25 août 2023

Un tiers des Américains estime que la mort subite est liée au vaccin


Selon un nouveau sondage réalisé par KFF, la plupart des américains seraient confrontés à la désinformation en matière de santé. Cette conclusion est tirée du fait, que lors du sondage, un tiers des adultes interrogés ont déclaré que les vaccins contre la COVID-19 ont causé des milliers de morts subites. Ce qui est considéré comme de la «désinformation» par l’équipe en charge de l’analyse des résultats du sondage. Les personnes enquêtées estiment également que les problèmes de fertilité seraient la conséquence des effets secondaires des injections Covid, une «fake news» selon les auteurs du sondage.
 

Pour faire face à une énième vague de Covid, les gouvernements mondiaux ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager. Ces injections ont été présentées comme la réponse incontestable dans la lutte contre la maladie. Cependant, depuis un certain temps, de plus en plus d’études remettent en question leur efficacité. Cela n’a pas empêché la publication d’un sondage de KFF, affirmant que les croyances en matière de santé continuent d’être influencées par de la désinformation, qui, selon les auteurs, crée de l’incertitude sur des sujets de santé publique complexes tel que le Covid.

Les résultats du sondage

KFF a réalisé un sondage récent sur la désinformation sur la santé entre le 23 mai et le 12 juin. L’enquête a été menée auprès de 2007 adultes et elle concernait surtout les « allégations » sur la santé reproductive, le Covid-19 et les vaccins, notamment ses effets sur la grossesse et la fertilité.

Près de 96% des participants ont admis avoir entendu au moins une des dix affirmations présentées dans le sondage. Les informations sur le COVID-19 et les vaccins ont été les plus courantes.

Selon le sondage, un tiers des adultes pensent que les vaccins contre le Covid-19 a réellement causé « des milliers de morts subites chez des personnes par ailleurs en bonne santé ». 10% des personnes sondées estiment que cette allégation est « certainement vraie » et 23% d’entre eux pensent qu’elle est « probablement vraie ». En revanche, 34% des adultes sondés déclarent qu’elle est « probablement fausse » et 31% d’entre eux sont convaincus qu’elle est « définitivement fausse ».

Un autre exemple concerne l’utilisation de l’ivermectine en tant que traitement efficace contre la COVID-19. Près d’un tiers des participants pense que cette affirmation est vraie.

Ce sondage du KFF sur « la désinformation en matière de santé » a également révélé qu’un quart des participants croient que les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole provoquent l’autisme chez les enfants vaccinés, tandis que d’autres pensent que les vaccins anti-Covid entraînent l’infertilité.

Ces enquêtes ont également mis en évidence le rôle des médias traditionnels et sociaux en tant que vecteurs de diffusion et/ou de lutte contre « la désinformation », en montrant un lien étroit entre les sources d’information auxquelles les individus font confiance et leur propension à croire aux « fausses allégations » concernant le COVID-19.

Les avis des experts de la santé

Sans que cela nous surprenne, pour certains experts de la santé et cliniciens, ce sondage de KFF met en évidence la persistance de la « désinformation », en matière de santé, parmi une partie de la population adulte. Selon eux, « la désinformation », « les croyances erronées » sur le Covid persistent, rappelant l’importance continue de fournir des informations précises et basées sur des preuves pour éclairer les choix de santé de la population.

A titre d’exemple, selon eux, il n’y a aucune étude scientifique qui prouve l’efficacité de l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Son efficacité a pourtant fait l’objet d’études probantes pour la plupart. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont toujours alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. La Food and Drug Administration n’a jamais autorisé son utilisation pour lutter contre le covid.

De même, toujours selon les auteurs du sondage, il n’y a aucune preuve qui indique que les vaccins Covid peuvent causer l’infertilité masculine ou féminine. KFF a constaté que certains groupes étaient plus sensibles à cette « désinformation » ; ceux ayant un faible niveau d’éducation ; ceux qui s’identifient comme républicains ; ainsi que les adultes noirs et hispaniques.

Pourtant, la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) a montré qu’à la date du 26 août 2021, un demi-million de personnes ont souffert d’effets secondaires graves, notamment d’accidents vasculaires cérébraux, d’insuffisance cardiaque, de caillots sanguins, de fausses couches, d’infertilité … Les autorités sanitaires ont juste répété que, dans la plupart des cas, ce serait des problèmes bénins et passagers, on peut être étonné qu’aucun principe de précaution ne soit respecté.

Avec une nouvelle campagne de vaccination qui se prépare pour l’automne, tout a été fait pour persuader la population que ces injections expérimentales sont un succès. Les effets secondaires de la technologie à ARNm continuent à être « étouffés » par l’industrie pharmaceutique, les autorités de régulation sanitaire, les médias et certains sondages.
 
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/08/25/un-tiers-des-americains-estime-que-la-mort-subite-est-liee-au-vaccin-selon-un-sondage/

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