Gauleiter local de l’exécutif davosien d’Emmanuel « les emmerder » Macron, le préfet de Martinique qualifie « d’acte de dissidence » le texte par lequel l’exécutif local entend déclarer le créole martiniquais langue officielle de l’île. Espérons qu’il ait raison, et que la tendance séparatiste sera couronnée de succès, de façon à pouvoir émigrer dans un pays chaud – et malgré tout francophone – quand il faudra renoncer au passeport de l’Hexagone des Seringues.
Ce même préfet, décidément grand philosophe, parle aussi d’un « débat contemporain mais historique que nous ouvrons entre droits naturels imprescriptibles et droit à l’égalité ». Espérons, là aussi, qu’il ait raison. Il se trouve en effet que, l’égalité étant une illusion, ce droit à l’illusion (de l’égalité biologique entre enfants et nonagénaires, etc.) se traduit, tôt ou tard – comme l’a amplement démontré le covidisme –, par un droit/devoir à l’égalité dans la mort.
Or français hexagonaux et martiniquais ne sont, effectivement, pas égaux. Non contents de ne pas parler créole, les Hexagonaux, individus atomisés dans une société socialisante en bout de course, pensent que les femmes sont des hommes provisoirement nantis de vagins, croient en la science et veulent être tous piqués et tous protégés. Il est donc grand temps que leur union hautement malsaine avec cette partie du monde qui veut vivre – marquée, au demeurant, au coin du clientélisme et du parasitisme fiscal – prenne fin.
Modeste Schwartz, premier candidat à la citoyenneté martiniquaise
A cette occasion, les Martiniquais découvriront certainement – comme certains des Hexagonaux qui disent souhaiter le Frexit – que la liberté se paie du prix de la responsabilité. Mais eux, à la différence du Gaulois passé sous domination de la femme blanche, en ont peut-être encore les moyens moraux – comme l’a démontré leur admirable résistance à l’injection magique (comme en Guadeloupe et à Mayotte).
« Pour le préfet, – rapporte le JDD – cette délibération votée en mai dernier par les élus de l’Assemblée de Martinique est ‘entachée d’illégalité’ ». A la différence, donc, des contrats Pfizer, qui sentent si bon le constitutionnalisme et l’état de droit, comme tout le bordel communiste de Tonton Schwab.
Bonne occasion de se souvenir – pour parodier un mot d’esprit du général israélien Robert Castel – qu’on ne devrait jamais pousser ni la « légalité », ni la « moralité » au-delà du point qu’on peut atteindre avec sa baïonnette – ou avec sa seringue.
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/08/23/vive-la-martinique-libre-creole-et-non-piquee-par-modeste-schwartz/
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