Historique. Pusieurs états, dont la Pologne et la Hongrie se sont joints à la plainte pénale déposée auprès du juge d’instruction Frenay contre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Dans le cadre d’un article en préparation sur « où en sont les plaintes contre Ursula von der Leyen ? » France-Soir a obtenu confirmation qu’au moins deux états, la Pologne et la Hongrie, avait rejoint la plainte du lobbyiste belge Frédéric Baldan. Il s’avère qu’un autre pays au moins, la Roumanie, se serait constituée auprès du juge Frenay ou serait sur le point de le faire.
Rappelons que le 5 avril 2023, Fréderic Baldan déposait une plainte pénale avec constitution de partie civile entre les mains de Frédéric Fresnay, juge d’instruction à Liège, contre Ursula von der Leyen. La plainte vise principalement les contrats d’acquisition de vaccins covid avec le fabricant Pfizer ainsi que les SMS échangés avec le président de Pfizer Albert Bourla. Les chefs d’accusation étaient usurpation de fonctions et de titre, destruction de documents et prise illégale d’intérêt et corruption.
La Pologne, la Hongrie et la Roumaine ont d’ailleurs fait l’objet d’assignations indépendantes devant les tribunaux belges par la société Pfizer Inc pour « les obliger à respecter leurs engagements en matière de commandes de vaccins contre la covid-19 qui ont été placés dans le cadre de leurs contrats signés en 2021 » comme on peut le lire page 100 du rapport annuel de Pfizer Inc. En clair, Pfizer demande « le paiement total des doses de vaccins » commandées par le biais du contrat européen dont Ursula von der Leyen a potentiellement discuté et négocié de nombreux éléments avec le président de Pfizer Albert Bourla.
Dans un article du 16 mars 2024, le site Public Senat titre « Présidence de la Commission européenne : Ursula von der Leyen, stop ou encore ? » L’article établit que l’actuelle présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen s’est déclarée candidate (le 19 février) à sa propre succession, soutenue par le Parti populaire européen (PPE). Elle défend son bilan construit avec une alliance politique sortante, composée du PPE, des centristes de Renew et des sociaux-démocrates.
L’analyse de public Sénat devrait donc être complétée, car elle ne mentionne pas les plaintes de 10 parties (Baldan, Vivant Ostebelgien le parti politique Belge, Les Patriotes et au moins deux pays européens,…) visant Ursula Von der Leyen. Cette candidature semble aujourd’hui incompatible avec le traité de l’UE, ainsi que le code de conduite définissant la fonction de commissaire, dont elle violerait les articles 2.2, 2.5 et 2.6.
Rappelons que le 5 avril 2023, Fréderic Baldan déposait une plainte pénale avec constitution de partie civile entre les mains de Frédéric Fresnay, juge d’instruction à Liège, contre Ursula von der Leyen. La plainte vise principalement les contrats d’acquisition de vaccins covid avec le fabricant Pfizer ainsi que les SMS échangés avec le président de Pfizer Albert Bourla. Les chefs d’accusation étaient usurpation de fonctions et de titre, destruction de documents et prise illégale d’intérêt et corruption.
La Pologne, la Hongrie et la Roumaine ont d’ailleurs fait l’objet d’assignations indépendantes devant les tribunaux belges par la société Pfizer Inc pour « les obliger à respecter leurs engagements en matière de commandes de vaccins contre la covid-19 qui ont été placés dans le cadre de leurs contrats signés en 2021 » comme on peut le lire page 100 du rapport annuel de Pfizer Inc. En clair, Pfizer demande « le paiement total des doses de vaccins » commandées par le biais du contrat européen dont Ursula von der Leyen a potentiellement discuté et négocié de nombreux éléments avec le président de Pfizer Albert Bourla.
Dans un article du 16 mars 2024, le site Public Senat titre « Présidence de la Commission européenne : Ursula von der Leyen, stop ou encore ? » L’article établit que l’actuelle présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen s’est déclarée candidate (le 19 février) à sa propre succession, soutenue par le Parti populaire européen (PPE). Elle défend son bilan construit avec une alliance politique sortante, composée du PPE, des centristes de Renew et des sociaux-démocrates.
L’analyse de public Sénat devrait donc être complétée, car elle ne mentionne pas les plaintes de 10 parties (Baldan, Vivant Ostebelgien le parti politique Belge, Les Patriotes et au moins deux pays européens,…) visant Ursula Von der Leyen. Cette candidature semble aujourd’hui incompatible avec le traité de l’UE, ainsi que le code de conduite définissant la fonction de commissaire, dont elle violerait les articles 2.2, 2.5 et 2.6.
Une question se pose : Emmanuel Macron et Renew peuvent-ils continuer à soutenir la candidature d’Ursula von der Leyen ? En soi, cela constitue une possible entrave à l’enquête, car en soutenant sa candidature alors qu’elle est visée par ces plaintes, cela contribue à l’empêcher d’aboutir.
Article complet à paraitre.
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