Ce qu'elle révèle pourrait faire tomber tout le récit mensonger des injections covid. Santé Nouvelle-Zélande (Te Whatu Ora) prétend se soucier de la santé des Néo-zélandais, mais fait emprisonner Barry Young pour avoir révélé que certains sites de "vaccination" covid ont eu un taux de mortalité de plus de 30% et plusieurs autres entre 20 et 30% de leurs inoculés. Young est bien l'administrateur de la base de données gouvernementale N-Z d'où il a tiré ses tableaux, qu'il a anonymisés. Il a été arrêté peu de temps après l'interview ci-dessous de Liz Gunn, non pas pour avoir menti mais seulement pour avoir révélé des données confidentielles et "répandu de la désinformation". Insistons sur le fait qu'aucun nom n'avait été révélé, ni vaccinateurs ni vaccinés, seulement les noms de lieux et les statistiques de mortalité. Comme telles, les infos partagées sont du domaine public et auraient pu être obtenues sur simple demande d'accès à l'information (FOAI), dans une démocratie fonctionnelle.
Entrevue Gunn-Young. Ce document vidéo est la mère de toutes les révélations covid (M.O.A.R.), pour reprendre expression de Gunn :
Sommairement, les tableaux ci-dessous montrent l'hécatombe que certains lots ont causée, sans que le public n'en ait été informé et sans qu'aucune précaution connue n'ait été prise pour la suite. Certains vaccinateurs ont, sans le savoir, envoyé à la mort plus d'une centaine de personnes confiantes qui ne demandaient qu'à être protégées.
Tableau 1- Par site : Notez que la mortalité de tout le pays est de 0.75% (coin doit en haut du tableau 1) pour cette opération "sanitaire", soit une personne décédée pour 133 injectés, ce qui est beaucoup plus que le 1 sur 100.00 dont on nous parlait. Des éclaircissements seraient nécessaires sur ce point très sérieux. Remarquez les taux effarants de mortalité post injection dans la colonne de droite, souvent au-dessus de 30%.
Tableau 2 - Par lot (batch) : Les chiffres parlent d'eux-mêmes. 21% des injectés du lot #1 sont morts, soit plus d'une personne sur 5. Le lot #8 est bon deuxième avec 17%, presque 1 personne sur 6.
Tableau 3 - Par vaccinateur : L'un des vaccinateurs a vu 24% de ses injectés décéder peu après. Un autre, 22,9%. Plusieurs ont plus d'une centaine de morts à leur actif, le pire étant 239 décès.
IL FAUT :
1- Qu'il y ait un moratoire sur les injections ARNm utilisées comme vaccins.
2- Que tous les pays dévoilent leurs données vraies sur ce sujet. Ils les ont, n'en doutez pas.
3- Que justice se fasse. Cet événement est un "game changer" si assez de gens en sont informés et prennent position. Nous le devons aux victimes. Si vous le pensez aussi, alors relayez svp. Et que toutes les personnes décédées reposent en paix.
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