04 octobre 2023

Avez-vous lu les notices du Gardasil ?

 

Parents, avant d’autoriser votre enfant à se faire vacciner dans son collège, avez-vous lu les notices du Gardasil ? La notice du médicament est rédigée par une agence sanitaire (FDA aux USA, EMA en Europe) presque uniquement sur la base des informations fournies par le fabricant. En effet, il ne s’agit pas d’un consensus scientifique, mais d’un consensus règlementaire résultant d’une négociation entre le fabricant et les agences sanitaires.

Les notices varient donc d’une agence à l’autre suivant des accords assez obscurs. Elles listent notamment les Effets Indésirables Graves du médicament (EIG). Un Effet Indésirable Grave est défini par la FDA comme « engageant le pronostic vital, pouvant entraîner la mort, un handicap permanent, une anomalie congénitale, une hospitalisation prolongée, une intervention médicale ou chirurgicale. »

Les conditions technico-règlementaires de chaque agence sanitaire (FDA, EMA) précisent que la rubrique « Effets Indésirables » de la notice inclut uniquement les effets graves « pour lesquels il y a des éléments qui permettent de croire à une relation causale entre l’Effet Indésirable et le médicament ». Donc si un Effet Indésirable Grave figure dans la notice, c’est que l’agence soupçonne le médicament d’avoir provoqué l’EIG et qu’une relation causale est plausible.

Impact sur le système nerveux

On le sait aujourd’hui, tous les vaccins peuvent impacter le système nerveux, car les deux systèmes nerveux et immunitaire sont interconnectés. Les chercheurs parlent désormais de système neuro-immun.

En Europe, l’EMA reconnaît que le Gardasil peut provoquer :

  • L’encéphalite aigue disséminée (inflammation du système nerveux central)
  • Le syndrome de Guillain-Barré (paralysie)
  • Une syncope (perte de conscience)

Aux USA, la FDA reconnaît en plus des effets précédents :

  • La Maladie du motoneurone, la terrible sclérose latérale amyotrophique (ou Maladie de Charcot)
  • La paralysie
  • La myélite transverse (inflammation de la moëlle épinière)

La FDA reconnaît également les effets suivants :

  • Embolie pulmonaire (caillots dans le poumon)
  • Pancréatite (inflammation du pancréas)
  • Des maladies auto-immunes (sans précision)
  • La mort (rangée entre « frissons » et « malaise »)

Ces effets répondent tous à la définition d’un EIG. Leur présence dans la notice américaine prouve que la FDA considère que le Gardasil en est possiblement la cause. Toutefois, l’incidence de certains effets est inconnue car ils n’ont pas tous été étudiés par le fabricant ou l’agence. Mais des milliers de témoignages ont été recueillis par des journalistes, réalisateurs, associations… Partout dans le monde. Ces témoignages ne sont pas anecdotiques, ils confirment les résultats inquiétants des essais cliniques. Concernant les maladies auto-immunes, la notice américaine donne le chiffre inquiétant de 2,3%. Pour 3 millions d’enfants de 11 à 14 ans vaccinés, 72 000 développeront une maladie auto-immune.

Bien sûr, pour savoir précisément quelle part de ces troubles est vraiment causée par le vaccin, il aurait fallu utiliser un vrai placebo neutre dans le groupe contrôle comme comparateur, et non l’adjuvant aluminique (l’élément le plus réactif du vaccin) ou une solution contenant de l’histidine, du polysorbate 80 et du borax (on est donc loin d’une simple solution saline, contrairement à ce que suggère la notice). De toute évidence, le laboratoire ne souhaitait pas savoir quelle partie des maladies auto-immunes était réellement causée par le vaccin. En utilisant de faux placebos (et surtout de l’aluminium contenu dans le vaccin), le laboratoire camoufle la toxicité du vaccin en générant des « bruits parasites » puisque les deux groupes contiennent des substances très actives, vaccin et contrôle, qui se retrouvent avec les mêmes effets.

Mortalité du Gardasil

Au cours des essais cliniques du Gardasil, 21 personnes sont décédées sur 15 706 participants, soit un taux de mortalité de 13,3 pour 10 000 contre une mortalité attendue de 2 à 5 pour 10 000 (pour les moins de 20 ans en France, mais aussi aux USA). Les causes invoquées (accident de la route, suicide…) semblent à première vue être incompatibles avec un vaccin, mais on pourrait aussi le voir comme une « syncope au volant » (effet listé dans la notice), ou des « troubles psychologiques » résultant d’une inflammation cérébrale (listée dans la notice). Des témoignages de dépression et de suicide suivant la vaccination ont été rapportés.

Quoi qu’il en soit, un taux aussi important de 13,3 pour 10 000 est à comparer au taux de morts dues au cancer du col de l’utérus : 0,17 pour 10 000 en France, chez les plus de 50 ans. Notez que les autres cancers masculins liés aux HPV (pénis et anus) ne causent pas de morts en France. Ni la FDA ni l’EMA n’ont comparé la mortalité des essais cliniques du Gardasil avec la mortalité « normale » attendue. Et pourtant, il existe de nombreux témoignages et des cas documentés de décès causés par le Gardasil, partout dans le monde.

Comme le stipule la notice américaine, le vaccin n’a pas été étudié pour la cancérogénèse, sa capacité à provoquer le cancer. Pourtant les rapporteurs de l’EMA ont noté l’apparition de 5 cas de leucémie (cancer du sang) durant les essais cliniques, dont 3 survenus chez des jeunes filles de moins de 20 ans. 3 cas sur 12 319 participants contre 2 à 4 cas attendus pour 100 000, soit un risque de leucémie multiplié par 6 à 12 dans les 2 ans suivant la vaccination.

Les investigateurs du fabricant Merck (MSD) ont « ressenti » que ce n’était pas lié au Gardasil. Aucune étude ni surveillance complémentaire n’ont donc été réalisées et ce malgré l’absence de tests de cancérogénèse.

Un signal sur la fertilité

Comme le stipulent les notices, les effets du Gardasil sur la fertilité n’ont pas été étudiés malgré des cas documentés et des témoignages d’insuffisances ovariennes conduisant à une ménopause précoce chez certaines jeunes filles. Le grand spécialiste mondial de l’auto-immunité, le Pr Yehuda Shoenfeld, a publié dès 2013 une étude concluant : « Nous avons documenté la preuve que le vaccin anti-HPV a le potentiel de déclencher une condition auto-immune invalidante (insuffisance ovarienne). »

Et pourtant, la seule étude mentionnée dans la notice porte sur des rats. Dans cette étude pré-clinique du fabricant, 44 rats ont reçu 2 doses du Gardasil et furent euthanasiés après une seule et unique portée, supprimant de fait toute connaissance sur les effets à long terme. Aucune analyse des tissus n’a été réalisée sur les ovaires. Nous ne savons rien de la portée née après vaccination (nombre, santé, fertilité). Des jeunes filles ont souffert d’insuffisance ovarienne suite au Gardasil sans qu’aucune surveillance ou enquête ne soient menées.

Et pourtant, l’un des ingrédients du vaccin est reconnu pour attaquer les ovaires. Le Polysorbate 80. Injecté à des rats nouveaux-nés, le polysorbate 80 cause des dommages aux ovaires quelle que soit la dose injectée. Un deuxième ingrédient du Gardasil, le borax, est reconnu comme toxique pour la reproduction. Il est vendu avec la mention « H360 : peut nuire à la fertilité et au fœtus ».

Un 3ème ingrédient est lui aussi toxique pour les ovaires, en plus d’être neurotoxique, cancérigène et mutagène : l’adjuvant aluminique présent dans le Gardasil. Dans plusieurs études, on voit qu’une faible exposition à de l’aluminium soluble (sous forme de chlorure d’aluminium) avalé ou injecté, cause des dommages dans la structure des ovaires des rats. Il faudrait donc vérifier ce qu’il en est pour l’aluminium particulaire contenu dans le vaccin. D’autres études montrent également les effets toxiques de l’aluminium sur les spermatozoïdes : les garçons ne sont donc pas épargnés par le risque d’infertilité.

Le risque vous paraît-il acceptable ?

Il faut surtout savoir que la fertilité des moins de 25 ans dans les pays qui vaccinent au Gardasil depuis 2007 a fortement chuté précisément depuis 2008. Le Gardasil fait-il chuter la fertilité des jeunes filles ? On l’ignore. Mais c’est très possible.

Ce qu’il faut retenir

Tous les EIG n’ont pas été signalés et ne figurent pas dans la notice. Les EIG dont la fréquence était inférieure à 1% ont été délibérément écartés des études. Ce qui est inacceptable pour un médicament administré à des centaines de millions d’adolescents dans le monde. Il est précisé à plusieurs reprises dans les notices que « seuls les Effets Indésirables rapportés par plus de 1% des individus sont pris en compte ». Les notices sont donc délibérément incomplètes, malgré les EIG alarmants qui s’y trouvent.

De plus, l’usage inacceptable de faux placebos empêche de connaître l’étendue réelle des dégâts. Ce procédé est de la pure fraude scientifique. Merck (MSD) est d’ailleurs connu pour truquer ses études de sécurité. Sesilje Petersen est une jeune chercheuse qui a participé aux essais cliniques du Gardasil au Danemark. Elle était dans le groupe placebo et a développé une série d’EIG suite aux injections. Elle a découvert bien plus tard qu’il s’agissait en réalité d’injections d’adjuvant aluminique seul au lieu d’une solution saline, pourtant prévue dans le protocole de Future II qu’elle avait signé avant l’essai.

L’injection d’aluminium seule est contraire à l’éthique car il n’y a strictement aucun bénéfice à en tirer pour le patient. Uniquement des risques. Les filles de l’étude Future II ont été suivies pendant 14 ans, mais jamais aucune de leur plainte concernant leur santé n’ont été reportées, les investigateurs de Merck (MSD) concluant d’emblée que ces EIG n’étaient pas liés au vaccin.

Merck (MSD) n’en est pas à son coup d’essai : le laboratoire a payé près de 5 milliards de dollars pour éviter les procès qui le menaçaient aux USA, après avoir dissimulé les Effets Indésirables Graves de sont blockbuster : le Vioxx, qui a causé des dizaines de milliers de morts par crise cardiaque. Le Gardasil étant un vaccin, Merck (MSD) est totalement protégé des plaintes et ne risque absolument rien à dissimuler ces EIG. Car non seulement il est interdit de critiquer tout « vaccin », mais en plus, c’est la solidarité nationale qui se porte garante en cas d’Effet grave via l’Oniam… sans en avoir les moyens.

Pour Bernard Dalbergue, un ancien cadre médical chez Merck (MSD), il ne fait aucun doute que « le Gardasil sera le plus gros scandale médical de tous les temps ».

Pour les bonnes raisons que :

  • Le cancer du col de l’utérus est simple à dépister et traitable : il ne constitue pas un enjeu de santé publique.
  • L’efficacité du Gardasil ne peut pas être démontrée.
  • Les études cliniques du Gardasil sont une parodie de science et ont fait l’objet de nombreuses publications critiques indépendantes de l’industrie.

A cela, il faut ajouter que les agences sanitaires qui vendent les autorisations de mise sur le marché des médicaments (AMM) sont financées par les laboratoires à hauteur de 89%. Leurs conflits d’intérêts sont dénoncés depuis des années : elles ne jouent plus le rôle de régulateur. Ces agences sont objectivement devenues les collaboratrices des industriels : via le revolving door (jeu de chaises musicales public-privé) et la détention de brevets (le NIH américain possède des brevets sur le Gardasil) entre autres.

Les laboratoires ont bien compris que dans leur business model, il valait mieux contrôler la réglementation, plutôt que la subir.

Conclusion

Un vaccin est un acte irréversible. Certains Effets Indésirables Graves mettent des années à se déclarer et peuvent être extrêmement graves.

Le mot « cancer » fait peur, mais il ne doit pas vous empêcher d’étudier attentivement les données. Si votre enfant développe un EIG après sa vaccination, vous ne recevrez strictement aucune aide de l’État. Il vous sera impossible de vous retourner contre le fabricant qui est en pratique intouchable : en effet le cadre juridique applicable en Europe introduit par la Directive 85/374/CEE du Conseil du 25 juillet 1985 en matière de responsabilité du fait des produits défectueux est extrêmement défavorable aux victimes. Vous serez seuls, sans reconnaissance, comme toutes les victimes vaccinales.

Faire aveuglément confiance aux autorités est, aujourd’hui, irresponsable.

Il est de votre devoir en tant que parents d’évaluer sérieusement la balance bénéfice-risque : un bénéfice du Gardasil hypothétique pour un cancer lent qui est détectable par frottis (non invasif) et soignable.

Des effets indésirables parfois très graves, sous-évalués ou ignorés et qui ont déjà dévasté des milliers de jeunes gens dans le monde, des scandales soigneusement effacés de l’Histoire depuis 15 ans, qu’il ne faut surtout pas oublier.

D’abord ne pas nuire.

Source de ces données : https://alutotal.wordpress.com/2023/10/02/avez-vous-lu-les-notices-du-gardasil/

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