De loin, du haut de mon grenier normand je contemple la folie du monde. Modestement, j’essaie d’en préserver au moins mes enfants. Modestement, petite flamme dans la nuit, je partage avec chacun de vous cette chronique quotidienne d’un monde qui part complètement à la dérive. N’imaginez pas que cela soit loin de l’économie.
L’économie c’est de la sociologie. L’économie c’est la somme des comportements individuels.
Je vois les jeunes quitter les clubs de sport dès que les parents, très fiers d’eux, leur offrent le premier smartphone, la première console. Ils s’enferment dans leurs chambres. Ils ne se voient plus. Ils ne se rencontrent plus. Ils ne se parlent plus. Ils s’échangent, tenez-vous bien, des « vocaux ». En clair ? Ils ne discutent pas en direct. Ils envoient des messages enregistrés. Ils se parlent par répondeurs interposés.
Comment voulez-vous avoir une communication directe avec des « vocaux ».
Le smartphone greffé dans la main.
Regardez ces vidéos.
On ne danse plus, on ne chante plus, on ne s’embrasse plus.
L’humanité s’efface petit à petit.
Nous sommes en train de transformer notre société en asile de fous.
A ce rythme, demain, nous serons presque tous des psychopathes en puissance.
Ils deviennent tous fous et ne s’en rendent même pas compte. Plus grave, ils veulent imposer aux sains d’esprit leur folie qu’ils considèrent la « normalité ».
Effroyable.
Contemplez le calme de la « fête ». Entendez le silence de la « fête ».
Ecoutez la dépression de la population.
Ici en France, comme là-bas aux Etats-Unis.
Remarquez ce terrible silence.
C’est le silence de la mort.
La vie, elle, fait du bruit. Toujours.
Le bruit des enfants qui jouent, les rires des enfants qui vivent et s’amusent.
Alors mes amis, n’oubliez pas comme le chante si bien HK, de continuer à danser encore !
Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance. Faites passer. Relayez ce message.
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