Nos enfants baignent dans un univers social délétère depuis 2020, délétère et sournois car non visible, non directement identifiable, c’est bien là toute la subtilité du contexte. Cette subtilité implique une vision responsable des adultes comme nous le rappelle le chanteur Mysa avec ses paroles dans son titre Dystopie-19 : « Notre force c’est eux, leurs remparts c’est nous. »
Dans son clip vidéo, les érudits en affaires mondialistes verront tous les détails imagés :
Ce titre a été publié il y a deux ans, en 2021. Le développement de l’éducation sexuelle en milieu scolaire pour la petite enfance n’était pas encore d’actualité comme aujourd’hui… Explosion des structures sociales, séparation physique des familles et des personnes en 2020, ostracisme d’une partie des citoyens en 2021, programme scolaire douteux en 2023. Nous avions réalisé un entretien écrit avec Mysa, publié en octobre 2021.
« Avec tout ce que nous avons vécu, il faut vraiment avoir une altération du discernement pour penser que les gens qui ont le pouvoir en ce moment sont bienveillants. »
Mysa
Brève recontextualisation et collectifs associés
Le pouvoir en place a pris possession de l’esprit et du corps d’une majeure partie des populations des pays dits « développés », développement aujourd’hui plus que douteux. Cette manipulation psychologique des masses réalisée par la stratégie du choc, le biais d’autorité et la propagande pour amener un défaut, ou sinon une absence totale, d’analyse personnelle faite de pragmatisme et de bon sens face à une situation donnée, a pour conséquence l’acceptation d’une injection sous-cutanée contenant une substance expérimentale dont les effets secondaires aujourd’hui dépassent toutes les statistiques vaccinales (voir la FDA, le VAERS pour les USA, Eudravigilance pour l’Europe ou l’ANSM pour la France). Le développement douteux se dévoile par l’avènement d’un état totalitaire autonome se réalisant par une police autoproclamée d’une partie de la population et sa volonté à faire incliner les personnes ne leur ressemblant pas, celles n’ayant pas suivi le courant majoritaire imposé par les autorités supérieures.
Est-ce que cette majeure partie de la population, aujourd’hui nuancée entre résignation et servitude, va se ressaisir afin qu’une supériorité numérique populaire puisse rapidement redonner naissance à une politique sociale plus saine ? Aujourd’hui, ce sournois courant totalitaire s’immisce dans toutes nos structures sociales, de la petite école jusqu’aux entreprises, cela va donc exacerber cette dystopie qui est de moins en moins une fiction.
Depuis la « crise sanitaire », Marie-Estelle Dupont (psychologue clinicienne) fait un gros travail de recontextualisation, de retour à une réalité quotidienne, qui n’est pas le narratif propagandé par les médias serviles à leurs donateurs financiers. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est l’atteinte à l’intégrité des enfants réalisée directement par les directives gouvernementales via les recommandations de l’OMS (sexualité en scolarité des petits par exemple).
Historique de Marie-Estelle Dupont, non exhaustif compte tenu du nombre de ses interventions pour tirer la sonnette d’alarme sur ces sujets largement critiquables
Pour le contexte sanitaire :
- Octobre 2021, Marie-Estelle Dupont : « 299 % d’augmentation de tentatives de suicide chez les moins de 15 ans en novembre-décembre 2020 ». Ce qu’annonçait Marie-Estelle Dupont en 2021 recoupe clairement avec le constat fait par Amandine Lafargue en Mai 2023.
Pour l’éducation sexuelle :
- Avril 2023, Marie-Estelle Dupont : « Aucun livret n’a été fourni pour encadrer et former les personnes qui délivrent ces enseignements ». Ces enseignements sont dispensés tantôt par l’infirmière scolaire, tantôt par la maîtresse, tantôt par des associations extérieures à l’école qui sont en fait des associations de lutte contre l’homophobie. Donc là, on voit bien qu’il y a une sorte de confusion entre l’instruction et une forme de militantisme. »
Quelques collectifs autour de la protection de l’enfance
Ces collectifs sont dus à l’initiative de parents-citoyens suite à l’expérience sociale vécue depuis 2020. La liste n’est pas exhaustive, elle n’est qu’à titre d’exemple de ce qui existe, les liens entre certains collectifs sont faits. Refaire société, c’est aujourd’hui ne plus rien attendre des structures administratives « historiquement installées » qui n’ont pas joué leur rôle d’antidérive depuis 2020 car comme beaucoup trop d’institutions : obéissance aux ordres, tout illégaux soient-ils…
Les parents sont bien le dernier rempart devant leurs enfants. Ignorance, déni de réalité ou encore passivité des parents ne protègera en aucun cas leurs enfants de cette éducation sexuelle en milieu scolaire pour la petite enfance. C’est alors une opportunité pour chaque citoyen de recréer du lien autour de soi, d’être aidé ou aider à mieux comprendre la société dans laquelle nous sommes et les enjeux qui sont en cours, les collectifs suivants pouvant accompagner cette démarche.
Enfance & Libertés
Sur leur site internet, nous pouvons y trouver un exemple de courrier à envoyer pour expliquer le souhait d’absence de son enfant à une séance d’éducation à la sexualité en milieu scolaire. Cette lettre type respecte et rappelle nos droits encore une fois bafoués, elle reprend les termes juridiques abordés par Me Virginie de Araujo-Recchia. Tout parent doit avoir connaissance de ses droits et devoirs parentaux et ne pas avoir peur de se les réapproprier afin de les faire respecter. Au besoin, se faire accompagner par d’autres parents sur la même démarche.
Les Mamans Louves
Sur leur site internet, on retrouve d’autres liens autour de la protection des enfants en cliquant sur « associations amies », comme entouré en rouge ci-dessous.
Les Parents en colère
En cliquant sur l’onglet « nos collectifs » sur leur site internet, comme entouré en vert ci-dessous, nous pouvons retrouver les associations des Parents en colère dans plusieurs départements de France.
Dictature sanitaire et éducation sexuelle des enfants
Le 13 mai 2023, les psychologues Ariane Bilheran et Amandine Lafargue ont organisé un colloque intitulé « la dérive totalitaire sur les enfants: Diagnostic, causes et solutions ». Deux thèmes, crise sanitaire et éducation sexuelle, ont été abordés. Pour citer l’avocate Me Virginie De Araujo-Recchia qui était présente : « les enfants deviennent les objets de l’Etat.»
Quelques extraits ci-dessous tirés de ce lien :
« Les enfants ont été victimes et n’ont pas été pris en compte. Ils ont senti un décalage entre le discours qu’on entendait partout et ce qu’ils vivaient.»
« C’est une effraction dans le psychisme des enfants parce qu’ils n’ont pas le développement psychique et émotionnel nécessaire pour assimiler et comprendre ces notions de sexualité.»
« Nous subissons un discours de plus en plus normatif, et des normes de plus en plus étroites: on se dirige vers la pensée unique, et de plus il s’agit d’un discours pervers dans lequel on nous dit que c’est pour leur bien qu’on agit ainsi.»
- Karine Baillieu, psychologue clinicienne spécialisée dans le psycho-trauma
« Y a-t-il une ‘bonne’ éducation sexuelle ? L’école est-elle le lieu pour parler de sexualité ?»
« D’une manière paradoxale, on déclare que c’est pour le bien de l’enfant qu’on lui parle de sexualité et qu’on l’expose à des contenus à caractère sexuel, alors que cela peut entraîner des traumatismes.»
« le droit créé des interdits, l’éducation c’est apprendre à maîtriser ses pulsions, elle permet la structuration du psychisme.»
« Ce n’est pas en exposant les enfants à la pornographie qu’on les protège de la sexualité. L’enfant n’a pas de sexualité, c’est une projection des adultes et de leur sexualité sur les enfants.»
« C’est une effraction qui l’empêche d’évoluer dans sa construction psychique qui n’est pas réparable.»
Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, normalienne, philosophe
Ariane Bilheran analyse les mécanismes qui se sont mis en place à l’occasion de la gestion du covid, et qui relèvent d’une « dérive totalitaire », une « volonté de domination totale sur les individus » avec des mesures inédites et aberrantes imposées à tous, les enfants ayant été ciblés en particulier par ce conditionnement. En remontant les origines de cette idéologie totalitaire, on remonte aux nazis et encore avant eux, aux eugénistes qui ont conçu le système social et le système « sanitaire » actuels.
Les « mensonges répétés, les injonctions paradoxales, l’agitation de la peur », servent à construire un discours unique, à harceler la population au nom de l’intérêt général, pour qu’elle se conforme aux ordres, pour « établir un contrôle total. »
Regis Brunod est l’auteur du livre « Préserver l’innocence des enfants », il a rappelé dans sa présentation que cette « éducation sexuelle » que l’OMS avec ses « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » impose dès la maternelle ne correspond en rien aux besoins des enfants.
Amandine Lafargue, psychologue clinicienne, a rappelé dans sa présentation s’intitulait « Faire preuve d’inventivité clinique face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles », que les enfants n’ont pas l’évolution psychique nécessaire pour comprendre les messages qu’on leur fait passer, qui sont de plus généralement contradictoires et « cela entraîne une confusion ».
Nous avons 600% de consultations pédopsychiatriques en plus depuis deux ans :
- des régressions, des déconnexions.
- chez les ados on voit de l’anxiété, des compulsions, des addictions, ils sont tristes; certains ont des crises de pleurs brutales.
- on voit aussi une augmentation des violences intrafamiliales.
- on assiste à des retours de traumas passés qui sont revenus avec le covid, à des glissements psychiques c’est-à-dire que les gens vont progressivement vers le délire.
- chez les enfants et les ados on voit une baisse de l’estime de soi, une baisse du quotient intellectuel, une augmentation des scarifications, des problèmes psychiques, des suicides chez les adolescents et les enfants qui ont augmenté de 300%.
« L’éducation sexuelle est « une priorité » pour les pouvoirs publics à l’instigation du Planning familial et formulent « des recommandations qui induisent des normes sexuelles et auront un impact sur les futures générations d’adultes ». A chaque étape de développement des enfants, on a choisi de faire ce qu’il ne faut pas faire. Au lieu de faire de la prévention sur les abus sexuels auprès des enfants, on va les stimuler, on fait exactement ce qu’il ne faut pas faire à l’âge où il ne faut pas le faire. Ces effractions auront un impact durant toute la vie même si on nie absolument ces impacts.»
Me Virginie de Araujo-Recchia :
« Nous avons encore les outils légaux pour attaquer l »éducation sexuelle. Selon les députés, l’éducation sexuelle n’est ni le rôle des parents, ni le rôle des enseignants. Imposer l’éducation sexuelle à l’école, c’est une attaque de l’État sur la vie privée et familiale par le biais de textes internationaux. Les enfants sont visés en particulier, dans le cadre d’un processus de contrôle social et de planification du changement de comportement. Les « droits sexuels » induisent une présomption irréfragable de consentement de l’enfant. C’est une idéologie qui vise à faire changer la société et donc la loi, qui risque de devenir du droit international. En France aujourd’hui, la loi interdit « d’écarter les parents de l’éducation à la sexualité de leurs enfants, et l’objectif de l’autorité parentale c’est la protection des enfants », sauf que « une coutume internationale est en train de se mettre en place et pourrait supplanter la loi. »»
Me de Araujo-Recchia incite les parents à rappeler ces principes en saisissant la justice :
- La convention internationale des droits de l’enfant
- La convention européenne des droits de l’homme et son protocole additionnel n°1 qui dit que l’État peut s’occuper de l’éducation des enfants mais en respectant les convictions religieuses et philosophiques des parents. Chacun peut donc faire valoir ses convictions, qu’elles soient religieuses ou même philosophiques, ce qui est vague, pour contester l’ « éducation sexuelle » à l’école.
- Le code civil qui définit notamment l’autorité parentale appliquée « dans l’intérêt de l’enfant […] pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne » (même si les juges aux affaires familiales, et maintenant l’État en général, s’immiscent de plus en plus dans la gestion parentale, souvent pour les pires résultats).
- Les parents sont bien responsables de leurs enfants et de leurs actes, le code civil dit que les parents doivent assurer l’éducation de leur enfant, ainsi que « son développement physique, affectif, intellectuel et social » car s’ils sont « gravement compromis » la justice et les services sociaux peuvent intervenir.
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