Via l’équipe qui a débusqué les TwitterFiles et Facebook files, Elon Musk vient de balancer sur son compte encore plus gros : les informations de lanceurs d’alerte sur la création en 2018 d’« un complexe mondial de censure » mêlant gouvernements et acteurs privés (ONG, médias, réseaux sociaux,..) suite au traumatisme pour la Caste mondialiste que fut 2016 : Brexit et élection de Trump !
Lisez ça, c’est un peu long mais c’est sidérant et ça concerne évidemment la France ! Ils vont exposer tout ça au Congrès américain demain et d’autres documents vont sortir !
« Des entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un plan radical de censure mondiale en 2018, selon de nouveaux documents, pour éviter une redite du traumatisme pour l’oligarchie mondiale de 2016 : Brexit et élection de Trump !
Un lanceur d’alerte a présenté une nouvelle mine explosive de documents, rivalisant ou dépassant les fichiers Twitter et Facebook en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d'un groupe « anti-désinformation » nommé « Cyber Threat Intelligence League » (CTIL), qui a officiellement débuté comme un projet bénévole de scientifiques et de vétérans de la Défense et du renseignement, mais dont les tactiques au fil du temps semblent avoir été absorbées par de multiples activités officielles, y compris ceux du gouvernement américain.
Un autre explique que même si de telles activités à l'étranger sont « généralement » menées par « la CIA, la NSA et le ministère de la Défense », les efforts de censure « contre les Américains » doivent être menés en faisant appel à des partenaires privés, parce que le gouvernement n'a pas « l'autorité légale ».
Le lanceur d'alerte affirme qu'une dirigeante de la CTIL, une « ancienne » analyste du renseignement britannique, était « dans la salle » à la Maison Blanche sous Obama en 2017 lorsqu'elle a reçu l'instruction de créer un projet de contre-désinformation pour « éviter une répétition de 2016 » (Brexit et élection de Trump). C’est le complexe industriel de censure : un réseau de plus de 100 agences gouvernementales et ONG qui travaillent ensemble pour inciter à la censure sur les plateformes de réseaux sociaux et diffuser de la propagande contre les individus jugés problématiques, des sujets et des récits entiers.
Au printemps 2020, CTIL a commencé à suivre et à signaler les contenus problématiques sur les réseaux sociaux, tels que les discours anti-confinement, tels que les discours du type « Tous les emplois sont essentiels », « Nous ne resterons pas à la maison » et « Rouvrez l'Amérique maintenant ».
L’organisation a également effectué des recherches sur les individus publiant des hashtags anti-confinement comme freeCA et a conservé une feuille de calcul avec les détails de leur biographie Twitter.
L'approche du CTIL en matière de « désinformation » allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags, de diluer les messages problématiques, de créer des comptes fantoches et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement. »
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