Amine Umlil : condamné à la mort sociale pour avoir simplement fait son métier.
En tous ces français inconnus qui se sont élevés contre le discours officiel, ont osé aller à l’encontre de ce que l’on a voulu leur enfoncer dans le crâne comme une vérité, Victor Hugo a trouvé de dignes héritiers. Des femmes et des hommes qui ont repris, en France, le flambeau de la résistance contre l’oppression.
Je pense notamment à Luc Montagnier, Christian Perronne, Didier Raoult, ainsi que les professeurs de l’IHU-Méditerranée. C'est avec eux que la France a su montrer que des femmes et des hommes, fidèles à leurs valeurs et au serment d’Hippocrate, existaient encore. Ils ont été suivis par une multitude de personnes et c‘est tant mieux. Ces personnes auront contribué à analyser la situation et informer, communiquer dans l'anonymat le plus total pour la plupart, et avec les maigres moyens du bord.
En 2024, fatigue, peur de l’échec, ou d'un succès qui tarde à arriver, nombreuses sont les raisons qui poussent à se diviser. Elles prennent souvent le pas sur celles de se rassembler. Trouver un coupable paraît toujours plus facile que de trouver une solution. Tout au long d’un long chemin de croix, certains ont souffert plus que d’autres. Une pensée me vient tout d’abord pour ces victimes, celles de la thérapie génique, ceux qui ont perdu la vie, et ceux qui sont maintenant handicapés. Elle va aussi aux soignants et à toutes les professions qui, au mépris des droits fondamentaux, et au nom d’une science incomplète et imparfaite, se sont retrouvées dans l'obligation de se faire vacciner afin de pouvoir travailler. Parmi ces personnes, l’une d’elles s’est révélée : Amine Umlil. Auguste pharmacien hospitalier à Cholet, responsable d’un centre de pharmacovigilance, il s’est présenté comme l'un des dignes héritiers de Victor Hugo. Au péril de sa vie professionnelle, il a exercé son métier, s'érigeant comme un rempart, alertant sur les risques du “vaccin”, et ce avec le maigre soutien de quelques médias, dont France-Soir.
Ce serviteur de la liberté qu'est Amine, est loin, très loin d'avoir dit son Ultima verba (1), ses dernières paroles, son dernier mot, n'en déplaise à tous ceux qui veulent le censurer.
Au nombre de ceux-ci, il y a avant tout ceux qui lui ont infligé une sanction sans pareille avec une brutalité sans nom, digne des films américains : une révocation sans préavis, lui retirant ainsi son gagne-pain mais également son honneur professionnel et la dignité d’avoir juste bien fait son travail. Amine Umlil n’aura même pas pu récupérer ses effets personnels restés dans son bureau à l'hôpital...
L’enquête en cours montre qu’il y aurait eu des demandes répétées de l’ancien ministre de la Santé Olivier Véran et d'Agnès Firmin-Le Bodo, qui était alors son ministre déléguée – de traiter le cas Umlil. Une source proche du dossier au CNG (Centre national de gestion), qui s’est occupée de traiter le dossier Umlil aurait reçu l’instruction de se “débarrasser de ce mec”. Les courriers, provenant du CNG, reçus par le Dr. Umlil montrent qu’Agnès Firmin-Le Bodo était en copie...
Mais qu’en est-il de ceux qui se taisent, alors que l'honneur, un minimum de courage et d'honnêteté qui devrait habiter tout citoyen adulte, exigerait que l'on parle haut et fort, et de crier : #ReintegrezAmineUmlil
N’est-il pas du devoir des collègues d'un professionnel de santé qui se retrouve injustement cloué au pilori par la meute des médias mainstream, relais du mensonge et vils valets de l'arbitraire, de parler, de s'insurger contre pareille mise au ban ?
Évidemment, oui !
Et que dire alors, des politiciens qui au lieu de relever cette infamie (hormis quelques-uns), l'entretiennent par leur silence ou, plus grave encore, participent à la curée ? Décrire avec exactitude l'ignominie dont cela procède sans être grossier, s'avère totalement impossible.
Pourtant, la perfidie peut aller au-delà de ces limites, quand parmi ceux qui se taisent, il y a des hommes et des femmes au nombre desquels, celui visé par cet assassinat public, professionnel, judiciaire et médiatique, a apporté son aide. Un soutien qui justement vaut à Amine d'être traité comme un paria, un criminel.
Dans l'exercice de son métier de pharmacien, Amine Umlil a expliqué et réexpliqué à de nombreuses personnes les problèmes de l’approbation réglementaire des médicaments, et plus particulièrement de cette injection, alors même que des alternatives thérapeutiques existaient et ne présentaient aucun danger. Amine Umlil s’est évertué à démontrer le viol du consentement libre et éclairé ainsi que les nombreuses étapes viciées de l’autorisation de ce “traitement”.
Il s'est battu contre cette machine infernale. Les tenanciers actuels du pouvoir, tous leviers confondus, lui en font payer le prix. Via des violations manifestes de ces principes fondamentaux de notre droit, que sont le respect de la loi et l'exercice de toutes les prérogatives qu'elle donne à la défense, les instances professionnelles et administratives ont condamné l'ami Amine.
Cette sanction le prive de ressources tandis que les dépenses s'accumulent.
À France-Soir, tous autant que nous sommes, nous avons toujours apporté à Amine, ainsi qu’à d’autres personnes, l’espace d’expression nécessaire qui a manqué dans le paysage médiatique français. Du haut de nos 80 ans d’existence, il est sage de se rappeler les devoirs de la charte de Munich, et d’informer loyalement nos lecteurs.
Notre devoir est aussi de nous insurger individuellement et collectivement contre cette ignominie. Tous sans exception, dans le respect le plus total de la devise de notre République : “Liberté, Égalité, Fraternité.”
Alors, levons-nous et relayons le message : #ReintegrezAmineUmlil !
(1) "Ultima verba", un poème de Victor Hugo des Châtiments, recueil publié en 1853. À la suite du coup d'Etat du 2 décembre 1851 qui vit l’arrivée au pouvoir de Louis-Napoléon Bonaparte, Victor Hugo s’exila. Les écrits qu'il produisit alors, furent une arme destinée à discréditer et renverser le régime d'un Napoléon III auquel Victor Hugo vouait une haine farouche et un mépris immense. L’empereur encaissa les coups sans répondre, jusqu’à la chute de son régime. C’est donc le poète, qui, à la fin, remporta la victoire.
Texte intégral de la dernière strophe du poème :
“Si l’on n’est plus que mille, eh bien, j’en suis ! Si même
Ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ;
S’il en demeure dix, je serai le dixième ;
Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là !”
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