Cette semaine, c’est bien l’augmentation des préparatifs militaires, les intenses négociations et le fait qu’Israël retarde encore son intervention au sol à Gaza sans doute sous la pression américaine qui souhaite éviter un embrasement régional qui dominent l’actualité.
Ces délais donnent un peu plus de temps pour la paix, mais le temps presse pour la diplomatie.
Tous les acteurs du conflit ont le doigt sur la gâchette prêt à tirer.
Les escarmouches se multiplient et autant de forces et de puissances militaires dans si peu d’espace créent les conditions d’un désastre.
D’une manière ou d’une autre les choses vont se décanter.
Par le haut ou par le bas.
Par la paix ou par la guerre.
Par l’escalade ou la désescalade.
Mieux vaut toujours se préparer au pire, ce qui n’exclut pas, bien au contraire d’espérer le meilleur et de prier pour la paix.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Le dossier « la Stratégie antifragile adaptée à cette crise » est disponible en téléchargement dans vos espaces lecteurs (ici).
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