03 août 2023

La Haute finance s’intéresse au cerveau et aux maladies mentales. Implant cérébral au menu...

Un implant cérébral pour traiter la dépression sévère (Science&Vie)

A l’heure de l’explosion des maladies psychiques, notamment chez les jeunes, les implants cérébraux semblent devoir supplanter les traitements par les molécules. (Cf vidéo de Science et Vie)

La vidéo laisse perplexe quand on vous dit que la personne a reçu en une journée 300 impulsions dans son cerveau pour qu’elle retrouve "sentiment de vigilance et optimisme."

Lors des tests, la patiente a pu ressentir un éclat de joie et rire

Vidéo ci-dessus

Est-ce que les dépressifs vont devenir des patients captifs à qui l’on va insérer ces implants cérébraux? Imaginez un dépressif pris dans le système de santé publique actuel. Aura-t-il la force de s’opposer à un implant cérébral plus ou moins invasif?

Et là comme pour les injections covidiennes, nous reformulons les questions qui tuent :

Où sont les études qui démontrent de l’efficacité, mais aussi de l’absence d’effets secondaires graves.

En l’absence de telles études probantes, nous pouvons supposer que les victimes psychiques de la politique de confinement poursuivent leur pensum en tant que cobayes de la BigTech et de ses sponsors de Planète finance.

LHK

Voici une Fondation qui s’occupe des maladies mentales. L’essentiel du Conseil d’administration vient directement de la Haute finance.

M de Rothschild préconise la médecine personnalisée qui passe par la génétique et la technologie de pointe. https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2014/11/medsci2014302sp8/medsci2014302sp8.html

L’Institut du cerveau a des amis dans la Haute finance

Explosion des cas depuis le confinement obligatoire et le port du masque.

Extrait du communiqué de l’OMS de 2022

Les cas d’anxiété et de dépression sont en hausse de 25% dans le monde en raison de la pandémie de COVID-19

Ce bond dans les statistiques ne concerne que l’année 2020. Le site de l’OMS indiquait en 2022:

« Au cours de la première année de la pandémie de COVID-19, la prévalence mondiale de l’anxiété et de la dépression a augmenté massivement, de 25 %, selon une note scientifique publiée (en anglais) aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Le document met en évidence quelles populations ont été les plus touchées et résume les effets de la pandémie sur la disponibilité des services de santé mentale et comment la situation a évolué durant la pandémie.  « 

La pandémie a affecté la santé mentale des jeunes et qu’ils sont, de manière disproportionnée, à risque de comportements suicidaires et autodestructeurs.

https://www.who.int/fr/news/item/02-03-2022-covid-19-pandemic-triggers-25-increase-in-prevalence-of-anxiety-and-depression-worldwide

Extrait du Communiqué suisse

En Suisse, sur une année, près d’un tiers de la population est atteinte d’une maladie psychique. Ces affections comptent parmi les pathologies les plus répandues. Elles touchent toutes les tranches d’âge et toutes les couches de la société et génèrent des difficultés dans tous les domaines de la vie. En outre, les maladies psychiques occasionnent des coûts élevés au plan économique : plus de sept milliards de francs par année selon les estimations.15.05.2023
 
 

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