Gabriel Attal est nommé Premier ministre. Est-ce que politiquement cela changera quelque chose ? Non, il continuera les mêmes réformes, c'est d'ailleurs pour cela qu'il a été nommé. En revanche, c'est un signal idéologique fort - la France s'enfonce dans le wokisme.
Attal est l'image même de l'imposture globaliste, qui va être imposée aux Français, si cette fois-ci encore, comme avec Macron, ils ne s'arrêtent qu'à l'apparence et se laissent voler les élections. Blanc, homme, mais homosexuel et fondamentalement globaliste, c'est le maximum de ce qui est autorisé à la France. Si nous laissons faire, il tiendra le rôle du prochain président d'un pays fantôme.L'image d'un futur présidentiable est en train de se construire. Avec Gabriel Attal, les globalistes ont leur candidat idéal et Macron a un Premier ministre sur mesure pour terminer son mandat.
La ligne politique globaliste ne sera pas remise en cause et pour faire passer les réformes impopulaires et anti-françaises il sera bien obligé, comme Elisabeth Borne, de recourir au 49-3. Il gouvernera contre la France, comme son prédécesseur, car telle est la ligne macronienne, dont il est un petit clone progressiste. Il pourrait même aller plus loin sur des questions éthiques, notamment en légalisant la GPA.
L'intérêt de la nomination d'Attal est strictement idéologique - afficher le "progressisme" de cette France atlantiste et défaite, que les élites ont trahie et vendue. Comme le déclare avec joie et fanatisme Libération :
"M. Attal, qui était auparavant ministre de l’Éducation et a occupé plusieurs postes gouvernementaux depuis l’élection de M. Macron en 2017, devient le plus jeune Premier ministre de France et le premier ouvertement gay."
Le rôle d'Attal est double. Il doit permettre de donner un second souffle à la présidence Macron, pour continuer le travail de réformes globalistes, toujours plus radicales, qui déstructure notre pays. Avec son saupoudrage "abaya", il va même pouvoir rallier des idiots utiles, qui pourront voir en lui un "conservateur progressiste", nouvelle catégorie du théâtre politique, caractérisant un personnage reprenant certaines apparences (et uniquement les apparences) du conservatisme, mais les dévoyant à la racine pour les vider de leur sens. Mais dans un monde de l'apparence et de la comm invasive, les gens dépassent rarement le stade des apparences.
Le second intérêt de cette nomination est de préparer les présidentielles et de former un présidentiable, dont la carrure politique pour l'instant est limitée à celle d'un premier communiant dépucelé dans le salon d'apparat du parrain. Et la photo du futur président nous a déjà été fournie par Libé, puisqu'il faut bien préparer les esprits :
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