Je me suis donné comme mission de dénicher sur les photographies satellites de notre planète, des anomalies et des artefacts contrevenant aux connaissances modernes. Les anomalies sont nombreuses et la surface est immense, puisqu’avec les cartes satellites des services comme Google Earth, nous avons accès à la planète entière dans ses moindres détails.
Constamment en bute au floutage des images, les recherches sont longues pour trouver des zones de haute résolution échappées, souvent à la commissure des images satellites, permettant de bien distinguer le sol et d’y retrouver des artefacts d’intérêt.
Namibie
Après la découverte des profils de visage, parfois immenses, que les hommes d’une époque ancienne sculptaient à même leur terre, comme celui-ci en Namibie qui mesure deux kilomètres de hauteur, j’ai fait une nouvelle découverte susceptible d’être un tournant dans son genre.
Il y a beaucoup plus que des profils de visage. Sous l’égide du culte animiste régnant alors, les formes organiques, celles au cœur du vivant, étaient l’archétype d’usage, bannissant de fait les lignes droites et les angles acérés.
C’est à 4.500 kilomètres de Moscou, dans la Sibérie orientale, à la frontière du cercle polaire, que s’est révélée cette nouvelle découverte, plus précisément autour de la cité de Kazachye dans la République de Sakha en Russie.
Avec une courbe de température qui s’étire entre 12°C l’été et -30°C l’hiver, ce n’est pas le genre d’endroit où l’homme s’installe naturellement. Il y a des villages de pêcheurs et des postes de ravitaillement, mais ce sont des endroits enserrés, qui ne se développent pas.
C’est l’organisation du territoire qui a attiré l’attention. Retrouver des terres cadastrées et découpées selon un plan de développement intégral à cet endroit était pour le moins insolite.
L’aile de libellule, ainsi nommée pour sa ressemblance, s’étire sur un kilomètre et comporte 450 cadastres, qui vont de 200 à 400 m2.
Si la possibilité d’un territoire de relève, comme certains pays le font, fut explorée, elle fut abandonnée au vu de l’organisation des terres qui ne ressemblent à rien de ce que nous architecturons nous-mêmes, elles relèvent d’une conception animiste ancienne.
Chaque cadastre comporte une forêt, un champ ou un lac et les habitations sont en bordure.
Dans une hypothèse où il y aurait eu 6 à 10 personnes vivant sur chaque cadastre, cette aile aurait eu une population de 2.500 à 4.500 personnes.
S’il n’était pas possible encore d’écarter objectivement l’hypothèse d’une terre de relève, la suite a tout changé avec la découverte d’une deuxième de ces ailes, puis d’une troisième.
Sur un territoire de 20.000 km2, il a été possible de dénombrer plus de 12.000 de ces ailes de libellule, toutes divisées par des rivières. Cela signifie que ce territoire a porté quelques 30 à 50 millions d’individus.
Lorsque l’on sait que la ville de New York a 8 millions d’habitants, on comprend mieux l’ampleur de la découverte.
Les cités étaient orchestrées autour de la navigation, avec un réseau de rivières structuré, à bas débit, toutes de même largeur et bordée d’un trottoir. Tout ce qu’il faut pour mettre en place la distribution de l’eau et un réseau de transport utilisant les « Utsuro-bune », des coracles couverts permettant le transport des individus et l'acheminement des colis sans effort et sans énergie.
La réalisation d’un tel œuvre demande de sérieuses connaissances et beaucoup de travailleurs.
Pour retrouver les auteurs, il faut remonter à l’histoire antique et l’épopée des hyperboréens, dont il reste bien peu de chose sans entrer dans le monde des légendes.
Ces hyperboréens étaient d’une classe à part. Nous sommes les fils des hommes, ils étaient les fils des dieux. Apollo, Persée et Hercule étaient des hyperboréens. Ils possédaient des connaissances très avancées, pour ne citer que la légende de la flèche d’Abaris, le scythe, avec laquelle Abaris pouvait faire le tour de la terre. Ils possédaient le secret de l’énergie atomique et savaient comment construire et faire fonctionner un avion.
Alors que les nations de la terre se faisaient la guerre, eux n’ont jamais été inquiétés.
C’étaient des géants. Ils ne mouraient pas et finissaient par se suicider lorsqu’ils étaient fatigués de la vie. C’est à mettre en relation avec les patriarches de la Bible, qui vivaient tous des centaines d’années. Nous-mêmes ne sommes pas très loin du jour ou les processus génétiques conditionnant la vie seront maîtrisés et permettront de réaliser de telles prouesses.
Ils sont nos ancêtres. Ils sont ceux qui ont marié leur ADN avec les femelles terrestres pour mettre au monde des races adaptées aux conditions climatiques régnant sur la planète.
Il y eut de bons résultats et des mauvais. Les deux ont fini par se croiser et les mauvais ont corrompu les bons.
Déçu de ce croisement, il est dit que les hyperboréens ont quittés peu après. Mais ils n’ont pas tous quitté.
Des changements allaient survenir. Noé, sans doute le moins corrompu, fut celui qui passa ses gênes à la postérité.
Après le déluge, le nord s’est refroidi.
Pierre de Châtillon - Septembre 2023
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