19 septembre 2023

Eric Bourdon dénonce les effets des injections ARNm sur ses patients

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Jean-Baptiste Loin : Eric Bourdon Bonjour.

Eric Bourdon : Bonjour. 

Jean-Baptiste Loin :  Vous avez été infirmier avant de vous spécialiser dans des études poussées d’ostéopathie, puis de vous intéresser à la médecine chinoise. Pourriez-vous nous parler de votre parcours ? 

Eric Bourdon : Pour vous répondre je tiens d’abord à préciser que je n’ai pas de spécialité, je suis avant tout un scientifique.

J’ai fait une première S, ensuite un bac D mathématiques et biologie, par la suite j’ai été infirmier dans le service de santé des armées, donc j’ai injecté des milliers de vaccins.

Je peux d’ailleurs témoigner de cette époque où les troufions enrôlés dans la légion étrangère avaient le droit à plusieurs vaccins d’un coup pour se rendre dans des pays tropicaux. 

Mais tous, tous, on les gardait sous observation pendant au moins trois jours.

Certains ne sentaient rien, mais d’autres développaient des effets secondaires ou ils avaient du mal à dormir, ils étaient tout le temps crevés ou encore ils développaient des symptômes grippaux.

Et au bout de trois jours, que ce soit une personne ayant reçu un ou six vaccins, il n’y avait plus rien. Dans ce laps de temps je n’ai jamais rien vu qui puisse ressembler à une maladie systémique. Quand on revoyait les troufions, c’est parce qu’ils avaient fait une chute ou quelque chose comme ça, rien n’ayant jamais ressemblé à une maladie systémique. 

Ensuite je suis passé à l’ostéopathie, à la médecine chinoise ainsi qu’à certaines techniques américaines de chiropraxie du Dr Major Bertrand Dejarnette, incluant des approches en viscéro-somatique, le diagnostique des trapèzes et lignes occipitales… qui sont pour moi des grilles de lecture pouvant se recroiser lors d’une consultation. Donc je ne suis pas ostéopathe à proprement parler, je dirais plutôt que j’ai étudié l’ostéopathie mais je suis avant tout un scientifique.

Ce qui ne m’a pas empêché par la suite de faire des études de kiné, puis d’ouvrir un cabinet de kinésithérapeute, avant de faire une formation en ostéopathie au sein d’ATMAN, qui est une école d’ostéopathie  bien équilibrée entre techniques  viscérales, techniques structurelles et techniques crâniennes. 

Mais après avoir été diplômé j’ai suivi de nombreux cours magistraux que je compilais avec mes recherches personnelles, c’est comme ça que j’ai appris la technique Niromathé, les pratiques manuelles neurosensorielles, ainsi que des techniques dispensées par certains ostéopathes avancés en âge et très expérimentés. 

Et surtout je suis entré à l’AÉRO, l’Association d’Étude et de Recherche en Ostéopathie de Toulouse, dirigée par  Mr Jean-Claude Lafabrie, qui a ouvert la voie à une forme de compagnonnage avancé en ostéopathie. Ce qui a notamment permis d’ajouter le pouls chinois aux techniques d’ostéopathie, et de revoir la pratique de certaines techniques apprises en école d’ostéopathie. 

Tout ça pour dire que j’étais parfaitement convaincu de la quasi innocuité des vaccins jusqu’à ce que j’observe des réactions incompréhensibles, et systémiques, sur les patients vaccinés contré le Covid qui arrivaient désespérés dans mon cabinet. 

Jean-Baptiste Loin : En dehors de vos observations cliniques avec les patients de votre cabinet, avez-vous glané d’autres informations sur le sujet ? 

Eric Bourdon : Je me base aussi sur les recherches d’un cardiologue américain, le Dr McCullough, qui a été très médiatisé depuis qu’il s’est positionné contre les injections ARNm. Il s’appuie sur une étude allemande qui fait phare, parce qu’elle est très sérieuse, de nombreux moyens d’analyses sont utilisés. Traduite en plusieurs langues, elle montre qu’il y a dix terres rares dans le sang des vaccinés. (1) Cette étude concernant la caractérisation nanométrique de la composition des injections à ARN messager vous est accessible en téléchargement direct à la fin de votre lecture. Soit des structures de carbone libre. Et le carbone libre, sans molécule d’oxygène, c’est l’équivalent du diamant. C’est à dire que sa présence dans le corps crée une inflammation lorsqu’il se dépose, et après l’inflammation c’est l’acidité et l’installation des pathologies. Soit une perturbation de l’équilibre acido-basique ainsi que de toute l’homéostasie. Ce qui à mon avis représente une bombe.

Heureusement, avec votre charbon activé j’ai réussi à neutraliser les effets de substances comme l’oxyde de graphène sur mes patients, qui ont ainsi pu l’éliminer.

Idem pour l’ARN messager, le problème, c’est la glycoprotéine spike. 

Je pense qu’en ce qui concerne les vaccinés, produisant régulièrement de nouvelles protéines spike à cause du vaccin, le charbon peut être insuffisant puisqu’il ne peut pas être pris à longueur d’année. 

Mais aussi parce que selon le CNRS français, pour certaines personnes la glycoprotéine spike risque d’entrer dans le milieu interstitiel, intracellulaire, lorsqu’il existe déjà une faiblesse. 

Pourquoi ? Parce qu’il y a un mécanisme d’amarrage de la protéine spike au niveau de la surface des organes qui contiennent les cellules. 

Dans un premier temps, sur la membrane qui recouvre les organes se trouvent des récepteurs faisant partie du système rénine-angiotensine qui contiennent ce que l’on appelle l’enzyme de conversion de l’angiotensine. C’est le système immunitaire des organes, qui contrairement à celui agissant dans le sang, se concentre sur les membranes et artères. 

Ce sont les fameux récepteurs ACE2 nichés dans l’endothélium des artères, mais aussi dans le cerveau et d’autres organes. Participant à la fois au système immunitaire et à la régulation du système artériel. C’est pourquoi beaucoup de gens en situation post vaccinale se sont retrouvés avec d’importantes montées de tension artérielle. 

Donc, lorsque cette fameuse faille existe, la protéine spike va se lier à l’ACE2 et s’y infiltrer pour se répliquer. Mais si vous n’avez pas cette faiblesse la protéine va continuer son chemin dans le sang et pourra être capturée par le charbon activé. 

L’autre problème de la protéine spike est qu’elle est difficilement assimilable par le foie. Le foie servant de centre anti-poisons, il va tenter de déstructurer la protéine spike pour l’inactiver. Or, ce mécanisme ne se fait pas naturellement, donnant beaucoup trop de travail au foie. 

C’est en tout cas le point de départ de mon interrogation en tant que clinicien ostéopathe. D’habitude mes protocoles sont efficaces, mais depuis le Covid j’ai réalisé que ça n’avait plus d’effet. 

Quel que soit le symptôme les gens avaient tous le même niveau lésionnel. Par exemple, lorsque le foie ne va pas bien ça va se projeter en troisième dorsale avec des lésions particulières et ensuite en D1, la première dorsale. D’habitude en fonction des patients les niveaux sont différents, mais là depuis deux ans ce sont toujours les mêmes niveaux. Sachant que ces symptômes me semblent liés à une souffrance électrique en provenance du foie, que j’ai pu vérifier cliniquement. Et six mois après j’apprenais depuis les revues de l’Agence européenne du médicament, que des scientifiques avaient effectivement reconnu la protéine spike comme hépato-toxique, pouvant aussi causer des incidences au niveau des reins

Montrant que même une personne atteinte d’un Covid avec des symptômes très légers développe un risque de complication cardiovasculaire à plus de 51%. Et que pour les cas de Covid longs les risques cardiovasculaires atteignent les 63%. 

Donc effectivement la protéine spike entraîne une sorte de toxicité au niveau du foie, et lorsque vous connaissez bien le fonctionnement du foie vous pouvez reconnaître les signes d’une atteinte par la protéine spike. 

Ce dysfonctionnement organique pouvant d’ailleurs entraîner tout un tas de conséquences, comme plusieurs facteurs de coagulation. J’ai par exemple souvent observé des problèmes de thrombopénies ou de thromboses post vaccinale. 

Pourquoi ? Parce que vous retrouvez dans le corps douze facteurs de coagulation, sept d’entre eux sont pris en charge par le foie, donc un foie qui n’assume pas ses fonctions, en excès ou par défaut, va entraîner ce genre de problèmes avec un manque de plaquettes, ou alors un excès de plaquettes, ce qui va générer la coagulation, provoquant des caillots, puis des thromboses, puis des accidents vasculaires. 

Mais ce n’est qu’une des étapes, ensuite, grâce à ses différentes fonctions le foie est censé neutraliser les acides lactiques issus du métabolisme musculaire de la journée. C’est pourquoi de nombreux post vaccinés se retrouvent dans des états de fatigue aigües le matin. Le foie, dysfonctionnel, aura mal fait son travail nocturne de nettoyage des acides lactiques de la journée précédente. Provoquant des douleurs sur le long terme amenant les gens à consommer beaucoup de paracétamol, ce qui n’arrange rien puisque le paracétamol est un toxique pour le foie, générant un cercle vicieux. 

Les autres problèmes du foie sont liés à son rôle de pourvoyeur de glucose dans le cerveau. Sachant que le cerveau a seulement deux nutriments essentiels, l’oxygène et le glucose, si l’un des deux manque il est dans le brouillard. 

Donc quand le foie est occupé à la mythélisation de la protéine spike qui lui pose problème, l’apport de glucose dans le cerveau va être délaissé. Pour le foie il y a une urgence, c’est la protéine spike, mais il pédale dans la semoule, se fatigue, et les autres fonctions sont délaissées au profit de la tentative de neutralisation de cette protéine. 

Après, sur le plan clinique, j’observe toute la chaîne des effets secondaires d’un foie qui ne remplit plus ses fonctions.

La technique thérapeutique des pratiques manuelles est une bonne chose, elle permet de soulager un peu le système, mais le problème n’est pas le foie, le problème c’est la glycoprotéine spike, donc c’est un problème biochimique. Ce qui implique que toute intervention manuelle n’aura pas d’effets à long terme si on ne trouve pas d’abord ce qui peut neutraliser la protéine spike et ainsi libérer le foie. 

Depuis, dans toutes les facultés du monde, et aussi au CNRS, les équipes s’accordent à dire qu’une fois à l’intérieur de l’organisme la protéine spike n’en sort pas. Par conséquent tous les chélateurs ont été tentés, c’est à dire la chlorella, l’ail des ours… et ça ne donne aucun résultat. 

C’est pourquoi Marcus Aldén était un peu embêté en faisant son rapport devant la communauté scientifique, étant bien obligé de reconnaître le problème troublant que pose cette protéine spike.

Et que ce soit la protéine vaccinale ou virale, c’est exactement pareil, donc je pense qu’ils ont tout essayé. Y compris l’Ivermectine, qui peut être efficace en période infectieuse, mais je ne pense pas que Marcus Aldén aurait employé un ton aussi catastrophique si ce médicament avait un quelconque effet sur la protéine spike à long terme. 

Autre chose par rapport à la glycoprotéine spike, c’est qu’elle se loge partout. Donc vous n’avez pas un symptôme et un diagnostic, vous avez plusieurs symptômes qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. Ça c’est très important à noter. Et cette situation de pluri-symptômes n’amenant pas un seul diagnostic n’est pas facile pour le médecin.

Quand j’ai vu ces gens arriver après avoir été vaccinés, ça m’a tout de suite rappelé la période où j’étais infirmier. Sauf que les rappels se faisaient au bout 5 à 10 ans, des rappels au bout de trois mois ce n’est pas normal, ce n’est plus un vaccin, c’est de la sérologie, donc ça s’appelle un traitement. Et un traitement ne devrait pas être présenté comme ça. Ne parlons même pas des phases un, deux et trois qui sont tout simplement passées à la trappe.

Lorsque l’on propose un traitement expérimental à quelqu’un, d’abord on le prévient, ensuite on lui demande de signer, après on le rémunère, et enfin on le surveille médicalement tous les jours. 

De plus la majorité des infectiologues ou des immunologues, vous diront qu’en situation de pandémie il est totalement idiot de vacciner la population quand le virus mute tous les mois. Donc le temps de trouver un vaccin, dès que le virus mute ce vaccin ne sert plus à rien. 

Jean-Baptiste Loin : Avez-vous été confronté à un ou plusieurs profils particuliers chez vos patients depuis le début du Covid ? 

Eric Bourdon : La plupart des patients que j’ai vu arriver ces dernières années sont vaccinés et/ou souffrent de Covid longs ou délicats. 

Ce qui fait que quand je reçois des patients n’ayant pas été vaccinés ou n’ayant pas eu de problème avec le Covid, mon approche est complètement différente. Et depuis, je suis en mesure de vous dire si quelqu’un a été vacciné ou non simplement en palpant son foie. 

Manifestant des symptômes que je n’avais absolument jamais rencontrés avant la période du Covid. 

Jean-Baptiste Loin : Étant conscient de cela, comment avez-vous réagi personnellement par rapport à l’obligation vaccinale et la gestion de votre cabinet ? 

Eric Bourdon : Oui, on nous a bien fait peur avec ça. Seulement, après l’observation clinique de mes patients je me suis aperçu qu’il y avait un problème. Comme je l’ai dit je suis ancien infirmier des armées, je connais bien les vaccins. 

Au début je comptais me faire vacciner moi-même, mais je ne comprenais pas ce que mes patients avaient. En voyant leur réaction aux vaccins j’ai commencé à reculer.

Puis ma démarche intellectuelle m’a amené à décider de me faire vacciner, mais je n’avais déjà plus confiance dans les formules ARN messager, j’ai donc envisagé le vaccin à protéine recombinante, le Novavax. Je me suis inscris sur la liste des patients qui l’attendaient. Ce vaccin à ARN messager me faisait peur, tandis que des scientifiques français semblaient moins inquiets avec le Novavax qui ressemblait selon eux davantage à un vaccin classique qu’ils « maîtrisaient et connaissaient »

Sauf que le Novavax a mis du temps à arriver en France, on l’attendait, mais même l’année suivante il n’était pas encore là. Ce fut finalement la Finlande la première servie en Europe.

J’ai trouvé ça vache, on l’attendait et finalement c’est la Finlande qui l’a eu en premier, et nous on allait sûrement devoir encore attendre. 

Mais, tenez-vous bien, au bout d’un mois la Finlande n’en voulait plus et l’a fait interdire à la population. Incroyable, au bout d’un seul mois. 

Entre temps le Novavax s’est fait discret jusqu’à ce que le gouvernement français dise : « Ça y est ! On va enfin pouvoir prendre le Novavax ». 

Alors j’ai pensé que tout le monde était devenu fou, la Finlande n’en veut plus à cause de graves effets secondaires, notamment de thromboses, et maintenant on nous le vend. Ce qui m’a semblé absolument inconcevable sur le plan scientifique. 

Je le répète, tout un pays en a fait l’expérience et a arrêté anormalement vite à cause des effets secondaires, et nous, bons Français, avec nos écoutilles, on ne voit rien et on n’entend rien. Pourtant c’est un pays européen, ce n’est pas à l’autre bout du monde. Depuis ce n’est plus seulement l’ARN messager qui me fait peur, il y a vraiment un gros problème. 

Constatant que tous les vaccins étaient pareils et qu’il n’y avait rien à faire pour en trouver un qui soit moins dangereux que l’autre, je ne me suis pas fait vacciner. 

J’ai eu le Covid deux fois, deux Covid légers. Heureusement j’ai rencontré Réponses Bio, parce que je lis et j’écoute assidument des revues scientifiques officielles qui ont été muselées, comme le Professeur Perronne, Mr Christian Vélot, le Professeur Raoult, voilà. On sait qu’il y a de la censure. 

J’étais embêté avec cette glycoprotéine spike contractée deux fois, je cherchais quelque chose pour l’évacuer. 

Donc j’ai eu vent de vos recherches sur le vaccin, l’existence du charbon activé Moso et de sa capacité à évacuer les nanoparticules, le graphène et la protéine spike. 

Cependant, puisque le virus de Wuhan, qui est une arme biologique, peut également vous contaminer avec cette glycoprotéine spike chimérique, je pense que les re-contaminations peuvent être courantes. 

Parce que le vrai coranavirus n’existe plus. Il a été isolé en 1960 ou 1965, c’était un simple petit virus très léger, qui donnait un petit rhume, sans aucune perte de goût ou d’odorat, et ne dépassant jamais les voies aériennes supérieures, c’est à dire les bronches et les poumons. 

Je suis donc convaincu que ce petit virus très facile à manipuler a beaucoup intéressé les scientifiques, et ils en ont fait un monstre en le trafiquant sur quatre séquences pour en faire une chimère. 

Tout ça pour dire que finalement je ne me suis pas fait vacciner et j’en suis bien content. Donc vive les moyens naturels !

Jean-Baptiste Loin :  Avez-vous dû gérer au sein de votre patientèle des cas de Covid longs compliqués ? 

Eric Bourdon : Oui, la première chose c’est la fatigue. Parce que lorsqu’il y a un déséquilibre biologique général on fait appel aux corticosurrénales. Et les corticosurrénales c’est quoi ? C’est le cortisol, qui vous apporte de l’énergie. Lorsque l’on épuise le cortisol que peut fournir l’organisme, il se produit un effondrement biologique se traduisant par une fatigue extrême. Donc bizarrement, ce qui était autrefois les symptômes du burn out, sont aussi devenus ceux que je rencontre avec le Covid. 

Mon explication étant que tous les phénomènes que l’on a évoqués tout à l’heure causés par la glycoprotéine spike, épuisent le foie, créent des attaques cytokiniques en pénétrant dans les membranes interstitielles, et déroutent de nombreux organes… tous ces phénomènes biologiques qui n’ont rien à voir avec l’anabolisme classique de la journée d’un individu, vont surcharger le travail du métabolisme, créant une gigantesque fatigue. Ensuite, faisant son chemin dans l’organisme elle va s’attacher aux tissus et créer de l’inflammation. 

Sans oublier qu’en toute logique, un foie délaissant ses activités pour tenter de digérer la protéine spike va cesser de stocker les vitamines. Ce qui m’a amené beaucoup de patients ayant détecté une avitaminose après des analyses sanguines. Je leur demandais s’ils ne mangeaient plus de fruits, et en leur posant ces questions je réalisais qu’ils mangeaient très bien mais qu’ils avaient tous été vaccinés trois fois. 

Une fois devant ce constat répété, j’ai considéré tous les antidotes et j’ai tout essayé. 

D’abord je ne pensais pas aux vaccins et observant une toxicité sur le foie j’ai tenté le Desmodium. C’est ce qu’on donne en cas de chimiothérapie ou aux patients atteints d’hépatites. Tous les médecins savent que les médicaments sont toxiques pour le foie, quand le foie est épuisé par une chimiothérapie il n’est pas rare qu’ils le préconisent. 

Une simple plante Monsieur, conseillée par tous les cancérologues compétents comme premier réflexe en cas de cancer et de chimiothérapie pour permettre au foie de se libérer de l’hépatite provoquée par les traitements. Et que tous les pharmaciens de France et de Navarre sont tenus d’avoir dans leur officine. 

Pour revenir au vaccin, ce que je ne comprenais pas, c’est que même si le Desmodium leur faisait du bien, dès qu’ils arrêtaient la prise, les symptômes se réveillaient. 

Et lorsque j’ai compris qu’il y avait vraiment un problème avec ce vaccin j’en suis venu au Charbon actif Moso de Réponses Bio. Parce que j’ai cherché mes antidotes dans la nature, « à chaque poison existe un antidote ». Donc par le truchement des recherches je suis tombé sur vous, et je dois dire que votre charbon actif a fait des miracles…

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin

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