En 2020 il était facile de démontrer que deux immenses groupes témoins échappaient à la covid, les populations traitées contre le paludisme et celles traitées contre la polyarthrite rhumathoides. Dans les deux cas un traitement était utilisé, l’hydroxychloroquine du Pr Raoult. Je n’ ai cessé de l’écrire dès le mois d’avril 2020.
Le travail aujourd’hui est celui de l’historien. En reprenant les publications les plus anti Raoult d’alors, on découvre que les comparaisons destinées à tuer l’HCQ sont fondamentalement malhonnête et prouve le contraire de leurs conclusions
Les propriétés anti-inflammatoires et immunosuppressives de la CQ, connues depuis les années 1950, sont à la base de l’indication pharmaceutique de la CQ pour le traitement à long terme de l’arthrite rhumatoïde ou du lupus
Ces propriétés sont essentielles pour traiter la covid
Une étude italienne sur 65000 personnes démontre que les patients traités par l’hydroxychloroquine pour des maladies chroniques sont protégées du Covid
Publié le 29 avril 2020 par pgibertie
« Sur un public de 65 000 patients chroniques (lupus et polyarthrite rhumatoïde), qui prennent systématiquement Plaquenil / hydroxychloroquine, seuls 20 patients ont été testés positifs pour le virus. Personne n’est mort, personne n’est en soins intensifs, selon les données recueillies … Lire la suite →
Les indicateurs et les études scientifiques sont complotistes: tout indique les erreurs de Rantanplan Véran
Publié le 25 septembre 2020 par pgibertie
Utilisation de l’hydroxychloroquine et études scientifiques COMPARAISONS DE LA MORTALITE : le bilan au 25 septembre Les évolutions des politiques sanitaires doivent être prises en compte . La carte actualisée ci dessous montre qu’une large partie de l’humanité utilise le … Lire la suite →
LE VIRUS A PEUR D’ATTRAPER LE PALU !
Publié le 11 décembre 2020 par pgibertie
A ne rien y comprendre , les régions du monde victimes du paludisme sont protégées de la covid…Sur le même continent , à l’intérieur du même pays les statistiques parlent! Les traitements utilisés contre la malaria traiteraient ils la covid? … Lire la suite →
Le lancet a mené un combat acharné contre l’HCQ en publiant une étude totalement frauduleuse , celle de la Call girl, mais également avec d’autres études plus subtiles et le diable se cache dans les détails
https://www.thelancet.com/journals/lanrhe/article/PIIS2665-9913%2820%2930378-7/fulltext
Ainsi cette étude à grande échelle est centré sur les malades souffrant de polyarthrite et de lupus :
Au sein de cette population source, nous avons identifié des personnes possédant un ou plusieurs codes de diagnostic Lire
17pour la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus érythémateux disséminé 6 mois ou plus avant la date index et qui avait donc une indication d’utilisation d’hydroxychloroquine. Des informations détaillées sur les codes de lecture utilisés pour la polyarthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux systémique sont disponibles en ligne . Nous avons étudié les personnes atteintes de ces pathologies afin de minimiser le risque de confusion par indication lors de l’estimation de l’efficacité de l’utilisation de l’hydroxychloroquine plutôt que d’étudier comment prévenir les formes graves de COVID-19 dans cette population.
Ils concluent qu’il n’y a aucune différence de mortalité covid pour les malades traités avec l’hcq et ceux traités avec d’autres modulateurs inflammatoires. Donc l’hcq ne sert à rien contre la covid
Manipulation. L’étude ne conclue pas à l’efficacité des traitements modulateurs de la tempête de cytokine, HCQ ou autres, car tous ces malades sont protégés par des modulateurs inflammatoires
Il convient surtout de noter que dans l’article du Lancet, Rheumatology Goldacre, le taux de mortalité due au COVID pour les utilisateurs de HCQ était de 0,2 % – au Royaume-Uni en avril 2020. La mortalité publiée correspondante pour le Royaume-Uni était supérieure à 0,5 %. Pour les plus de 70 ans : Mortalité HCQ 0,3% Mortalité au Royaume-Uni 1,2% Plus de 80 ans Mortalité HCQ 1% Mortalité au Royaume-Uni 5 %
L’ensemble de la cohorte présentait des taux de mortalité similaires avec ou sans HCQ, mais les utilisateurs non-HCQ utilisaient d’autres modulateurs inflammatoires (DMARD). L’article de Goldacre a probablement trouvé l’une des cohortes les plus frappantes (et donc les options de traitement) avec une mortalité réduite par COVID, mais cela n’a jamais été étudié.
Quels sont les traitements de fond de la polyarthrite rhumatoïde ?
Soit le médicament a été découvert plus ou moins par hasard (c’est la méthode dite « conventionnelle ») ou du moins grâce à l’observation méticuleuse de certains médecins. C’est ainsi qu’un médecin anglais travaillant en Afrique dans les années 1930 s’est aperçu que le traitement visant à prévenir/traiter le paludisme (nivaquine) améliorait les patients souffrant de polyarthrite. On lui doit la découverte de l’hydroxychloroquine (Plaquénil®). En France, le Docteur Forestier, travaillant dans un sanatorium à Aix-les-Bains dans les années 1920 (époque où l’on attribuait beaucoup de maladies à la tuberculose et où l’on proposait un traitement par sels d’or aux tuberculeux), s’est aperçu que les patients ayant des rhumatismes inflammatoires étaient améliorés par le traitement par sels d’or, ceci a conduit à la découverte de l’aurothiopropanol-sulfonate (Allochrysine®) (traitement de fond conventionnel qui n’est plus utilisé à l’heure actuelle).
• Soit le médicament a été conçu grâce à une meilleure connaissance de la maladie. En effet, depuis que l’on connaît les mécanismes précis impliqués dans la PR (c’est par exemple la communication entre 2 cellules par le biais de molécules appelées cytokines ou l’exemple d’enzymes à l’intérieur d’une cellule qui stimule ou freine le processus inflammatoire), des traitements précisément dirigés contre un de ces mécanismes ont été élaborés (on parle de « thérapeutique ciblée »). C’est l’exemple des médicaments dirigés contre la cytokine appelé TNF, d’où le nom d’anti-TNF et c’est aussi l’exemple plus récent de médicaments dirigés contre une enzyme particulière comme l’enzyme JAK, d’où le nom d’inhibiteurs de JAK.
Selon le Pr Raoult, l'HCQ ne fonctionnait plus à partir du variant Omicron.
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