“Lorsque la DEI est attaquée, que faisons-nous ? Nous nous levons, nous nous battons !!! Nous défendons Claudine Gay”. – Le révérend Al Sharpton
On se demande qui le conseil d’administration de Harvard pourrait envisager de nommer à la présidence de cette auguste institution une fois que Claudine Gay aura pris ses nouvelles fonctions de professeur au sein du programme d’études supérieures en création littéraire. L’évidence, à plus d’un titre, c’est Ibram X. Kendi, le directeur fondateur du Centre de recherche antiraciste de l’Université de Boston, lancé en 2020, puis “annulé” en septembre 2023, après que les auditeurs de l’Université de Boston ont révélé que 43 millions de dollars de dons, de dotations et de subventions au centre n’avaient pas été comptabilisés.
L’université a admis que des erreurs avaient été commises, principalement par des Blancs cherchant à discréditer le mouvement antiraciste, prouvant ainsi la persistance d’un racisme structurel. M. Kendi a expliqué au New York Times que les critiques utilisaient la situation “pour régler de vieux comptes et démontrer que je suis un problème ou que l’antiracisme est un problème”, car blâmer la victime est l’une des principales techniques de ceux qui sont à l’origine du racisme structurel. “Malheureusement, nous vivons dans un moment de réaction si polarisé et si rancunier”, a-t-il ajouté.
Kendi est le candidat le plus qualifié pour éradiquer les racistes réactionnaires encore présents à Harvard, qui représentent la menace la plus grave pour la démocratie, l’élimination des discours de haine et l’équité dans le monde universitaire. On peut s’attendre à ce que le président Kendi renforce l’engagement de l’institution à faire progresser les personnes marginalisées à tout prix. Il faut également tenir compte du fait que l’université de Boston est située à moins d’un kilomètre de l’université de Harvard, de l’autre côté de la Charles River, ce qui signifie qu’il n’y aura pas de frais de déménagement pour le Dr Kendi, alors que certains des plus gros donateurs de l’école (par exemple Bill Ackman, de Wall Street) menacent de ne plus faire de dons au fonds spéculatif de Harvard, c’est-à-dire à son fonds de dotation.
L’amiral Rachel (née Richard) Levine, secrétaire adjointe à la santé au HHS, l’un des principaux superviseurs (oups), je veux dire administrateurs des politiques officielles américaines en matière de Covid-19, et principal promoteur des obligations en matière de vaccins à ARNm, serait peut-être un choix plus judicieux. Wikipedia nous dit : “Levine a été nommé amiral quatre étoiles dans le corps commissionné du service de santé publique des États-Unis, devenant ainsi le premier officier quatre étoiles ouvertement transgenre dans l’un des services en uniforme des États-Unis, ainsi que la première femme amiral quatre étoiles dans le corps commissionné”, éludant le fait qu’il/elle n’est pas réellement une femme, mais plutôt un homme prétendant être une femme, avec une attention scrupuleuse à la coiffure et au costume.
Les lecteurs peuvent débattre de la question de savoir si féminin est interchangeable avec le mot femme et si s’imaginer être une femme est la même chose qu’être une femme. Mais voyez-vous, c’est exactement l’avantage de placer le Dr (pédiatre) Levine au poste de président de Harvard : l’attention de la nation se déplacerait considérablement des difficultés du racisme et de l’antiracisme vers les perplexités encore plus riches de l’identité de genre, tout en exposant l’influence néfaste des hommes qui restent à la faculté de Harvard en promouvant un patriarcat intransigeant, souvent teinté d’une blancheur toxique.
En tant que président de Harvard, M. Levine pourrait mettre l’accent sur l’importance de la simulation dans l’enseignement supérieur. Bien entendu, la simulation est déjà bien établie dans les revues et les publications universitaires, et plus particulièrement, ces derniers temps, dans la science médicale entourant l’une des spécialités du Dr Levine, la Covid-19 (et ses remèdes). On ne peut qu’espérer que l’amiral recrutera comme chef de cabinet le Dr Eric Feigl-Ding, chef du groupe de travail sur la Covid-19 à l’Institut des systèmes complexes de Nouvelle-Angleterre. Il y a trois jours à peine, le Dr Feigl-Ding a tweeté (ou fait un X) : “Les campagnes anti-vax sont alimentées par une armée de désinformation. Vos amis et votre famille sont bombardés de désinformation au point qu’ils commencent à y croire – mais ne tombez pas dans le panneau !” Ce qui veut dire : pour l’amour du ciel, sortez et faites des rappels d’ARNm ! D’autant plus que, comme le déclare également le Dr F-D sur X, “un enfer Covid est en train de déferler sur tout le pays”.
On est tenté de se demander si, dans le cas où Harvard renouvellerait ses obligations de vaccination contre la Covid-19, les étudiants de Harvard seraient assez intelligents pour refuser les injections. Il est vrai que la politique de Harvard en matière de diversité, d’équité, d’inclusion et d’appartenance (DEIB) a mis l’accent sur des questions autres que l’intelligence dans ses procédures d’admission. Les parents pourraient se demander si, en cas de décès d’un étudiant à la suite d’une myocardite avant la fin d’un semestre, Harvard rembourserait tout ou partie des 55 000 dollars de frais de scolarité. Ce sont là quelques-unes des perplexités que le Dr (Amiral) Levine est bien équipé pour résoudre.
Quelqu’un d’autre a-t-il des propositions à faire ? (indices : Nikole Hannah-Jones ? Duane “The Rock” Johnson ? Mika Brzezinski ? Ilhan Omar ? Megan Rapinoe ?)
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