23 décembre 2023

Fonte des glaciers dans l’Himalaya moins rapide que prévue

 

Voici une nouvelle rubrique destinée à remuer quelques méninges et que j’intitule « la science qui change ».

Mon objectif. Traquer les changements de la « science » pour montrer et démontrer non pas qu’il ne faut rien faire ou que nous n’avons pas de problème de pollution.

Ce que je veux montrer, c’est que les affirmations assenées comme autant de certitudes dans des outrances verbales pas possible et entraînant une anxiété climatique délirante de nos jeunes ne repose pas sur la science justement mais sur des peurs irrationnelles.

Oui il y a des problèmes, et ce que nous connaissons évolue. Nos connaissances sont en permanente évolution.

Nos connaissances et donc également nos « compétences », nos techniques et nos moyens qui seront autant de solutions pour demain que nous ne connaissons pas encore.

Il faut donc faire preuve de pondération et de modération et ne pas oublier, de ne jamais oublier que la science change au fil du temps.

Les médecins de Molière avaient de doctes certitudes, comme la jeune Greta à couettes, et ils faisaient des saignées.

Depuis la médecine ne cesse d’évoluer, et seule Greta voudrait encore des saignées écologiques ?

C’est cela que je veux démontrer. Rien de plus, mais rien de moins.

La manipulation ici consiste à vous faire croire que nos connaissances sont fixes pour toujours en ce qui concerne le climat.

Le climat est sans doute l’un des systèmes les plus complexes qui soit. Nous n’en sommes qu’au début de la compréhension et des interactions.

L’étude suivante se révèlera peut être fausse, peut-être encore plus vraie, elle sera confirmée ou démentie. Peu importe. La science change parce que nos connaissances évoluent. Voilà le plus gros mensonge actuel et la raison pour laquelle vous devriez lire le dossier Stratégies consacré à la lutte des castes ! Le mensonge est utilisé pour nous maintenir dans nos « castes » inférieures. (tous les renseignements en cliquant sur l’image ci-dessous).

UNE DÉCOUVERTE IMPROBABLE DANS L’HIMALAYA POURRAIT AIDER À RÉDUIRE LES EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE

Les glaciers de l’Himalaya ont fondu 65 % plus rapidement dans les années 2010 que lors de la décennie précédente.

Selon une étude publiée le 4 décembre dernier, la fonte des glaciers de l’Himalaya, combinée à des phénomènes liés aux écarts de températures, permettrait de faire baisser la température au sol dans la région.

Une réaction naturelle qui pourrait réduire les effets globaux du changement climatique. D’après une étude publiée dans le journal scientifique « Nature Geoscience » le 4 décembre dernier, la fonte des glaciers de l’Himalaya engendrerait une baisse des températures au sol.

Comme l’explique l’article scientifique, repartagé par CNN, ce phénomène surprenant est dû aux vents et différents courants liés à l’altitude : la hausse globale des températures crée une différence de température entre l’air entourant les glaciers de l’Himalaya et l’air froid directement en contact avec la glace de la chaîne de montagne, indique Francesca Pellicciotti, professeure de glaciologie à l’Institut des sciences et technologies d’Autriche et auteure principale de l’étude.

Cette dernière a également ajouté que « cela mène à une hausse des échanges thermiques turbulents à la surface du glacier et un refroidissement plus important de la masse d’air en surface ». En prenant de la densité, l’air froid descend dans les vallées, ce qui permet de rafraîchir les températures dans les zones basses du glacier, mais également dans tous les écosystèmes environnants.

Bien qu’il s’agisse d’une découverte impressionnante, les chercheurs n’ont aucune certitude que cela soit suffisant afin de contrer les effets globaux du réchauffement climatique.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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