Si j’avais les moyens je ferais sans doute comme Zuckerberg, et je nous construirais un immense abri, dans un immense domaine, un abri qui serait non pas fermé à chacun mais ouvert à tous les hommes de bonnes volontés. Si j’étais « riche » je construirais une oasis, une abbaye, un lieu en retrait du monde, un lieu de savoirs, de connaissances, de paix et de partage.
Ce que je trouve étrange, drôle et cocasse à la fois, c’est que Zuckerberg, c’est le bien-pensant de la Silicon Valley, celui qui contrôle ce qui se dit sur les réseaux sociaux, celui qui censure, celui qui véhicule la « bonne parole » comme la sainte parole vaccinale par exemple. Bref, le Zuck est un serviteur du système qu’il sert et dont il se sert.
Je ne juge pas.
Je constate.
Et le Zuck, lui, devient survivaliste !
Le Zuckerberg s’enferme, érige des murs, des miradors et des abris.
Il a raison.
Mais il a tort.
Il faut faire des abris, des abris à l’intelligence et des sanctuaires à la connaissance.
Autrefois, au Moyen-âge, les abbayes ont été le cœur battant de la société médiévale.
Elles ont été autant de sanctuaires pour protéger les livres et les savoirs.
C’est triste, mais, a nouveau, il est temps d’ériger des abbayes. C’est cela que je ferais si j’avais la fortune du Zuck.
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