Voyez, le sujet n’est pas de savoir si nous avons des problèmes de pollution ou pas. Nous en avons.
C’est incontestable.
Il suffit de se mettre le long d’une route passante et respirer les bons gaz d’échappement de nos diesels pour en être convaincu.
La pollution est partout.
Nous devons faire mieux.
Le problème c’est le CO2 devenant l’alpha et l’oméga, et les données du GIEC qui ne peuvent jamais être discutées.
Elles SONT LA vérité.
Comme toujours, quand on affirme qu’un élément ne peut se discuter c’est suspect !
De nouvelles études viennent rendre tout simplement obsolètes les modèles du GIEC.
Et c’est normal.
La science cela change, évolue, se complète, s’affine ou se corrige.
L’océan absorbe davantage de CO2 que prévu grâce au plancton
« Une équipe internationale de chercheurs, qui compte un scientifique de Brest (Finistère), publie un article dans la prestigieuse revue « Nature ». Selon leurs conclusions, l’océan capte plus de CO2 que prévu grâce au plancton. Mais le bouleversement climatique menace cette pompe naturelle.
Alors que la Cop28 bat son plein à Dubaï, les regards sont braqués sur les émissions de carbone. Contrant celles-ci, des puits naturels emprisonnent le CO2. Les forêts sont sûrement le plus connu d’entre eux. Mais l’océan joue aussi un rôle, loin d’être négligeable : il capte environ 30 % du CO2 émis par les humains, selon le Centre national de recherche scientifique (CNRS).
Deux phénomènes se conjuguent. Le premier est la pompe de carbone physique : des immenses masses d’eau parcourent le globe au gré des courants. Quand les eaux de surface plongent vers les profondeurs, elles emportent avec elles du carbone.
L’autre est une pompe biologique. Elle consiste surtout en du plancton qui vit à la surface. La partie qui n’est pas mangée coule. Cela donne un nuage de planctons morts blancs, on appelle ça de la neige marine. Cela se dépose au fond des océans et reste stocké des dizaines de milliers d’années, détaille Frédéric Le Moigne, chercheur CNRS au LEMAR (Laboratoire des sciences de l’environnement marin) au Technopole de Plouzané (Finistère).
Le rôle de l’océan est plus important que ce qui était jusqu’ici envisagé, selon une nouvelle étude qui paraît dans la revue Nature, et à laquelle le chercheur finistérien a participé.
Dans le précédent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), en 2021, le rôle de l’océan était souligné, mais les mesures imprécises. Les estimations dataient du début des années 2010. Elles variaient entre 5 et 20 gigatonnes par an. Scientifiquement, une variation de 400 %, ce n’est pas idéal, souligne le chercheur.
Selon la nouvelle étude, le calcul est bien plus précis : la pompe biologique de l’océan capture chaque année 15 gigatonnes, plus ou moins une gigatonne, précise Frédéric Le Moigne. C’est aussi 20 % de plus que la moyenne calculée par le Giec, de 11 gigatonnes. »
Donc vous voyez à travers cette information que les données de GIEC ne peuvent pas être gravées dans le marbre, que les données du GIEC contiennent des marges d’erreur considérables.
Allons plus loin maintenant !
Si nous augmentons le plancton dans les mers alors nous augmentons notre capacité à capter du CO2 et donc à réparer.
Il va donc falloir « plancter » du plancton !!
Ce que je veux vous dire, ce n’est pas qu’il ne faut rien faire !
C’est qu’il faut encore une fois appliquer l’équation du bon sens.
La marteler.
La répéter.
La partager massivement mes amis.
Faire œuvre de contre-propagande pour protéger nos enfants de l’anxiété climatique destructrice.
Il faut laisser une planète en bon état à nos enfants ET des enfants en bon état à la planète.
Nous allons tous mourir un jour, mais, nous l’espérons tous, le plus tard possible et peut-être pas dans d’horribles souffrances climatiques que seules les taxes et la réduction de nos libertés permettraient de réduire !
Bref.
N’ayez pas peur !
Charles SANNAT
« Une équipe internationale de chercheurs, qui compte un scientifique de Brest (Finistère), publie un article dans la prestigieuse revue « Nature ». Selon leurs conclusions, l’océan capte plus de CO2 que prévu grâce au plancton. Mais le bouleversement climatique menace cette pompe naturelle.
Alors que la Cop28 bat son plein à Dubaï, les regards sont braqués sur les émissions de carbone. Contrant celles-ci, des puits naturels emprisonnent le CO2. Les forêts sont sûrement le plus connu d’entre eux. Mais l’océan joue aussi un rôle, loin d’être négligeable : il capte environ 30 % du CO2 émis par les humains, selon le Centre national de recherche scientifique (CNRS).
Deux phénomènes se conjuguent. Le premier est la pompe de carbone physique : des immenses masses d’eau parcourent le globe au gré des courants. Quand les eaux de surface plongent vers les profondeurs, elles emportent avec elles du carbone.
L’autre est une pompe biologique. Elle consiste surtout en du plancton qui vit à la surface. La partie qui n’est pas mangée coule. Cela donne un nuage de planctons morts blancs, on appelle ça de la neige marine. Cela se dépose au fond des océans et reste stocké des dizaines de milliers d’années, détaille Frédéric Le Moigne, chercheur CNRS au LEMAR (Laboratoire des sciences de l’environnement marin) au Technopole de Plouzané (Finistère).
Le rôle de l’océan est plus important que ce qui était jusqu’ici envisagé, selon une nouvelle étude qui paraît dans la revue Nature, et à laquelle le chercheur finistérien a participé.
Dans le précédent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), en 2021, le rôle de l’océan était souligné, mais les mesures imprécises. Les estimations dataient du début des années 2010. Elles variaient entre 5 et 20 gigatonnes par an. Scientifiquement, une variation de 400 %, ce n’est pas idéal, souligne le chercheur.
Selon la nouvelle étude, le calcul est bien plus précis : la pompe biologique de l’océan capture chaque année 15 gigatonnes, plus ou moins une gigatonne, précise Frédéric Le Moigne. C’est aussi 20 % de plus que la moyenne calculée par le Giec, de 11 gigatonnes. »
Donc vous voyez à travers cette information que les données de GIEC ne peuvent pas être gravées dans le marbre, que les données du GIEC contiennent des marges d’erreur considérables.
Allons plus loin maintenant !
Si nous augmentons le plancton dans les mers alors nous augmentons notre capacité à capter du CO2 et donc à réparer.
Il va donc falloir « plancter » du plancton !!
Ce que je veux vous dire, ce n’est pas qu’il ne faut rien faire !
C’est qu’il faut encore une fois appliquer l’équation du bon sens.
La marteler.
La répéter.
La partager massivement mes amis.
Faire œuvre de contre-propagande pour protéger nos enfants de l’anxiété climatique destructrice.
Il faut laisser une planète en bon état à nos enfants ET des enfants en bon état à la planète.
Nous allons tous mourir un jour, mais, nous l’espérons tous, le plus tard possible et peut-être pas dans d’horribles souffrances climatiques que seules les taxes et la réduction de nos libertés permettraient de réduire !
Bref.
N’ayez pas peur !
Charles SANNAT
Source? Le journal Complotiste Ouest-France reprenant une étude avec le CNRS… ici
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