permis de fabriquer toujours plus de produits toujours plus abordables pour un nombre toujours plus grand de personnes. La production de masse a marché main dans la main avec la consommation de masse. A l’ère moderne, les gens ordinaires jouissent d’un niveau de prospérité jamais vu auparavant dans l’histoire de l’humanité. Mais dans le même temps on nous dit que l’on détruisait la planète. Les ordinateurs ont calculé ce qui vous attend à mesure que nous produisons et consommons toujours plus. Le temps va empirer, la planète va bouillir. Nous, les humains avides, nous devons accepter des limitations sur notre mode de vie, de consommer moins, de voyager moins. Ceux qui nient la crise climatique n’ont pas seulement tort, ils sont dangereux, répandant le poison du doute parmi une population crédule. Ces négationnistes devraient être évités, humiliés et censurés car ces négationnistes du climat sont des « platistes », ils sont anti–sciences.
Un enseignant de l’université de New-York fait partie de ces négationnistes du climat. Le Professeur Steven Koonin est un des physiciens américains les plus éminents. Il était conseillé scientifique du président Obama et à la fois vice-président et doyen d’une des institutions scientifiques les plus prestigieuses au monde : j’enseigne les sciences du climat à mes étudiants et je leur dis toujours : « vérifiez vous-mêmes les données ou les publications », et ils sortent tous de ce cours avec leurs yeux grands ouverts. Le livre à succès du Pr Koonin soutient que les études scientifiques traditionnelles et acceptées par les agences officielles ne soutiennent pas l’idée qu’il y aurait une quelconque crise climatique. Bien sûr, on m’a traité de négationniste et ma réponse à cela est : « dites-moi ce que je nie ? Parce que je ne fais que citer directement les rapports scientifiques officiels de l’ONU.
Wielicki rejette également les déclarations des alarmistes climatiques. Il est un des plus éminents météorologues du monde et a été Professeur de météorologie dans deux universités à Harvard et au MIT, et a fait partie du groupe d’experts inter-gouvernementaux de l’ONU sur l’évolution du climat, appelé également le G.I.E.C, le même groupe d’expert intergouvernemental sur l’évolution du climat. Si vous consultez la section du groupe de travail N°1 qui est la partie scientifique, ils ne soutiennent aucune de ces affirmations. Je peux vous l’assurer pour y avoir servi que c’est tendancieux, mais il était impossible de convaincre de vrais scientifiques d’accepter certaines de ces absurdités qui ont été promues.
Will Happer était aussi un négationniste et un physicien américain éminent, il a été conseiller scientifique auprès de trois présidents et professeur de physique dans deux universités de Columbia et de Princeton ; Il y a cette idée malicieuse qui est promue que la vérité scientifique est déterminée par un consensus. Dans la vraie science il y a toujours des disputes. Vous savez, aucune science n’est jamais établie. Vraiment, c’est absurde que les gens disent que la science du climat est établie, spécialement pour le climat.
Le Dr John Clauser est un des scientifiques les plus respectés au monde ; en 2022 il a reçu le prix Nobel de physique. La science qui se fait actuellement est terriblement mauvaise à mon avis. Il existe un grand nombre de scientifiques qui sont en profond désaccord et ils se qualifient comme sceptiques. Puisque je ne m’inquiète plus de perdre un financement ou un emploi, peu importe, je me considère comme un négationniste du changement climatique.
Ces scientifiques très éminents et respectés, et d’autres comme eux ne sont pas des platistes, ils ne nient pas la science. Alors, quelles sont les preuves qui les ont amenées à rejeter l’alarme climatique comme un non-sens ?
On nous dit que les températures actuelles sont sans précédent et dangereusement élevées. Il est possible de vérifier si cela est vrai parce que nous avons des mesures de l’histoire climatique de la terre datant de centaines des milliers, voire des millions d’années ! Le désert de Judée au bord de la mer morte. Le Pr. Nir Shaviv depuis son institut de physique est venu ici à la recherche d’indices. Il y a des milliers d’années, cet endroit était submergé et c’est gravé dans les rochers par des lignes qui, si vous savez lire, racontent un récit sur l’histoire climatique de la terre. Voici le climat : nous nous trouvons dans le lit d’un lac qui était autrefois le lac Lisan. C’est ce lac qui a existé jusqu’à la fin de la dernière période glaciaire. A l’époque, le niveau du lac se trouvait peut-être à une centaine de mètres au-dessus de là où nous sommes actuellement. Quand on veut reconstruire le climat du passé, on doit rechercher des preuves, des indices. Quand le lac existait, les dépôts se sont formés et en regardant ces couches ici on peut effectivement reconstituer la façon dont le climat a changé.
Une eau plus chaude signifie plus de vie et une accumulation plus élevée de coquillages et d’os de créatures marines, et d’autres changements qui se reflètent dans les anciennes couches du lit du lac. Et les lignes agissent comme une sorte de thermomètre et ce n’est qu’une des manières que les géologues peuvent reconstituer le climat du passé. Dans d’autres endroits, on peut aller dans des grottes de stalagmites et inspecter les cernes annuels que l’on a avec les stalagmites. Ou alors on peut faire des carottes au fond de l’océan et puis examiner les couches qu’on y trouve. Ou encore on peut le faire dans différents endroits, mais je pense que c’est un des endroits les plus sympathiques parce que l’on peut voir réellement comment le climat a changé. Alors, quand on remonte le temps, que trouve-t-on ? Durant 200 millions d’années, les dinosaures parcouraient la terre. La terre marquée par des forêts denses et fertiles regorgeait de vie et à aucun moment durant ces 200 millions d’années les températures ont été aussi froides qu’aujourd’hui. Si l’on remonte, disons, à 200 millions d’années, il faisait peut-être 13 degrés de plus qu’actuellement. Donc, du point de vue géologique, ce n’est pas du tout sans précédent. Au cours des 500 derniers millions d’années, les températures ont beaucoup varié mais pendant presque tout ce temps, la terre était beaucoup plus chaude qu’aujourd’hui. Par rapport au dernier demi-milliard d’années, la terre est en ce moment exceptionnellement froide. En fait, il y a eu très peu de moments où il a fait si froid. Il fait relativement froid, peut-être pas tout à fait le plus froid qu’il a jamais été durant 500 millions d’années, mais assez proche.
Docteur Matthew Wielicki, géologue :
On se trouve dans une période remarquablement froide si l’on considère les 550 derniers millions d’années. En fait, seulement au cours d’une seule autre période durant ces derniers 500 millions d’années, la température a été aussi fraiche que maintenant. Les mammifères qui habitent la terre actuellement ont commencé à évoluer il y a environ 60 millions d’années quand le monde était beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui. Si l’on considère juste les derniers 65 millions d’années, c’est donc juste après l’extinction des dinosaures, les mammifères commencent vraiment à prendre le dessus et nos ancêtres commencent à vivre sur la terre. Au cours des 65 derniers millions d’années, la période a été plus chaude qu’elle ne l’est aujourd’hui. Les mammifères de la terre, y compris les humains, semblent prospérer quand il fait chaud, et plus chaud qu’aujourd’hui.
Patrick Moore, co-fondateur de Greenpeace :
Il ne fait aucun doute que chaud c’est mieux que froid dans l’histoire géologique. Nous sommes une espèce tropicale. Un être humain nu à l’ombre peut mourir d’hypothermie à 20 degrés. Nous avons évolué à l’équateur, en Afrique. Les seules raisons que l’on a pu avoir pour se sortir de là ont été le feu, un abri et des vêtements. Au cours des 50 derniers millions d’années, les températures ont régulièrement baissé, plongeant la terre dans ce que les géologues appellent la période glaciaire, « Late Cénozoïque Ice Age » : le cénozoïque antérieur. Nous sommes dans cette période glaciaire. La raison pour laquelle il y a toute cette glace sur les pôles, c’est parce que nous nous trouvons dans une ère glaciaire. Tout le monde le sait. Qui connaît l’histoire de la terre ? C’est un âge de glace. On se trouve à la partie antérieure, une période de refroidissement de 50 millions d’années et ils disent qu’il fait trop chaud. Si l’on se concentre sur les derniers millions d’années, on voit les températures qui baissent et en même temps en train de fluctuer entre les périodes extrêmement froides et des périodes un peu plus douces. Les périodes extrêmement froides sont appelées des « maxima glaciaires » lorsque la planète est principalement recouverte de glace. Les périodes moins froides sont appelées « minima glaciaires » quand il n’y a que de la glace aux pôles. Depuis 10.000 ans heureusement, nous avons été dans un minimum glaciaire légèrement moins froid, connu comme « l’Holocène ». Avec un temps plus doux, les humains ont commencé à émerger de leurs grottes et, il y a plusieurs milliers d’années, on a assisté à l’essor des premières grandes civilisations.
Dans une période heureuse où selon de nombreuses études il faisait considérablement plus chaud qu’aujourd’hui, c’est ce que l’on appelle « l’optimum climatique de l’holocène ». On l’appelait un optimum parce que les gens pensaient que chaud c’était mieux. Depuis, les températures ont baissé et ont commencé à fluctuer. A l’époque Romaine il y a eu une merveilleuse période chaude suivie d’une période froide brutale de l’âge sombre. Puis vint la période tempérée du moyen-âge où selon de nombreuses études, il faisait aussi chaud ou plus chaud qu’aujourd’hui suivi d’une période particulièrement froide connue sous le nom de « petit âge glaciaire », peut-être la plus froide de ces 10.000 dernières années. Et voici la période chaude Romaine.
Roman warm : 0 à 300 (période chaude Romaine)
Cold dark age : 300 à 800 (l’âge sombre et froid)
Medieval warm : 800 à 1300 (la période chaude médiévale)
Little ice age : 1300 à 1650 (le petit âge glaciaire très froid), duquel… … depuis 300 ans nous sommes en train de récupérer.
Le
plus lourd record instrumental de température au monde vient du centre
de l’Angleterre et voici ce qu’il montre : depuis le petit âge glaciaire
vers 1650, la température est montée doucement d’un peu plus de « 1 »
degré Celsius. Le record de température du centre de l’Angleterre est un
trésor mondial. Vous savez, c’est le plus long registre que nous ayons
et ce n’est certainement pas un enregistrement très alarmant. Tout a
commencé au plus profond du petit âge glaciaire et on peut voir le léger
réchauffement suivant le petit âge glaciaire et il n’y a absolument
rien de très alarmant par rapport à ce qui se passe aujourd’hui au vu
des derniers enregistrements. La majeure partie du réchauffement que
l’on observe aujourd’hui c’est la reprise après le petit âge glaciaire
quel que soit ce qu’il a causé.
Et bien, vous savez, on parle sur l’ensemble de la période industrielle d’environ « 1 » degré. Pour remettre en perspective ce « 1 » degré, regardons Central Parc à New-York. Les enregistrements nous montrent qu’il n’y a pas eu de changements de température en moyenne ici depuis 1940, mais d’une année sur l’autre la température moyenne peut varier de 3 degrés sans que de nombreux New-Yorkais s’en rendent compte.
En fait, entre l’année la plus chaude dans les années 1960 et la plus froide dans les années 2000, il y a eu une différence de 5 degrés.
Professeur Steven Koonin, physicien, NYU et écrivain :
Et bien, vous savez, on parle sur l’ensemble de la période industrielle d’environ « 1 » degré. Pour remettre en perspective ce « 1 » degré, regardons Central Parc à New-York. Les enregistrements nous montrent qu’il n’y a pas eu de changements de température en moyenne ici depuis 1940, mais d’une année sur l’autre la température moyenne peut varier de 3 degrés sans que de nombreux New-Yorkais s’en rendent compte.
En fait, entre l’année la plus chaude dans les années 1960 et la plus froide dans les années 2000, il y a eu une différence de 5 degrés.
Professeur Steven Koonin, physicien, NYU et écrivain :
La
Température moyenne de ce jour-ci pourrait avoir une différence de 5
degrés par rapport à la température moyenne d’il y a 1 ou 2 ans.
Professeur Will Happer, physicien, Princeton University :
Quand
j’entends les gens palabrer sur les 1,5 degrés menant à la fin de la
civilisation, je me demande « qu’est-ce qu’ils ont fumé ?! » C’est
complètement fou.
D’après les relevés thermométriques depuis 1880, il n’y a eu qu’une très légère augmentation de la température. Mais c’est seulement en étirant l’axe « y » de ce graphique qu’on peut voir l’augmentation et c’est la ligne ascendante utilisée par les agences officielles comme preuve du réchauffement climatique ! Mais est-ce exact ?
Le Professeur est un expert en analyse statistique à l’université de Yale. Il a remarqué quelque chose d’étrange concernant les registres de thermomètres modernes qui, même dans la même région, donnent des valeurs très différentes selon l’endroit où ils se trouvent.
J’étais intéressé par la question : Comment expliquer la configuration spatiale du réchauffement ? Certains endroits se réchauffent plus que d’autres et il s’avère que c’est étroitement corrélé à la structure spatiale de l’activité économique. Là où il y a plus de monde, il y a plus d’activité humaine donc plus de chaleur. C’est ce que l’on appelle l’effet d’îlot de chaleur urbaine. L’effet d’îlot de chaleur urbaine, c’est essentiellement comme Londres.
Dr Willie Soon, astrophysicien et scientifique de la terre, CERES :
Vous choisissez Londres avec des bâtiments, avec beaucoup d’activité, a tendance à être de quelques degrés, je veux dire, de 4 à 5 degrés Celsius de plus que dans la périphérie. Il s’agit d’un phénomène d’urbanisation.
De nos jours, il est évident que c’est le béton qui retient la chaleur. On peut le constater avec une carte thermique satellite de Paris. Le centre de Paris peut être jusqu’à 5 degrés plus chaud que la campagne environnante. Paris, Londres, Pékin, Shangaï, et j’en passe, New Delhi, ont absolument démontré ces effets. Alors, comment cela a-t-il affecté le record officiel de température ? Au début du 20ième siècle, il était normal de construire des stations météorologiques juste à l’extérieur des villes assez proches pour être vérifiées tous les jours, mais loin de la chaleur de la vie urbaine ; et au cours du 20ième siècle ces villes se sont agrandis et les banlieues se sont étendues. Il y a plus de routes, plus de voitures. Des thermomètres qui se trouvaient autrefois hors des villes sont maintenant entourés de centres commerciaux, de bureaux, d’usines et de maisons.
Dr Roy Spencer, U.S. Science Team leader NASA’s Aqua Satellite :
Ces villes ou tous ces lieux où se trouvent les thermomètres, en moyenne ont tous vu une augmentation de population, disons-le, depuis 1880. Vous avez des bâtiments qui poussent autour des thermomètres, vous avez des parkings. Donc, on a toutes ces influences « non climatiques » qui influencent les températures. Ce qui soulève des questions quant à la qualité des données relevées de température utilisées pour surveiller le réchauffement climatique. Pour couper ces corruptions de données, une solution évidente serait d’utiliser uniquement des enregistrements des stations météorologiques rurales qui ont été moins touchées par le développement urbain. Ceci a été maintenant réalisé par une équipe dirigée par le Dr Willie Soon : quand on a utilisé toutes les meilleures stations rurales, tout ce que l’on pouvait corriger on l’a corrigé et on a montré que si l’on n’utilise pas l’ensemble des données, mais uniquement les stations rurales, on obtient une image très différente.
D’après les relevés de températures en milieu rural, les températures ont augmenté depuis les années 1880 mais ont culminé dans les années 1940 ; ensuite il y a eu un net refroidissement jusque dans les années 1970 ; après cela les températures se sont rétablies mais elles sont toujours aujourd’hui à peine plus élevées que dans les années 1940.
Ce que nous voyons c’est en gros un réchauffement depuis les années 1850-1900 jusque dans les années 1930 et 1940 et puis cela s’est refroidit de manière substantielle vers les années 1970-1976 environ. Au lieu d’une tendance de réchauffement systématique à long terme il y a une variabilité sur plusieurs décennies, une sorte de variation sur 50 ou 60 ans environ.
Il n’y a pas que les thermomètres ruraux qui montrent peu de réchauffement. Les navires marchands et les navires de guerre ont mesuré la température de la mer depuis le 19ième siècle.
En rouge, on voit le record de température des terres depuis les années 1860 qui a été gonflé par les thermomètres urbains, mais en bleu on voit le relevé des températures des océans ; à partir de 1900 environ les deux commencent à s’écarter, les registres océaniques montrent beaucoup moins de réchauffement durant le 20ième siècle et cela ressemble davantage au registre de température en milieu rural.
La mer n’est pas sensée être contaminée par les effets d’îlot de chaleur urbaine ; quand on compare les deux registres dans le domaine d’incertitude ils correspondent très bien.
Les scientifiques ont également étudié les changements de température en regardant les cernes des arbres, ce qui encore une fois montre très peu de réchauffement ; il y a eu une légère hausse jusqu’au milieu du 20ième siècle, puis un refroidissement jusque dans les années 1970, suivi d’une légère reprise. Une fois de plus on voit que les températures d’aujourd’hui sont à peine différente de celles des années 1930 ou 1940 et le graphique ressemble beaucoup à celles des températures rurales. Les satellites aussi semblent raconter une histoire différente.
Notre capacité de mesurer avec précision la température mondiale a fait un bond en avant lorsque les satellites ont commencé à tourner autour de la terre. L’un des scientifiques pionniers pour l’utilisation des satellites pour mesurer la température est le Dr Roy Spencer qui dans les années 1980 était scientifique principal pour le climat au centre de vol spatial Marchal de la NASA. Nous discutions : « n’y aurait-il pas un moyen d’utiliser les satellites pour surveiller les températures mondiales ? » Car comme vous le savez, le réseau de relevés des températures est assez maigre dans le monde. Il est donc difficile d’obtenir une température globale. Le développement par le Dr Spencer des satellites météorologiques était révolutionnaire. Lui et son collègue ont reçu une médaille de la NASA pour résultats scientifiques exceptionnels. Nos données satellites commencent en janvier 1979. C’est alors que nous avions une couverture mondiale complète et elle est toujours d’actualité. Il y a une question cruciale concernant les températures et les satellites sont particulièrement bien équipés pour y répondre.
Y a-t-il un « faux réchauffement » qui se serait glissé dans le registre mondial de température sur terre ? Ou serait-ce juste le résultat d’une augmentation de la population ? Et c’est quelque chose que nous sommes en train d’analyser et sur lequel on a beaucoup travaillé ces derniers temps et nous avons constaté que surtout en milieu urbain c’est énorme. Et depuis 1880, la plupart du réchauffement à l’air d’être dû à l’effet d’îlot de chaleur urbaine.
Nous avons la chance d’avoir quelques scientifiques indépendants comme Spencer avec leurs mesures satellitaires de température. Vous savez, avant qu’ils ne commencent à publier cela, les registres de température au sol se déchainaient et ils montaient. C’était une folie sans limite. Mais maintenant, ils doivent lutter avec le fait qu’il y a cette façon indépendante et probablement meilleure de mesurer la température du globe entier sans déclencher la moindre alarme. Des preuves évidentes provenant de plusieurs sources concordent désormais pour dire que le registre officiel des températures mondiales telles qu’elles sont utilisées par les gouvernements du monde et rapportées par les médias internationaux montrent un réchauffement bien trop élevé au cours des 120 dernières années, artificiellement gonflé par l’urbanisation. Si on regarde le registre des ballons météos, celui des satellites et le registre rural, le registre des océans ne se réchauffe pas autant que celui de la terre. Tout ceci nous indique que la grande impulsion de réchauffement que l’on voit dans ce registre vient du registre terrestre de l’hémisphère nord et c’est de là que se produit la majeure partie de cette « contamination des données ». Mais le léger réchauffement qui s’est produit au cours des 300 à 400 dernières années, est-ce que l’on peut attribuer une partie de cela aux émissions humaines de CO2 ?
D’après les relevés thermométriques depuis 1880, il n’y a eu qu’une très légère augmentation de la température. Mais c’est seulement en étirant l’axe « y » de ce graphique qu’on peut voir l’augmentation et c’est la ligne ascendante utilisée par les agences officielles comme preuve du réchauffement climatique ! Mais est-ce exact ?
Le Professeur est un expert en analyse statistique à l’université de Yale. Il a remarqué quelque chose d’étrange concernant les registres de thermomètres modernes qui, même dans la même région, donnent des valeurs très différentes selon l’endroit où ils se trouvent.
J’étais intéressé par la question : Comment expliquer la configuration spatiale du réchauffement ? Certains endroits se réchauffent plus que d’autres et il s’avère que c’est étroitement corrélé à la structure spatiale de l’activité économique. Là où il y a plus de monde, il y a plus d’activité humaine donc plus de chaleur. C’est ce que l’on appelle l’effet d’îlot de chaleur urbaine. L’effet d’îlot de chaleur urbaine, c’est essentiellement comme Londres.
Dr Willie Soon, astrophysicien et scientifique de la terre, CERES :
Vous choisissez Londres avec des bâtiments, avec beaucoup d’activité, a tendance à être de quelques degrés, je veux dire, de 4 à 5 degrés Celsius de plus que dans la périphérie. Il s’agit d’un phénomène d’urbanisation.
De nos jours, il est évident que c’est le béton qui retient la chaleur. On peut le constater avec une carte thermique satellite de Paris. Le centre de Paris peut être jusqu’à 5 degrés plus chaud que la campagne environnante. Paris, Londres, Pékin, Shangaï, et j’en passe, New Delhi, ont absolument démontré ces effets. Alors, comment cela a-t-il affecté le record officiel de température ? Au début du 20ième siècle, il était normal de construire des stations météorologiques juste à l’extérieur des villes assez proches pour être vérifiées tous les jours, mais loin de la chaleur de la vie urbaine ; et au cours du 20ième siècle ces villes se sont agrandis et les banlieues se sont étendues. Il y a plus de routes, plus de voitures. Des thermomètres qui se trouvaient autrefois hors des villes sont maintenant entourés de centres commerciaux, de bureaux, d’usines et de maisons.
Dr Roy Spencer, U.S. Science Team leader NASA’s Aqua Satellite :
Ces villes ou tous ces lieux où se trouvent les thermomètres, en moyenne ont tous vu une augmentation de population, disons-le, depuis 1880. Vous avez des bâtiments qui poussent autour des thermomètres, vous avez des parkings. Donc, on a toutes ces influences « non climatiques » qui influencent les températures. Ce qui soulève des questions quant à la qualité des données relevées de température utilisées pour surveiller le réchauffement climatique. Pour couper ces corruptions de données, une solution évidente serait d’utiliser uniquement des enregistrements des stations météorologiques rurales qui ont été moins touchées par le développement urbain. Ceci a été maintenant réalisé par une équipe dirigée par le Dr Willie Soon : quand on a utilisé toutes les meilleures stations rurales, tout ce que l’on pouvait corriger on l’a corrigé et on a montré que si l’on n’utilise pas l’ensemble des données, mais uniquement les stations rurales, on obtient une image très différente.
D’après les relevés de températures en milieu rural, les températures ont augmenté depuis les années 1880 mais ont culminé dans les années 1940 ; ensuite il y a eu un net refroidissement jusque dans les années 1970 ; après cela les températures se sont rétablies mais elles sont toujours aujourd’hui à peine plus élevées que dans les années 1940.
Ce que nous voyons c’est en gros un réchauffement depuis les années 1850-1900 jusque dans les années 1930 et 1940 et puis cela s’est refroidit de manière substantielle vers les années 1970-1976 environ. Au lieu d’une tendance de réchauffement systématique à long terme il y a une variabilité sur plusieurs décennies, une sorte de variation sur 50 ou 60 ans environ.
Il n’y a pas que les thermomètres ruraux qui montrent peu de réchauffement. Les navires marchands et les navires de guerre ont mesuré la température de la mer depuis le 19ième siècle.
En rouge, on voit le record de température des terres depuis les années 1860 qui a été gonflé par les thermomètres urbains, mais en bleu on voit le relevé des températures des océans ; à partir de 1900 environ les deux commencent à s’écarter, les registres océaniques montrent beaucoup moins de réchauffement durant le 20ième siècle et cela ressemble davantage au registre de température en milieu rural.
La mer n’est pas sensée être contaminée par les effets d’îlot de chaleur urbaine ; quand on compare les deux registres dans le domaine d’incertitude ils correspondent très bien.
Les scientifiques ont également étudié les changements de température en regardant les cernes des arbres, ce qui encore une fois montre très peu de réchauffement ; il y a eu une légère hausse jusqu’au milieu du 20ième siècle, puis un refroidissement jusque dans les années 1970, suivi d’une légère reprise. Une fois de plus on voit que les températures d’aujourd’hui sont à peine différente de celles des années 1930 ou 1940 et le graphique ressemble beaucoup à celles des températures rurales. Les satellites aussi semblent raconter une histoire différente.
Notre capacité de mesurer avec précision la température mondiale a fait un bond en avant lorsque les satellites ont commencé à tourner autour de la terre. L’un des scientifiques pionniers pour l’utilisation des satellites pour mesurer la température est le Dr Roy Spencer qui dans les années 1980 était scientifique principal pour le climat au centre de vol spatial Marchal de la NASA. Nous discutions : « n’y aurait-il pas un moyen d’utiliser les satellites pour surveiller les températures mondiales ? » Car comme vous le savez, le réseau de relevés des températures est assez maigre dans le monde. Il est donc difficile d’obtenir une température globale. Le développement par le Dr Spencer des satellites météorologiques était révolutionnaire. Lui et son collègue ont reçu une médaille de la NASA pour résultats scientifiques exceptionnels. Nos données satellites commencent en janvier 1979. C’est alors que nous avions une couverture mondiale complète et elle est toujours d’actualité. Il y a une question cruciale concernant les températures et les satellites sont particulièrement bien équipés pour y répondre.
Y a-t-il un « faux réchauffement » qui se serait glissé dans le registre mondial de température sur terre ? Ou serait-ce juste le résultat d’une augmentation de la population ? Et c’est quelque chose que nous sommes en train d’analyser et sur lequel on a beaucoup travaillé ces derniers temps et nous avons constaté que surtout en milieu urbain c’est énorme. Et depuis 1880, la plupart du réchauffement à l’air d’être dû à l’effet d’îlot de chaleur urbaine.
Nous avons la chance d’avoir quelques scientifiques indépendants comme Spencer avec leurs mesures satellitaires de température. Vous savez, avant qu’ils ne commencent à publier cela, les registres de température au sol se déchainaient et ils montaient. C’était une folie sans limite. Mais maintenant, ils doivent lutter avec le fait qu’il y a cette façon indépendante et probablement meilleure de mesurer la température du globe entier sans déclencher la moindre alarme. Des preuves évidentes provenant de plusieurs sources concordent désormais pour dire que le registre officiel des températures mondiales telles qu’elles sont utilisées par les gouvernements du monde et rapportées par les médias internationaux montrent un réchauffement bien trop élevé au cours des 120 dernières années, artificiellement gonflé par l’urbanisation. Si on regarde le registre des ballons météos, celui des satellites et le registre rural, le registre des océans ne se réchauffe pas autant que celui de la terre. Tout ceci nous indique que la grande impulsion de réchauffement que l’on voit dans ce registre vient du registre terrestre de l’hémisphère nord et c’est de là que se produit la majeure partie de cette « contamination des données ». Mais le léger réchauffement qui s’est produit au cours des 300 à 400 dernières années, est-ce que l’on peut attribuer une partie de cela aux émissions humaines de CO2 ?
THE SCIENCE
Part 2
CO2
Le Professeur Henrick Svensmark est en visite à l’université hébraïque de Jérusalem et sa promène dans le jardin de l’évolution dédié à la préservation des espèces végétales les plus anciennes vivant sur la terre. Ces plantes ne sont pas seulement agréables à regarder. Elles peuvent également nous renseigner sur le niveau de CO2 dans l’atmosphère durant le passé géologique de la terre. Ce que l’on a ici est un « Ginkgo » et c’est en fait un fossile vivant dans le sens où ce type d’arbre est apparu pour la première fois il y a environ 270 millions d’années. Au- dessus de la feuille se trouve ce que l’on appelle les « stomates », les cellules où ils peuvent absorber le CO2. Il mesure donc la quantité de CO2 se trouvant dans l’air puis ils ajustent le nombre de ses stomates selon la quantité de CO2 qui s’y trouve. Et en regardant les fossiles et en mesurant combien il y en a, à un moment donné cela nous dit quelque chose quant au niveau de CO2 qu’il y avait dans le passé.
Alors, quand on remonte le temps, que trouve-t-on sur la quasi-totalité des 500 derniers millions d’années ?
Le niveau de CO2 dans l’atmosphère a été bien plus élevé qu’il ne l’est actuellement. Même avec la contribution de l’industrie moderne au niveau du CO2, selon les normes géologiques, le niveau de CO2 atmosphérique aujourd’hui est proche d’être aussi bas qu’il ne l’a jamais été.
A l’heure actuelle on a environ 400 PPM (parties par million). Il y a 50 millions d’années, cela aurait pu être 2000 PPM (parties par million), donc une concentration beaucoup plus élevée de CO2.
Je pense que l’estimation actuelle du CO2 mondial est aujourd’hui d’environ 423 PPM. Si l’on regarde durant les derniers 550 millions d’années, on verrait un taux de CO2 de l’ordre de 7000 PPM. Le CO2 est un aliment végétal. Ce niveau beaucoup plus élevé du CO2 atmosphérique dans le passé montre que c’était un monde beaucoup plus vert.
Dr Matthew Wielick, géologue :
Les périodes de CO2 élevées ont tendance à être des périodes de grande biodiversité sur la planète. En fait, nous sommes dans « une famine de CO2 » si l’on regarde les 550 derniers millions d’années. Au fond du plus récent maximum glacière, la quantité de CO2 dans l’atmosphère est tombée si bas que toute vie sur terre a failli disparaître.
Tom Nelson Ingénieur et podcaster du climat :
On
dit que le CO2 est plus élevé qu’il ne l’a été pendant 100.000 ans,
mais ce qu’ils ne vous disent pas c’est que durant la période dont ils
parlent le CO2 a chuté tellement bas que la vie sur terre a failli disparaître.
Il y a 20.000 ans le CO2 était au niveau le plus bas jamais atteint dans l’histoire de la terre, à180 PPM. S’il avait encore baissé de 30 PPM, nous serions tous morts !
Il y a un niveau minimal de CO2 où la photosynthèse devient si inefficace que toute vie végétale meurt et ensuite tout le reste commencerait à périr. Lors du dernier maximum glaciaire, il y a de bonnes preuves que dans de nouvelles régions du monde il y avait une famine végétale à cause du manque de CO2, donc on devrait être très reconnaissant que les niveaux de CO2 aient commence à remonter. Nous sommes encore loin des normes historiques qui seraient de « plusieurs milliers de PPM ». Il n’y a pas assez de combustible fossile pour y arriver, mais au moins ont fait un début.
Mais, est-ce que la légère augmentation récente de CO2 a eu un effet sur la température ?
On vous montrerait bien volontiers une image du CO2, mais on ne le peut pas car il est invisible. Le CO2 ne représente qu’une infime fraction des gaz présents dans l’atmosphère. « SEULEMENT 0,04% ». Ce n’est qu’un seul des 25 gaz à effet de serre différents qui, pris dans leur ensemble, ne forment qu’une partie du système climatique complexe de la terre.
Alors quelle preuve y a-t-il que ce gaz sans trace ait un impact notable quelconque sur le climat ?
S’il est vrai que des niveaux élevés de CO2 causent une augmentation des températures, on devrait pouvoir le constater dans l’histoire climatique de la terre. Ici, des scientifiques prélèvent des carottes de glace ancienne. Ces carottes nous renseignent à la fois sur les températures et les niveaux de CO2 du passé. Les scientifiques ont effectivement trouvé un lien entre les températures et le CO2. « Le problème est que c’est dans le mauvais sens ». Donc c’est vrai que durant les deux derniers millions d’années de l’ère glaciaire dans laquelle on se trouve actuellement que la température et le CO2 sont corrélés. Mais si le CO2 est le moteur, il doit changer d’abord et la température doit changer ensuite.
En fait quand on commence à regarder les données très précisément, vous voyez exactement l’inverse. La température commence d’abord à augmenter et alors, de l’ordre d’un siècle à quelques siècles plus tard on commence à voir une augmentation du CO2. On sait depuis longtemps que la température bouge en premier. Donc, la température augmente, le CO2 augmente ensuite. La température baisse, le CO2 baisse.
Tony Heller, géologue, auparavant au Nat. Lab. de Los Alamos :
S’il est vrai que des niveaux élevés de CO2 causent une augmentation des températures, on devrait pouvoir le constater dans l’histoire climatique de la terre. Ici, des scientifiques prélèvent des carottes de glace ancienne. Ces carottes nous renseignent à la fois sur les températures et les niveaux de CO2 du passé. Les scientifiques ont effectivement trouvé un lien entre les températures et le CO2. « Le problème est que c’est dans le mauvais sens ». Donc c’est vrai que durant les deux derniers millions d’années de l’ère glaciaire dans laquelle on se trouve actuellement que la température et le CO2 sont corrélés. Mais si le CO2 est le moteur, il doit changer d’abord et la température doit changer ensuite.
En fait quand on commence à regarder les données très précisément, vous voyez exactement l’inverse. La température commence d’abord à augmenter et alors, de l’ordre d’un siècle à quelques siècles plus tard on commence à voir une augmentation du CO2. On sait depuis longtemps que la température bouge en premier. Donc, la température augmente, le CO2 augmente ensuite. La température baisse, le CO2 baisse.
Tony Heller, géologue, auparavant au Nat. Lab. de Los Alamos :
Les
périodes glaciaires commencent quand le CO2 est à son maximum et les
périodes glaciaires se terminent quand le CO2 est à son minimum. Ce qui
est exactement l’opposé de ce qui se passerait si le CO2 contrôlait la
température.
La question de savoir si le CO2 détermine le climat est facilement résolue. On peut revenir dans le temps sur des centaines de millions d’années. Les niveaux de CO2 ont radicalement changé à plusieurs reprises, que cela a provoqué un changement de température ? NON, absolument pas ! Le CO2 n’a jamais provoqué de changement de température dans le passé, jamais. Il n’est pas clair, non plus en temps récent que le CO2 a un effet quelconque sur la température.
Ici, on voit la production industrielle de CO2 depuis 1750 ; du milieu du 19ième siècle au milieu du 20ième siècle il n’y a eu qu’une légère augmentation. Il faudra attendre les années 1940 pour que la production industrielle de CO2 commence à décoller, mais cela ne correspond pas aux records de température.
Selon les thermomètres ruraux, la majeure partie du réchauffement au cours des 200 dernières années s’est produit avant les années 1940 et n’a pratiquement pas changé depuis.
Professeur Steven Koonin :
L’un
des embarras dont le GIEC n’aime pas parler c’est que dans les années
1930, lorsque les influences humaines étaient bien moindres, ces années
étaient particulièrement chaudes.
Docteur Willie Soon :
C’est un puzzle. Pour que la première partie où nous avons un réchauffement si brutal au début, dans les années 1930-1940, le CO2 n’aurait jamais pu provoquer une telle élévation de température. Que les années 1930 et le début 1940 aient été si chaudes est surprenant et encore plus étonnant avec ce qui s’est passé ensuite. A la fin de la seconde guerre mondiale, le CO2 augmente vraiment et pourtant la température était en baisse. Dans les années 1940 à 1970, alors que le CO2 continue d’augmenter, tout commence à se refroidir.
Que s’est-il passé ?
Les journalistes faisaient des reportages sur la prochaine ère glaciaire. C’était sur la couverture du Times magazine. Pendant les années 1970, la nouvelle ère glaciaire faisait les grands titres.
Et qu’en est-il après les années 1970 ?
Selon les modèles informatiques climatiques au cours du dernier ½ siècle, l’augmentation du CO2 aurait dû conduire à cette augmentation de température. Mais d’après les multiples mesures de satellites et ballons météos, ce qui s’est réellement passé, c’est cela : Ce que nous avons trouvé grâce aux données des satellites, c’est que l’atmosphère mondiale ne se réchauffe pas aussi vite que le prédisent les modèles climatiques. Il existe maintenant une vingtaine de modèles climatiques sur lesquels on a travaillé depuis des décennies. Vous savez, des dizaines de milliards de dollars ont été investi dans ces efforts de modélisations climatiques et on constate que d’une manière générale, pratiquement tous les modèles climatiques produisent trop de réchauffements sur cette période depuis 1979 jusqu’à nos jours.
Et même si on disait que l’ensemble des thermomètres terrestres étaient correctes, ils ne produisent pas autant de réchauffement que le prédisent la plupart des modèles climatiques qu’il devrait y avoir, disons, au cours des 50 dernières années.
Les modèles individuellement et même collectivement, lorsque l’on fait la moyenne entre eux, dans les soi-disant ensembles, ils ne sont pas corrects.
Professeur Will Happer, Princeton :
On peut déjà voir que le principal soutien du mouvement d’alarme climatique sont ces énormes modèles informatiques qui sont clairement FAUX et ils ne correspondent pas avec ce que l’on observe. Et ils donnent tous beaucoup trop de réchauffement. Ils n’arrivent pas à simuler la répartition géographique des températures avec un semblant de réalité. Ils ne reproduisent pas les cycles « el niño ». Ce n’est que du NON-SENS. Tous les modèles climatiques sont basés sur les modèles que le CO2 entraine un changement de température mais les observations réelles et les preuves historiques indiquent clairement que « CE N’EST PAS LE CAS ».
OUI, j’affirme qu’il n’y a aucun lien entre le CO2 et le changement climatique. Tout cela n’est que non-sens à mon avis.
Patrick Moore :
Il
n’y a aucune vérité dans l’idée que la terre serait plus chaude
maintenant que dans le passé. C’est un « MENSONGE ». Ce n’est pas vrai
que le CO2 est plus élevé qu’il devrait 10 l’être. C’est un MENSONGE. Le
climat de la terre a changé à de multiples reprises au cours de sa
longue histoire et continuera à changer sans aucune aide de notre part.
Le climat change toujours, vous savez. Qui nie le changement climatique ?
C’est toujours en train de changer. Mais, si le CO2 ne contrôle pas le
changement climatique, qui le fait ?
THE SCIENCE
Part 3
NATURE
Dans l’atmosphère terrestre, de puissantes forces sont à l’œuvre et les nuages sont peut-être les plus puissantes de toutes.
Docteur John Clauser, Nobel prize in physics 2022, Wolf prize in physics 2010 :
« Le CO2 n’a pas vraiment d’importance dans le contrôle du climat de la terre. Ce qui est important ce sont les nuages ».
Les
nuages n’absorbent aucune énergie. Ils reflètent simplement toute la
lumière du soleil et la renvoient dans l’espace, de gros nuages blancs
et brillants. Si vous regardez la terre, vous en voyez beaucoup,
beaucoup, et ils varient considérablement d’un jour à l’autre. C’est des
centaines de fois plus puissant que les effets insignifiants du CO2.
Mais, qu’est-ce qui contrôle le nombre et la densité des nuages sur la terre ?
Mais, qu’est-ce qui contrôle le nombre et la densité des nuages sur la terre ?
Le Professeur Henrick Svensmark de l’institut national danois de l’espace se trouve à Jérusalem avec l’astrophysicien Nir Shaviv. Ensemble ils ont exploré les variations des nuages et leurs effets sur le climat. Et bizarrement ils ont trouvé un lien entre les nuages et des explosions de « supernova » très loin dans notre galaxie. Quand on a de grandes étoiles, elles ne vivent pas très longtemps. Cela peut aller de quelques millions d’années jusqu’à 40 millions d’années. Mais leur vie se termine par une énorme explosion que l’on appelle une supernova. Une supernova qui explose envoie de grandes quantités de débris, de minuscules particules subatomiques chargées appelées « rayons cosmiques » voyageant presque à la vitesse de la lumière ; et lorsqu’ils frappent la terre, ils provoquent l’apparition de noyaux glaçogènes qui attirent la vapeur d’eau pour former des nuages.
Le Professeur Nir Shaviv a remarqué que le taux de couverture nuageuse sur terre est lié à notre périple autour de la voie lactée ; durant l’orbite de notre système solaire autour de la galaxie, ce qui dure des millions d’années, ils traversent les bras spiraux de la galaxie, des amas denses d’étoiles. Quand cela se passe, on est exposé à plus ou moins de rayons cosmiques formant des nuages, et cela correspond aux changements historiques de température sur la terre. La chose vraiment ahurissante c’est qu’en utilisant la géologie on peut reconstruire le climat sur terre au cours du dernier milliard d’années. On peut aussi reconstruire notre voyage galactique et les deux choses racontent la même histoire.
Mais qu’en est-il des échanges de température sur des échelles de temps plus courtes ?
Le soleil est notre source de chaleur et de lumière, une masse bouillonnante d’orages magnétiques gigantesques dont la force et le nombre varient au fil du temps et qui nous affecte directement et indirectement. Lorsqu’il est très actif, le soleil envoie des rafales géantes de vent solaire à travers le système solaire.
Le vent solaire nous réchauffe indirectement en agissant comme une barrière, en limitant le nombre de rayons cosmiques, formant des nuages qui atteignent la terre.
Professeur Henrick Svensmark, National Space Institude, Denmark :
Donc, du soleil, on a le vent solaire qui transporte le champ magnétique du soleil sur une grande distance et cela fonctionne comme un bouclier contre les rayons cosmiques.
Professeur Nir Shaviv :
Et quand le soleil est plus actif on a un vent solaire plus fort. On a moins de rayons cosmiques atteignant le système solaire interne et qui pénètrent l’atmosphère, et les nuages qui se forment sont moins blancs. Ils réfléchissent moins la lumière du soleil, ce qui signifie qu’il va faire plus chaud ici sur terre.
Voici une reconstruction proxy des températures de l’océan sur des milliers d’années et voici l’une des activités solaires sur la même période. Ce qui fait changer la température de l’océan ce sont clairement les variations d’activité solaire.
Vu que le GIEC est déterminé à conserver le narratif selon lequel seul le CO2 peut influencer le système climatique, ils ont essentiellement éteint le soleil ! Pour eux, le soleil n’est qu’un arrière-plan, il ne fait rien du tout !
Willie Soon, astrophysicien, a décidé de passer en revue les données des températures rurales des 50 dernières années. Et puis il a regardé un registre des changements d’activités solaires durant la même période. Pour le Docteur Soon, il est évident que « c’était le soleil et non le CO2 » qui faisait monter la température.
A partir de 2023, le GIEC prétend que le soleil n’a absolument aucune chance d’expliquer les changements du système climatique à grande échelle, par exemple le réchauffement climatique de l’hémisphère nord !
Nous disons, NON. On peut facilement le démontrer.
Tout cela c’est « zéro pour le CO2 et 100% pour le soleil ».
Qu’en pensez-vous ?
Pourquoi est-ce que ces études et d’autres ne sont jamais rapportées dans les grands médias ?
Et, si le changement climatique est naturel, que doit-on penser de la prétendue augmentation terrifiante des phénomènes météorologiques extrêmes ? Canicules, ouragans, incendies de forêts, sécheresses et tout le reste … ?
Cela fait maintenant des dizaines d’années qu’on met l’idée dans la tête des gens que chaque fois qu’il fait mauvais temps, c’est le changement climatique et les gaz à effet de serre. Donc je pense que les gens à ce stade ne peuvent pas s’empêcher d’y penser. S’il y a une canicule, tout de suite, tout le monde pense : OH ! Qu’est-ce qu’on a fait avec ce temps ?! Si quelqu’un dit dans les nouvelles : c’est la journée la plus chaude depuis 1980 ou quelque chose comme cela, on peut consulter les registres de température et voir par soi-même qu’il faisait en fait plus chaud dans les années 1930 et ce qui est souvent le cas. Le registre de température aux USA est le meilleur du monde et voici le rapport officiel du gouvernement américain sur les vagues de chaleur aux USA. Au cours du siècle dernier, cela montre très clairement que les années 1930 étaient bien plus sujettes aux vagues de chaleur qu’aujourd’hui. Non seulement les vagues de chaleur étaient plus nombreuses dans les années 1930 et les canicules de cette époque étaient bien plus chaudes que celles d’aujourd’hui.
De même, les chiffres officiels montrent que le nombre de journées chaudes aux USA a nettement diminué.
Il faisait beaucoup plus chaud aux USA durant les années 1930. Le Dakota du nord a atteint 49°, le Dakota du sud 49°, le Wisconsin 46°. De telles températures sont complètement hors de portée par rapport à tout ce que les gens vivent actuellement. Une erreur courante est de supposer qu’une température moyenne plus élevée signifie plus de canicule, mais ce n’est pas vrai. Ici, le registre de température du centre de l’Angleterre, le plus long registre de température instrumental du monde. Les températures estivales pendant 300 à 400 ans, depuis la fin du petit âge glaciaire, n’ont pratiquement pas changé, ce sont les températures hivernales qui montrent une légère hausse.
Le climat de la terre ne s’est pas réchauffé, il est en train de s’adoucir. On a certainement observé cela partout dans le monde. Si on regarde le registre de température, les températures élevées sont presque inchangées et les températures froides la nuit ou en hiver sont en train de monter un peu, pas grand-chose mais on peut le mesurer.
Quand la moyenne augmente, c’est vraiment en raison des températures les plus froides qui se réchauffent. La température devient donc plus douce plutôt que plus chaude.
Qu’en est-il du nombre croissant d’incendies de forêts dont on nous parle si souvent ?
Si l’on regarde le nombre actuel d’incendies de forêts à partir des observations satellites, le nombre réel est en baisse. Voici une estimation des incendies de forêts mondiaux depuis 1900. Cela montre une nette baisse et voici un relevé des zones touchées par les incendies de forêts aux USA. Cela montre que les incendies de forêts étaient bien pires durant les années 1930. Des années 1920 aux années 1930, quand on a des données, la chose était énorme, 5 à 10 fois supérieures au niveau actuel.
Qu’en est-il des ouragans ?
Les USA ont de loin le meilleur registre d’activités des ouragans dans le monde. Au cours des 120 dernières années, il n’y a eu aucun changement global. En fait, la tendance est légèrement à la baisse. Quand on regarde les données pour les ouragans, techniquement les cyclones tropicaux, on voit qu’il n’y a pas de tendances à long terme.
Et le reste du monde ?
Voici un graphique de l’activité mondiale des ouragans au cours des 40 dernières années. Les ouragans existent depuis toujours, vous savez. Nous avons de bons registres proxy des ouragans et il n’y a eu aucun changement dans leur fréquence. Même le GIEC admet cela.
Qu’en est-il de la fonte des calottes glaciaires et de la sécheresse ?
Voici un relevé satellite de la température dans l’antarctique depuis la fin des années 1970. Cela ne montre aucune augmentation. Et voici un relevé des sécheresses mondiales depuis 1950. Il n’y a aucune augmentation observable. On nous dit que « les ours polaires » sont voués à disparaître mais des études suggèrent que leur nombre est en augmentation. « La grande barrière de corail » aussi a récemment atteint des niveaux records.
Il n’existe actuellement pas d’urgence climatique pour la planète. Il n’y en a aucune preuve.
Le soleil est notre source de chaleur et de lumière, une masse bouillonnante d’orages magnétiques gigantesques dont la force et le nombre varient au fil du temps et qui nous affecte directement et indirectement. Lorsqu’il est très actif, le soleil envoie des rafales géantes de vent solaire à travers le système solaire.
Le vent solaire nous réchauffe indirectement en agissant comme une barrière, en limitant le nombre de rayons cosmiques, formant des nuages qui atteignent la terre.
Professeur Henrick Svensmark, National Space Institude, Denmark :
Donc, du soleil, on a le vent solaire qui transporte le champ magnétique du soleil sur une grande distance et cela fonctionne comme un bouclier contre les rayons cosmiques.
Professeur Nir Shaviv :
Et quand le soleil est plus actif on a un vent solaire plus fort. On a moins de rayons cosmiques atteignant le système solaire interne et qui pénètrent l’atmosphère, et les nuages qui se forment sont moins blancs. Ils réfléchissent moins la lumière du soleil, ce qui signifie qu’il va faire plus chaud ici sur terre.
Voici une reconstruction proxy des températures de l’océan sur des milliers d’années et voici l’une des activités solaires sur la même période. Ce qui fait changer la température de l’océan ce sont clairement les variations d’activité solaire.
Vu que le GIEC est déterminé à conserver le narratif selon lequel seul le CO2 peut influencer le système climatique, ils ont essentiellement éteint le soleil ! Pour eux, le soleil n’est qu’un arrière-plan, il ne fait rien du tout !
Willie Soon, astrophysicien, a décidé de passer en revue les données des températures rurales des 50 dernières années. Et puis il a regardé un registre des changements d’activités solaires durant la même période. Pour le Docteur Soon, il est évident que « c’était le soleil et non le CO2 » qui faisait monter la température.
A partir de 2023, le GIEC prétend que le soleil n’a absolument aucune chance d’expliquer les changements du système climatique à grande échelle, par exemple le réchauffement climatique de l’hémisphère nord !
Nous disons, NON. On peut facilement le démontrer.
Tout cela c’est « zéro pour le CO2 et 100% pour le soleil ».
Qu’en pensez-vous ?
Pourquoi est-ce que ces études et d’autres ne sont jamais rapportées dans les grands médias ?
Et, si le changement climatique est naturel, que doit-on penser de la prétendue augmentation terrifiante des phénomènes météorologiques extrêmes ? Canicules, ouragans, incendies de forêts, sécheresses et tout le reste … ?
THE SCIENCE
Part 4
EXTREME WEATHER
Conditions météorologiques extrêmes
Mon premier instinct de scientifique et ce que j’enseigne à mes étudiants est :
« Regardons les données ».
Et quand on fait cela, on découvre comme on peut le lire dans les rapports du GIEC,
eux-mêmes, qu’il est vraiment difficile de voir une tendance dans les événements extrêmes et
encore moins de les attribuer aux influences humaines.
Cela fait maintenant des dizaines d’années qu’on met l’idée dans la tête des gens que chaque fois qu’il fait mauvais temps, c’est le changement climatique et les gaz à effet de serre. Donc je pense que les gens à ce stade ne peuvent pas s’empêcher d’y penser. S’il y a une canicule, tout de suite, tout le monde pense : OH ! Qu’est-ce qu’on a fait avec ce temps ?! Si quelqu’un dit dans les nouvelles : c’est la journée la plus chaude depuis 1980 ou quelque chose comme cela, on peut consulter les registres de température et voir par soi-même qu’il faisait en fait plus chaud dans les années 1930 et ce qui est souvent le cas. Le registre de température aux USA est le meilleur du monde et voici le rapport officiel du gouvernement américain sur les vagues de chaleur aux USA. Au cours du siècle dernier, cela montre très clairement que les années 1930 étaient bien plus sujettes aux vagues de chaleur qu’aujourd’hui. Non seulement les vagues de chaleur étaient plus nombreuses dans les années 1930 et les canicules de cette époque étaient bien plus chaudes que celles d’aujourd’hui.
De même, les chiffres officiels montrent que le nombre de journées chaudes aux USA a nettement diminué.
Il faisait beaucoup plus chaud aux USA durant les années 1930. Le Dakota du nord a atteint 49°, le Dakota du sud 49°, le Wisconsin 46°. De telles températures sont complètement hors de portée par rapport à tout ce que les gens vivent actuellement. Une erreur courante est de supposer qu’une température moyenne plus élevée signifie plus de canicule, mais ce n’est pas vrai. Ici, le registre de température du centre de l’Angleterre, le plus long registre de température instrumental du monde. Les températures estivales pendant 300 à 400 ans, depuis la fin du petit âge glaciaire, n’ont pratiquement pas changé, ce sont les températures hivernales qui montrent une légère hausse.
Le climat de la terre ne s’est pas réchauffé, il est en train de s’adoucir. On a certainement observé cela partout dans le monde. Si on regarde le registre de température, les températures élevées sont presque inchangées et les températures froides la nuit ou en hiver sont en train de monter un peu, pas grand-chose mais on peut le mesurer.
Quand la moyenne augmente, c’est vraiment en raison des températures les plus froides qui se réchauffent. La température devient donc plus douce plutôt que plus chaude.
Qu’en est-il du nombre croissant d’incendies de forêts dont on nous parle si souvent ?
Si l’on regarde le nombre actuel d’incendies de forêts à partir des observations satellites, le nombre réel est en baisse. Voici une estimation des incendies de forêts mondiaux depuis 1900. Cela montre une nette baisse et voici un relevé des zones touchées par les incendies de forêts aux USA. Cela montre que les incendies de forêts étaient bien pires durant les années 1930. Des années 1920 aux années 1930, quand on a des données, la chose était énorme, 5 à 10 fois supérieures au niveau actuel.
Qu’en est-il des ouragans ?
Les USA ont de loin le meilleur registre d’activités des ouragans dans le monde. Au cours des 120 dernières années, il n’y a eu aucun changement global. En fait, la tendance est légèrement à la baisse. Quand on regarde les données pour les ouragans, techniquement les cyclones tropicaux, on voit qu’il n’y a pas de tendances à long terme.
Et le reste du monde ?
Voici un graphique de l’activité mondiale des ouragans au cours des 40 dernières années. Les ouragans existent depuis toujours, vous savez. Nous avons de bons registres proxy des ouragans et il n’y a eu aucun changement dans leur fréquence. Même le GIEC admet cela.
Qu’en est-il de la fonte des calottes glaciaires et de la sécheresse ?
Voici un relevé satellite de la température dans l’antarctique depuis la fin des années 1970. Cela ne montre aucune augmentation. Et voici un relevé des sécheresses mondiales depuis 1950. Il n’y a aucune augmentation observable. On nous dit que « les ours polaires » sont voués à disparaître mais des études suggèrent que leur nombre est en augmentation. « La grande barrière de corail » aussi a récemment atteint des niveaux records.
Il n’existe actuellement pas d’urgence climatique pour la planète. Il n’y en a aucune preuve.
OUI, l’histoire des événements météos extrêmes, c’est tout simplement absurde.
Il n’y a aucun fondement à cela. C’est juste basé sur de la PROPAGANDE. Les données réelles montrent le contraire.
Je vous ai montré les données officielles, la science officielle. Dites-moi ce que je nie ? l’alarme climatique est un non-sens, un CANULAR. Le mot ARNAQUE est un meilleur mot. Mais pourquoi nous dit-on encore et encore que le chaos climatique provoqué par l’homme, est un fait scientifique incontestable, hors de toute question, au-delà de tout doute ? Pour répondre à cela, on doit examiner le soi-disant consensus du changement climatique.
Jusque dans les années 1980, le réchauffement climatique n’était guère plus qu’une histoire effrayante d’excentriques mise en scène par des écologistes radicaux. Ensuite, la cause a été reprise par un jeune et ambitieux sénateur AL GOR (Albert Arnold Gore, dit AL GORE, né en 1948, homme d’affaire et politicien) qui deviendra bientôt vice-président des USA. Un milliard de dollars d’argent public par an a été mis à disposition pour la recherche sur le changement climatique. Ce chiffre est rapidement passé à 2 milliards. Jusqu’à ce niveau les chercheurs académiques dans diverses disciplines commencent à postuler pour ce financement climatique.
Professeur Steven Koonin. Physicien, NYU :
Si l’on veut se qualifier pour de l’argent avec l’étiquette « climat », alors on prend ce qu’on leur est en train de faire, on y ajoute un peu de langage climatique, et c’est parti ! Si vous vous occupez des habitudes sexuelles des cafards, vous y ajouterez l’impact du climat. Donc, tout ce que j’ai à faire c’est d’ajouter un petit pli à ma demande de subvention, expliquer mes craintes que le changement climatique entraîne la mort de tous les érables, et alors tout de suite le financement est admis ! …
Des universitaires de tout genre se sont mis en ligne pour le financement climatique. Le climat est devenu un nouveau domaine d’intérêt passionnant pour les sociologues, les biologistes, les professeurs de littérature anglaise, les professeurs d’étude de genre et bien d’autres encore …
Professeur Dick Lindzen, météorologiste. Harvard and MIT (1972-2013) :
Et
cela a servi à créer une communauté. Je veux dire que maintenant, vous
êtes devenu climatologue même si n’avez aucune idée de la physique du
climat.
Des
milliers d’articles ont été publiés sur le changement climatique et la
prostitution ; le changement climatique et la bière ; le changement
climatique et la peste noire ; le changement climatique et le handicap ;
le changement climatique et les jeux vidéo … et toutes sortes de
choses inimaginables …
Il y a une liste presque comique d’études là dehors. Il suffit de faire une recherche sur Google ave changement climatique et quelque chose et tout vient.
Peu de ces publications ont posé la question si le changement climatique était réellement vrai. Après avoir fait la recherche, le papier est rédigé, parfois on trouve qu’il n’y a aucun effet climatique du tout. Mais on doit quand même le dire dans la publication : oui le changement climatique est réel. On a juste besoin d’étudier cela un peu plus. Le fait que si peu de ces soi-disant études climatiques n’ont pas remis en question l’idée de changement climatique, il a été déclaré qu’il y avait un consensus scientifique. Donc le changement climatique doit être réel.
Le climat est devenu également une nouvelle préoccupation pour les organismes de recherches financés par le gouvernement. La recherche scientifique aux USA est principalement financée par des subventions du gouvernement. Aussi, le type de subvention offerte par le gouvernement détermine en grande partie la science qui est faite. C’est pendant la guerre froide que beaucoup d’organismes gouvernementaux de recherche ont été créés. Mais à la fin de la guerre froide et la pression exercée sur les dépenses publiques ont laissé beaucoup d’entre eux en difficulté pour justifier la continuation de leur financement.
Le congrès des USA ne finance seulement que les problèmes, d’accord, la recherche sur les problèmes, qu’il s’agisse d’argent destiné à la NASA ou à la National Science Foundation ou le ministère de l’énergie ou tout autre organisation à lettre d’alphabet … Cela a toujours été un problème de soutenir votre recherche ou votre existence, votre raison d’être. Donc, le climat était une aubaine !
Dr Roy Spencer U.S. Science Team leader NASA’s Aqua Satellite :
Si le congrès est prêt à vous payer pour trouver des preuves du réchauffement climatique, bon sang, en tant que scientifique « on est prêt à trouver des preuves (!) pour cela parce que c’est pour cela que l’on est payé ! ». Et devinez quoi ? Si on ne trouve pas de preuves, ou que l’on dit que les données suggèrent que ce n’est pas un problème, et bien le financement prend fin. Cela altère totalement la façon dont on regarde la science.
Il
y avait un célèbre gangster à qui on a demandé : pourquoi braquez-vous
les banques ? Il a répondu : « parce que c’est là que se trouve le fric !
». L’alarme climatique a rapporté des fonds et plus la menace supposée
est grande, plus les fonds semblaient affluer.
L’establishment scientifique financé par l’état avait désormais un intérêt financier direct à exagérer la situation d’alarme.
Dr Matthew Wielicki, géologue :
Mais, il y a une énorme motivation d’exagérer ou de parler en hyperboles, même si les données ne soutiennent pas exactement ce que l’on dit, parce que c’est ce qui amène les fonds.
J’étais dans ce bateau, j’étais quelqu’un qui défendait pas mal le changement climatique en tant qu’étudiant diplômé. En vérité, je n’avais pas trop réfléchi, mais j’ai pensé : et bien, cela attire beaucoup l’attention et cela amène énormément d’argent aux sciences de la terre. Même si je ne crois pas à toutes les exagérations, où est le problème ? Le problème à la fin des années 1990, ce qui avait commencé comme une histoire alarmante sur l’environnement prenait de l’ampleur.
Mais, il y a une énorme motivation d’exagérer ou de parler en hyperboles, même si les données ne soutiennent pas exactement ce que l’on dit, parce que c’est ce qui amène les fonds.
J’étais dans ce bateau, j’étais quelqu’un qui défendait pas mal le changement climatique en tant qu’étudiant diplômé. En vérité, je n’avais pas trop réfléchi, mais j’ai pensé : et bien, cela attire beaucoup l’attention et cela amène énormément d’argent aux sciences de la terre. Même si je ne crois pas à toutes les exagérations, où est le problème ? Le problème à la fin des années 1990, ce qui avait commencé comme une histoire alarmante sur l’environnement prenait de l’ampleur.
THE CLIMATE
Bandwagon
Le mouvement climatique
Les gouvernements occidentaux et leurs hauts fonctionnaires étaient plus que disposés à s’attaquer aux problèmes climatiques. Des taxes vertes ont été levées, la réglementation verte élargie et à son tour a généré davantage d’emplois et d’activités liés au climat.
Professeur Ross Mckitrick, économiste et statisticien :
Prenons
l’exemple du secteur bancaire et dites à un banquier : on veut que vous
déposiez des rapports auprès de la commission de réglementation sur : «
Comment le changement climatique va affecter votre banque ? »
Un
banquier ne connait rien à ce sujet. Donc ils doivent mandater des
études par des universitaires. Bien sûr, des universitaires sont heureux
de venir leur dire : « cela va être terrible pour votre banque, cela va
causer toutes sortes de problèmes, vous devez nous donner de l’argent
pour faire des recherches à ce sujet ». Les subventions et les
réglementations vertes signifiaient qu’il y avait désormais de l’argent à
gagner avec le climat. Des entreprises d’énergie renouvelables ont
bourgeonné, des cabinets de consultants ont offert des conseils, ce
qu’ils appellent le « développement durable et la conformité climatique
». C’est une merveilleuse opportunité commerciale, n’est-ce-pas ?
Vous voulez du climat ? Nous vous donnerons du climat ! à elle seule l’industrie des énergies renouvelables réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires de plus d’un milliard de dollars par an et cela devrait doubler au cours des prochaines années.
Ce
qui était autrefois une industrie artisanale s’est maintenant
développée pour devenir un élément majeur de l’économie mondiale. La
croissance de cette industrie climatique a connu une explosion d’emplois
verts bien rémunérés tels que : directeur de développement durable,
conseiller en compensation carbone, consultant USG, avocats en
conformité climatique et bien d’autres. Les étudiants ont commencé à
arriver dans notre département de science de la terre avec un accent sur
le climat, ce qui n’était jamais arrivé auparavant. Mais ils ont
commencé à penser à leur perspective de carrière et ils sont
intelligents, et ils regardent qui embauche. Et le fait était que tout
ce qu’il y avait dans le pool de recrutement avait « climat » quelque
part attaché au nom.
J’ai commencé il y a quelques années à voir des programmes comme une maîtrise en finance climatique et je me suis alors demandé « qu’est-ce que c’était ? ». Je comprendrais si c’était une maîtrise en finance. Maintenant on a besoin d’une université qui va enseigner ce programme. Donc, il faudra des professeurs en finance climatique.
Docteur Benny Peiser, Global Warming Policy foundation :
Chaque école ou université, ou entreprise, aura un bureau du climat ou des directeurs du climat ou un programme climatique. Et si l’on regarde n’importe laquelle de ces institutions ou entreprises, on constate qu’ils y ont tous souscrit et ceux qui n’adhère pas seront mis sous pression.
Mais à la dernière réunion du GIEC de l’ONU financée par des fonds publics, 70.000 délégués sont venus du monde entier par avion : les bureaucrates gouvernementaux, les ONG vertes, les consultants en séquestration des carbones, les journalistes de l’environnement et les chefs de firmes d’énergies renouvelables. Mais ce n’était que la pointe de l’iceberg. Plusieurs centaines de milliers d’emplois dans le monde dépendent actuellement de la crise climatique.
On commence par construire cette énorme population dont le seul travail consiste à gérer la crise et aussi, explicitement, pour s’assurer que les gens sont alarmés par la crise car toute cette industrie dépend entièrement de l’existence de la crise. Mais c’est là que réside la seule grande menace qui pèse sur cette industrie de plusieurs milliards de dollars. Tous les emplois, tous les financements sont totalement dépendants de l’existence même de la crise climatique.
Si le CO2 n’a pas les énormes impacts négatifs qu’on a prétendu qu’il avait à l’origine, comment va-t-on pouvoir subsister ?
Comment justifier notre existence si le changement climatique n’est pas cette menace existentielle que nous avons prétendu qu’elle était au cours des quatre dernières décennies ?
Pour des gens comme moi, nos carrières dépendent du financement de la recherche sur le climat. C’est ce que j’ai fait pendant presque toute ma carrière, c’est ce que font les autres climatologues avec leur carrière. Ils ne veulent pas que cela s’arrête !
Si la NASA disait : le réchauffement climatique n’est pas un problème, que se passerait-il si leur financement disparaissait ? Donc ils ne peuvent pas le dire ! Je veux dire, vous avez les nations unies et son groupe d’experts gouvernemental sur l’évolution du climat. S’ils disaient que le climat n’est pas en train de changer, ils n’auraient plus aucune raison d’exister !
Le GIEC a un instinct d’auto-préservation afin de montrer que le changement climatique est une menace existentielle, sinon il n’y aurait eu aucune raison de récolter de l’argent pour faire ce travail dès le début.
Il n’y a pas seulement des milliards maintenant, mais des « trillions » de dollars qui sont en jeu. Il y a énormément d’argent en jeu.
Il s’agit d’une énorme « ARNAQUE » financière.
L’emploi
de nombreuses personnes en dépend. Ils ne vont pas y renoncer. Si
soudain la perception devient évidente que ce n’est pas un problème,
vous allez considérer cela comme une menace existentielle. Les
scientifiques qui étudiaient les causes naturelles du réchauffement
climatique ont commencé à être vu avec suspicion comme l’ont découvert
deux astrophysiciens de Harvard.
Docteur Willie Soon, Astrophysicist and Earth Scientist :
Dans quelle mesure le soleil change et comment change-t-il ? Et pourquoi change-t-il ?
On
ne voulait même pas parler du registre de température de toutes ces
histoires de climat ! Immédiatement, ils s’en prennent à nous. Car
lorsque nous avons commencé à estimer que le soleil influence de manière
significative le climat, immédiatement ils nous attaqué là-dessus. Cela
ne suivait pas le narratif parce qu’ils ont besoin que le CO2 soit le
seul, le seul acteur dominant.
Professeur Sallie Baliunas, astrophysicienne à Harvard et Smithsonian :
Quand
on essayait de dire que nous recherchions simplement l’origine de la
variabilité naturelle, la réponse était : nous ne pouvons pas avoir de
changements naturels comme effet. Cela doit être d’origine humaine ! Et
une partie de cela a été directement déclaré, mais la plupart était
indirecte. Votre financement pour ce genre de projet sera abandonné. Ce
genre de projet ne mènera nulle part.
A
ce moment-là tout ce qui contredisait le récit du réchauffement
climatique comme problème sérieux n’allait pas être financé. Les
rédacteurs de revues universitaires ont été mis sous pression afin de ne
pas accepter les papiers de ceux qui étaient considérés comme
sceptiques vis-à-vis de la crise climatique. Ils ne publieront plus rien
qui remet cela en question.
Je veux dire, ce n’est pas quelque chose de secret. Les scientifiques qui ont osé souligner en public qu’il n’y avait pas de chaos climatique ont commencé à être mis à l’écart et évités. Si un scientifique qualifié se lève et dit que l’on ne voit pas de tendance à la hausse dans les données sur les typhons du pacifique, alors tout d’un coup ils perdent leur statut pour s’exprimer sur le thème des typhons du pacifique. Pas parce que ce qu’ils ont dit était faux, mais parce que c’était hors message. Ils peuvent marginaliser toute forme de critique du narratif. En disant vous n’êtes pas qualifié pour en parler dû au fait que vous ne soutenez pas le narratif. Après avoir marginalisé tous ceux qui ne soutiennent pas le narratif, ils peuvent se retourner et dire, et bien tous ceux qui comptent soutiennent le récit. Donc ils doivent avoir raison ! Les journalistes environnementaux ignorent les sceptiques et à la place ils vont vous faire leur première page, à tous ceux qui sont prêts à faire les affirmations et prévisions les plus aberrantes concernant une apocalypse climatique.
Docteur Roy Spencer :
Nous sommes à un point où cela n’a rien à voir avec la science. Peu importe si votre prévision alarmiste ne se réalise pas, vous allez toujours conserver votre statut d’expert et les médias viendront encore vous demander votre avis même si vous étiez complètement à côté de vos prévisions.
Mais le « consensus » sur le climat n’est pas seulement imposé par ceux de l’industrie climatique. Pour expliquer l’attrait élargi de l’alarme climatique on doit examiner la politique derrière le climat.
THE POLITICS OF CLIMATE
La politique climatique
Dès le départ, la peur climatique était politique. Il vient du mouvement écologiste, l’ennemi juré du capitalisme industriel du libre marché. Enfin on les tient !! On pourra prétendre que ce sont les marchés libres qui détruisent la planète et qu’on a besoin d’un puissant gouvernement pour nous sauver …
Le problème climatique, dit-on, vient des actions irresponsables d’individus cupides et bon à rien qui ont trop de bébés et qui conduisent trop, qui consomment trop de produits sous contrôle des sociétés capitalistes se pliant à leurs caprices. La solution est d’avoir davantage de pouvoir pour réglementer les entreprises privées mais aussi pour modeler et remodeler la vie et les habitudes des individus. L’agenda politique s’est étendu à la micro-gestion de la vie de chacun et dans le moindre détail. Quel type de poêle peut-on utiliser, quel type de chauffage peut-on avoir, à combien peut-on régler le thermostat, ou peut-on conduire tel genre de véhicule, etc. Selon les planificateurs, nous n’aurons plus de moteurs à combustion interne s’ici une heure !
Tout cela exige que le gouvernement soit impliqué, n’est-ce-pas ? Car le gouvernement doit en quelque sorte imposer des changements au public. Si cela dépendait du public, on ne serait pas en train d’acheter des véhicules électriques parce que vous savez, ils ne sont pas pratiques. Le soutien à l’alarme climatique est désormais pratiquement synonyme avec le mépris pour le capitalisme di libre marché et le désir d’un gouvernement plus autoritaire. Ce sont les libéraux contre les conservateurs aux USA, et d’une manière générale les libéraux sont inquiets que nous détruisions la planète. Bien sûr, ils sont aussi favorables à un gouvernement autoritaire. Puis, les conservateurs se situent à l’autre extrémité du spectre, là où beaucoup d’entre eux ne croient pas que l’on détruit la planète et qu’ils ne veulent pas d’un gouvernement qui s’implique dans leur vie personnelle. Les belles paroles sur l’alarme climatique sont devenues presque universelles parmi ceux qui dépendent du gouvernement pour leur moyen de subsistance. Cela inclut ceux qui travaillent pour les établissements publics, d’enseignements, des arts et des sciences.
Antony Heller se souvient du temps passé dans les laboratoires de Los Alamos. Le comté tout entier de Los Alamos fonctionnait grâce à l’argent du gouvernement et que nous avions les revenus les plus élevés de l’Etat. Alors, naturellement, les gens qui vivaient à Los Alamos soutenaient un grand gouvernement, car c’était de lui que venait leur gagne-pain. C’est de lui que venaient leurs bonnes écoles. Tout ce qui était bien à Los Alamos venait du gouvernement. Alors, bien sûr, ils croyaient tous en ce grand gouvernement. Par l’intelligentsia occidentale, largement financée par l’Etat, le soutien pour davantage de dépenses publiques et de réglementations c’est presqu’un signe moral déterminant. Dans ces milieux, remettre en question l’alarme climatique, c’est socialement inacceptable et être sceptique du climat, c’est tabou.
Quelqu’un
qui va à l’encontre de cela rencontre vraiment beaucoup de colère et de
vitriol. Et vous savez, on vous appelle un négateur, un « négationniste
» de la science, un hérétique. Vos collègues ne vous parlent plus, vous
n’êtes plus invité dans les conférences, vos étudiants pourraient vous
abandonner. Tout cela est vraiment terrible.
Les Professeurs Henrick Svensmark et Nir Shaviv décrivent ce qui s’est passé lorsqu’ils ont publié leurs résultats sur les effets climatiques de l’activité solaire. C’était comme si l’enfer s’était déchaîné à cause de ce travail. Je n’avais aucune idée que les choses puissent prendre une telle ampleur et cela a complètement changé ma vie.
Nir Shaviv dit : "Une fois que l’on avait dit cela, les gens n’ont pas aimé l’entendre et on est devenu persona non grata."
Henrick Svensmark ajoute :"Je
veux dire, j’ai vécu tellement de moments où les gens ont fait des
choses absolument immondes. Quand j’ai postulé pour un emploi, un groupe
de scientifiques a écrit à l’université en disant qu’ils ne devaient
pas m’embaucher. Et c’est une histoire typique, malheureusement."
Niv Shaviv conclut : "Si vous n’êtes pas d’accord avec la polémique standard, vous devenez un paria, on vous évite comme si vous aviez la lèpre."
Pour le Professeur Sallie Baliunas, les attaques personnelles sont devenues trop lourdes. Voici ce qu’elle dit : "J’ai pris une retraite anticipée et ma famille m’a dit que j’aurais dû prendre ma retraite bien plus tôt, des années plus tôt. Ils ont donc remarqué le nombre de victimes et cela a eu un impact sur eux et pour moi."
Le Docteur Matthew Wielicki
était Professeur adjoint de géologie à l’université d’Alabama. Il a
décidé de se prononcer sur la peur climatique, à la suite du contrecoup
il a décidé de quitter l’enseignement.
De
parler du changement climatique d’une manière sceptique, c’est
essentiellement un suicide professionnel absolu. Il m’était devenu
impossible de publier dans bon nombre de revues scientifiques. Je me
suis essentiellement isolé d’un bon nombre d’institutions de
financement. C’est l’une des raisons pour lesquelles vous pouvez
construire un consensus car au sein d’une communauté, quiconque est
sceptique à ce consensus, en principe se fera expulser de la
communauté. S’exprimer de manière scientifique qui va à
l’encontre du consensus, aujourd’hui, est un tueur de carrière pour les
personnes en début de carrière. Si j’avais 30 ans dans une université et
que j’essayais de faire carrière je la « fermerais » certainement et en
fait je me suis efforcé de la fermer quand j’étais plus jeune. Je
savais que le climat n’avait aucun sens, à l’époque. Mais j’étais un peu
prudent. Su un jeune se pose des questions là-dessus, il ne pourra pas
mettre cela dans une proposition, la proposition sera
refusée. Et effectivement, il ne pourra pas publier car le gardien de la
porte ne le laissera pas entrer. Et alors, cela mettra fin à leur
carrière.
Vous êtes obligé de soutenir l’histoire du réchauffement climatique. Si vous ne le faites pas, vous serez exclu et vous perdrez vos financements et votre carrière sera ruinée, vous allez être rejeté par la communauté. Vous serez méprisé par vos collègues. Le soi-disant consensus sur le climat est lui-même devenu une arme, une forme de harcèlement, d’intimidation et de censure utilisée contre ceux qui refusent de se conformer. C’est un outil que les gens utilisent afin de matraquer leur adversaire et les sceptiques pour attaquer leurs carrières. Selon ses détracteurs, loin d’être scientifique, le consensus militant et intolérant sur le climat représente une attaque dévastatrice sur l’investigation scientifique libre. Je considère que mon travail de scientifique est de poser simplement les faits et de laisser les gens décider de ce qu’ils veulent faire. Quand on ne peut pas parler des faits, les choses deviennent corrompues.
Professeur Sallie Baliunas :
Si vous fermez la porte aux idées, si vous le dites, vous n’êtes pas autorisé à le tester, vous n’avez pas le droit d’avoir cette idée, alors vous quittez le domaine de la science. Je ne pense pas que les climatologues reviendront un jour sur leur affirmation selon laquelle l’augmentation du CO2 est le bouton de contrôle du système climatique actuel. Je ne pense pas qu’ils reviendront un jour sur cela, quelques soient les preuves.
Il est clair que c’est désormais un « CULTE » et complètement en divorce avec la science.
Mais la peur du climat, apparemment inarrêtable, ne représente pas
seulement une attaque contre la science, « cela commence à nous façonner
un nouveau type de société ».
CLIMATE versus FREEDOM
Climat vs liberté
Les écologistes aiment se présenter comme anti-establishment mais leurs revendications sont bien accueillies et pieusement reprises par le Roi Charles III, l’Archevêque de Canterburry, la BBC, l’ONU, l’UE, par les chefs de gouvernements, la banque mondiale, le WEF ou Forum E-économique Mondial, en fait par tout establishment dirigeant financé par l’état. Le réchauffement climatique c’est comme le problème parfait où le gouvernement peut s’engager pour accroître l’influence du gouvernement. C’est une merveilleuse façon d’augmenter le pouvoir du gouvernement et s’il y a une menace existentielle là-dehors, de portée mondiale, et bien on aura besoin d’un puissant gouvernement mondial pour y faire face.
Claire Fox :
Si vous êtes un activiste climatique, en réalité vous favorisez une énorme validation pour le gouvernement de diriger nos vies.
Austin Williams :
De
nombreux environnementalistes, la plupart des écologistes, tous les
écologistes qui se considèrent comme des progressistes radicaux ou
alternatifs, ne font en fait que renforcer le mantra et les arguments
dominants de l’ensemble de l’establishment.
Claire Fox :
Les
exigences adressées au gouvernement signifient que le gouvernement
acquiert soudainement l’autorité pour interférer dans tous les coins et
recoins de notre vie et la manière dont nous vivons.
Toute chose a un narratif climatique qui y est attaché. Combien vous consommez ? Ou dépensez-vous votre argent ? Combien vous voyagez ? Avec qui interagissez-vous ? Quels types d’aliments mangez-vous ? Si vous mangez de la viande ? Toute chose à une sorte d’aspect qui peut être contrôlé dans une optique climatique.
Supposons
qu’il y a 20 ans, quelqu’un aurait eu l’idée : j’aimerais vraiment
interdire l’énergie bon marché, je voudrais vraiment contrôler les
achats électroménagers de tout le monde, j’aimerais dire à tout le monde
où ils peuvent aller, et en gros j’aimerais avoir le contrôle
dictatorial sur tout. Cela ne se pas possible, n’est-ce-pas ? Les gens
vous prendront pour un cinglé et vous ignorerons. Mais 20 ans plus tard,
c’est ce qui se passe !
L’establishment publiquement financé de l’Occident est si grand et si puissant, qu’il est capable d’imposer et de faire respecter le consensus officiel sur le climat grâce à son contrôle des écoles, des universités, du gouvernement et d’une grande partie des médias. Les chaînes de TV publiques comme la BBC excluent les climato-sceptiques. Les organismes de régulation et de radiodiffusion interdisent aux stations privées de diffuser des opinions sceptiques en les menaçant d’une révocation de leurs licences de diffusion. Ce qui se passe normalement dans une urgence c’est que toutes les formes normales d’ouverture et de démocratie doivent être supprimées car comment faire autrement en cas d’urgence.
Nous
sommes donc confrontés à une situation qui n’est pas dissemblable au
confinement ou fondamentalement toutes les « formes normales » de
comportements, les formes normales de communications sociales, les
formes normales de démocratie, sont essentiellement exclues.
Des activistes revendiquent même que le scepticisme soit criminalisé.
Dans certains métiers et professions, c’est désormais dangereux
d’exprimer son désaccord sur le climat. Ce n’est pas surprenant que les
gens qui sont sceptiques réfléchiront à deux fois avant d’exprimer leur
inquiétude parce qu’ils pourraient risquer leur carrière et risquer leur
entreprise et risquer d’être licencié.
Patrick Moore, co-fondateur de Greenpeace :
Si vous êtes un professionnel de quelque nature que ce soit, en science, en droit ou en médecine, si vous faites partie d’une association professionnelle ou vous êtes dans une université, vous pourriez être renvoyé pour avoir dit ce que vous croyez. La conséquence est un régime autoritaire de censure qui doit contrôler chaque mouvement, chaque mot, ou tout ce que vous voulez faire, parce que tout ce que vous faites est un signe potentiel pour la survie de l’humanité.
CLIMATE versus THE PEOPLE
Climat vs peuples
Les manifestants pour le climat condamnent le capitalisme. Lors de leurs rassemblements ouvriers anticapitalisme, il est difficile de repérer quelqu’un qui ressemble à un docker, un grutier, un métallurgiste ou une esthéticienne, ou un camionneur. Il semble que les ouvriers soient totalement absents de ces rassemblements et pour une très bonne raison. Les alarmistes du climat d’aujourd’hui se plaignent non pas que le capitalisme ne produise pas assez, mais qu’il produit trop. Le système capitaliste moderne a conduit à la prospérité. De plus en plus de gens ont de plus en plus de choses. L’anticapitalisme moderne à l’heure actuelle est une critique du capitalisme qui nous donne trop.
Docteur Stephen Davies, Institut des affaires économiques
Ils
pensent que le problème avec le capitalisme, maintenant, c’est en fait
qu’il donne trop de récompenses en masse pour les travailleurs
ordinaires. Et ce qu’ils veulent à la place, et c’est souvent très
explicite, c’est un genre de style de vie beaucoup plus austère, plus
simple dans lequel la consommation de masse, les choix de consommation
de la grande majorité de la population soient contrôlés ou même
interdits.
On doit moins consommer, on doit moins passer de vacances, on doit moins conduire, on doit moins manger et ainsi de suite. Il semble que ce qui contrarie de nombreux écologistes n’est pas l’échec mais plutôt le succès du capitalisme qui a produit une abondance de biens abordables pour les masses.
Les
travailleurs ordinaires pour une fois, on est arrivé à un moment de
l’histoire dans le monde occidental du moins où les fabricants de masse
leur ont rendu possible des vêtements bon marché, de la nourriture bon
marché, des meubles bon marché. C’est pourquoi on assiste à un conflit
lorsque des écologistes fortunés expriment leur mépris pour la
consommation de masse ? C’est comme les gens qui vont sur ces énormes
bateaux de croisière. Ils sont des milliers. Mais que font-ils ? Oh, mon
Dieu ! Tous ces fous, ils sont en train de ruiner Venise. Vous savez,
ils ruinent tous nos beaux endroits. On vaut mieux que cela, n’est-ce
pas ? Pourquoi vont-ils là-bas ?
Ce que l’on a ici est un cas classique d’hypocrisie de classe et d’intérêts personnels, se faisant passer comme une préoccupation d’intérêt public. On pourrait prendre ce genre de socialistes « verts » plus au sérieux s’ils vivaient hors réseaux, s’ils réduisaient leur propre consommation au minimum, s’ils ne prenaient pas l’avion. Au lieu de cela, ils parlent constamment de la façon dont ma consommation humaine détruit la planète. Mais les gens qui font tout ce bavardage ne montrent aucun signe qu’ils réduisent leur propre consommation. Ce que les écologistes appellent la décroissance est en train d’être atteint par la destruction de notre système d’énergie et le transport conventionnel, et l’introduction forcée d’alternatives est coûteuse et peu fiable. Cela produit l’effet escompté sur la fabrication industrielle qui est sous tension, sous le poids des taxes vertes et des réglementations punitives, et le prix d’énergies plus élevées.
Tom Nelson Ingénieur et pod-casteur du climat :
Les
gens qui sont derrière l’alarme climatique s’en fichent de la
fabrication. Ils ne sont pas concernés. Ils ne connaissent personne qui
travaille dans le secteur manufacturé, dont le travail et leur en
dépendent. Ils ne sont pas enthousiasmés par l’industrie ou le progrès
industriels, ils veulent juste que cela s’arrête.
CLIMATE versus THE POOR
Climat vs les pauvres
Kenya,
Afrique de l’est. Selon de nombreux environnementalistes de premier
plan, les personnes les plus pauvres du monde ne devraient pas aspirer
au mode de vie des gens du premier monde. La planète ne le supporterait
pas.
Grace Nyakanada
est l’une des nombreuses africaines qui n’ont ni électricité ni gaz
pour cuisiner ou chauffer leur maison. La fumée intérieure résultant de
la combustion du bois et du fumier séché constitue la forme la plus
mortelle de pollution au monde. Pour des millions de personnes, c’est la
cause de maladies pulmonaires, de cécité et de morts prématurés. « Si
je continue comme cela, je serai aveugle et mes enfants sont encore
jeunes. Qui va les nourrir ? Cela m’inquiète mais que puisje faire ? ».
L’Afrique
n’a pas seulement besoin d’électricité bon marché et fiable. La
production agricole ici est incroyablement basse et pour l’augmenter il
faudrait des combustibles fossiles pour fabriquer des engrais, conduire
des tracteurs et d’autres machines agricoles.
Jusper Machogu est un agriculteur :
«
Chaque africain veut se développer ; accroitre et améliorer
l’agriculture est l’un des moyens les plus simples de le faire.
L’agriculture est totalement liée aux combustibles fossiles. Les
combustibles fossiles, ce que nous disent les pays occidentaux, c’est
que l’on ne devrait pas y avoir accès ».
Environ
un 1/3 de la nourriture produite en Afrique pourrie avant même qu’elle
n’atteigne la bouche des consommateurs. Pour éviter ce terrible
gaspillage, l’Afrique a besoin d’emballages en plastique, de camions
frigorifiques et de bonnes routes. Tout cela est combattu par les
écologistes occidentaux. Tout cela vient avec le développement
industriel. Tout dépend d’une énergie fossile abordable. La diarrhée dû à
la consommation d’eau sale tue toujours des centaines de milliers
d’enfants africains. Mais une eau propre nécessite de grandes
installations industrielles de purification d’eau ainsi qu’un réseau
d’approvisionnement moderne d’eau. Et cela ne se fera qu’avec de
l’énergie bon marché.
Jusper Machogu qui est fermier nous dit :
«
Je pense qu’il est assez évident que l’Occident vit bien grâce aux
combustibles fossiles. Quand les gens disent que l’Afrique n’a pas
besoin de combustibles fossiles, je me pose des questions. Je ne pense
pas qu’ils veulent ce qu’il y a de mieux pour nous. Ils ne veulent pas
que l’on se développe. Cela signifie que l’on continue à mourir de faim,
qu’on continue à être pauvre. La plupart des gens ne savent pas ce
qu’est le changement climatique et s’en foutent. Ils veulent juste de la
nourriture sur la table. Ils veulent vaincre la pauvreté, ils veulent
vaincre la faim, ils ont besoin d’argent pour améliorer leur vie, ils
veulent s’épanouir, c’est tout ».
Austin Williams, écrivain :
Quand
ils utilisent les mots « développement durable », ils veulent dire pas
de développement du tout. Ce que je veux dire exactement c’est se
développer durablement signifie ne pas consommer trop d’énergie, ne pas
utiliser trop de carbone, le net zéro. L’idée de ne pas utiliser trop de
ressources, de ne pas trop produire de biens de consommation, parce que
consommer c’est mauvais. Donc, en fin de compte, l’idée de
développement est hors de portée. Les verts pensent que les Africains ne
devraient jamais utiliser leurs ressources comme les Européens, les
Américains, les Canadiens, les Australiens, ont utilisé les leurs. Ils
sont également favorables à des taxes punitives, des taxes frontières
pour tout pays africain qui veut exporter ses marchandises vers l’Europe
s’ils utilisent leurs propres ressources. Alors voilà, cela résume
l’éthique sans merci et la dépravation du programme des verts.
Mais les alarmistes du climat ont un problème. De nombreux pays d’Afrique et d’Asie ignorent simplement les exigences des écologistes des gouvernements occidentaux et des agences internationales. On estime que la chine communiste est en train de construire en moyenne 2 nouvelles centrales à charbon par semaine. La chine utilise désormais davantage de charbon que le reste du monde réuni. Ce qui est l’une des raisons pour laquelle l’agenda climatique est en train de s’effondrer parce que le reste du monde ne réduit pas ses émissions et ne s’oriente pas vers les énergies renouvelables. En Occident également, pour beaucoup de gens l’alarmisme climatique est en baisse.
Les gens ordinaires ne sont pas stupides, ils ont vu ces affirmations ridicules échouer les unes après les autres à maintes reprises. Ce que cela fait ? C’est laisser les gens avec un cynisme profond et justifié à l’égard de ce que dit l’establishment scientifique et à propos de ce que dit le gouvernement. Pour résoudre la crise climatique, nous dit-on, on doit abandonner nos voitures. On doit payer davantage pour le carburant, le chauffage, les vêtements, la nourriture, prendre moins l’avion et limiter nos déplacements. Cette attaque sur les voyages de masse, le tourisme de masse, la consommation de masse a peu d’attrait pour les masses.
Claire Fox Baroness Fox of Buckley Academy of Ideas :
Les
gens ordinaires commencent à réaliser que cela va leur couter beaucoup
d’argent simplement pour vivre la vie qu’ils menaient et qu’ils veulent
mener. Et dès que cela a commencé à se produire, j’ai pu voir des
personnes au Royaume Uni qui avaient été auparavant indifférents à
l’environnementalisme penser soudain : « Comment osent-ils faire cela ?
NON ! Comment osent-ils essayer d’enlever ce que l’on ne considère pas
comme un luxe mais comme une nécessité ? ».
Toute la politique de durabilité est basée sur la retenue. C’est une question de restriction, c’est de faire moins et cela évidemment c’est l’anathème pour la plupart des gens et leurs besoins quotidiens. Le fait qu’il y a effectivement eu un mouvement de personnes qui pensent que la production de masse à bas prix, qu’il s’agisse de maisons ou d’autres choses, c’est un problème. Je veux dire pour l’amour de Dieu, ce n’est pas étonnant. Que les gens soient devenus dédaigneux vis-à-vis du point de vue de l’environnementalisme de la classe moyenne. Mais, c’est littéralement ce que les gens disent. Comment va-t-on empêcher les gens d’acheter des choses bon marché dans les magasins.
Lorsque des manifestants pour le climat sont montés sur une rame de métro dans l’est de Londres, ils n’ont pas été acclamés par les travailleurs de la banlieue. Ils ont été insultés et trainés avec colère hors du train et ils ont reçu un traitement brutal sur le quai.
Si
vous alliez dans un pub fréquenté principalement par ce que les
américains appellent les « cols bleus », vous verrez que d’être
sceptique sur la politique du changement climatique ne va pas vous faire
expulser, bien au contraire, quelqu’un vous offrira probablement un
verre. Ils ont pu constater que derrière tous les discours sur l’urgence
climatique, la crise climatique, ce que c’est en réalité, c’est une
animosité, une hostilité à leur égard, à leur mode de vie, à leur
croyance et un désir de les changer par la force si nécessaire. Les
politiques punitives et restrictives menées « au nom du changement
climatique et du covid » ont provoqué des protestations en Grande
Bretagne, au Canada, et dans d’autres pays occidentaux. Les hommes
politiques anti-establishment et les mouvements contestataires gagnent
du soutien.
Ce
qu’ils ont sous-estimé c’est la fureur qu’ils allaient bientôt
rencontrer venant des gens ordinaires qui disent simplement, vous ne
pouvez pas faire cela. Alors, d’un coup il y a un nouveau mouvement.
De nombreux travailleurs ne sont pas seulement sceptiques mais vraiment en colère à propos de l’alarme climatique et de tout ce qui en découle. Il y a un soupçon ou peut-être une prise de conscience que le changement climatique est une peur inventée, poussée par l’intérêt personnel et le snobisme cyniquement promus par un establishment parasite financé par l’état avide de toujours plus d’argent et de pouvoir, une attaque contre la liberté et la prospérité de tous les autres.
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