Les modèles climatiques théoriques ont surestimé l'impact du CO2 sur les températures mondiales d'un facteur de 5

Certaines régions de la Colombie-Britannique établissent des records de froid en juin

Les données d'Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) montrent que le lac Burns et le mont Puntzi ont maintenu des températures minimales particulièrement froides de -5°C et -4,9°C, respectivement, des records précédemment détenus en 1999 et 2018.

"Une crête de haute pression portant un ciel clair mardi matin a apporté des températures fraîches", a expliqué l'ECCC.

La Colombie-Britannique devrait se réchauffer au cours des prochains jours, sa masse d'air froid devant descendre vers le sud et vers les États-Unis.

Le changement climatique blâmé pour les décès du mont Everest en 2023

Cette année, on s'attend à voir un nombre record de décès sur le mont Everest, les «experts» blâment déjà le réchauffement climatique.

Déjà 12 personnes sont mortes et cinq autres sont portées disparues ou présumées mortes. Cela égale le record de 17 décès établi en 2014, causé par une avalanche qui a tué 16 sherpas locaux, et est supérieur à la moyenne habituelle de 5 à 10 victimes.

"Au total cette année, nous avons perdu 17 personnes sur la montagne", a déclaré Yuba Raj Khatiwada, directeur du département du tourisme du Népal, s'adressant à The Guardian. « La principale cause est le changement de temps. Cette saison les conditions météo n'étaient pas favorables, elles étaient très variable. Le changement climatique a un impact important sur les montagnes.

Ils rapportent que les sherpas doivent souvent chercher de nouveaux chemins dans la montagne, en raison de la fonte des glaces, et publient une citation d'un médecin de la cascade de glace faite au hasard, il y a plus d'un an, à l'appui de cela. Ils affirment également que la hausse des températures a un impact sur le glacier du Khumbu, où se trouve le camp de base de l'Everest, à tel point qu'un responsable a envisagé de déplacer le camp plus bas. Cependant, ce plan a été immédiatement annulé par le refus des sherpas.

L'article de propagande du Guardian n'offre aucune explication, zéro, sur la façon dont le réchauffement climatique a tué qui que ce soit sur la montagne cette année, c'est juste une supposition, vous savez, la fonte des glaciers et tout ça...

Une explication beaucoup plus logique de la hausse des décès au mont Everest cette saison est la surpopulation. Le gouvernement du Népal a délivré un record de 479 permis en 2023, avec plus de grimpeurs inexpérimentés que jamais qui ont tenté le trek.

À 15.000 dollars par tête, les permis sont une source de revenus importante pour le pays, mais leur augmentation génère directement une augmentation du nombre de décès : "Le schéma d'escalade a changé", a déclaré Ang Norbu Sherpa, président de l'Association nationale des guides de montagne du Népal, "Avant c'étaient des grimpeurs professionnels, maintenant il y a beaucoup de grimpeurs novices qui veulent atteindre le sommet de l'Everest."

Cependant, plutôt que d'enquêter sur le lien logique entre l'augmentation du nombre de novices qui s'attaquent à la montagne et l'augmentation du nombre de décès, The Guardian déplore plutôt l'augmentation des déchets laissés par les touristes, l'augmentation des déchets "malgré le fait que le gouvernement facture d'avance le dépôt d'ordures", somme qui n'est rendue que si les grimpeurs ramènent leurs déchets.

Les modèles climatiques ont surestimé l'impact du CO2 sur les températures mondiales par facteur de 5

Une nouvelle étude suggère que les molécules de dioxyde de carbone ont peu d'impact sur le rayonnement sortant et que les modèles climatiques actuels attribuent au CO2 des effets de température globale fondamentalement erronés.

Des physiciens russes ( Smirnov et Zhilyaev, 2021 ) ont récemment vu leur   article  évalué par des pairs publié dans le numéro spécial Advances in Fundamental Physics  pour la revue  Foundations.

Après une évaluation détaillée du rôle des molécules de CO2 dans l'atmosphère, ils affirment :  « nous sommes en contradiction avec les résultats des modèles climatologiques dans l'analyse de l'effet de serre de la Terre ».

Les points clés du document incluent :

 1.  Les calculs des modèles climatiques de l'impact du CO2 sur les températures mondiales sont erronés d'un facteur 5, en raison de "l'ignorance, dans les modèles climatologiques, de la loi fondamentale de Kirchhoff".

2.  Une modification de la concentration d'un composant atmosphérique optiquement actif (comme le CO2) "n'entraînerait pas de modification du flux radiatif sortant".

3.  Les molécules de CO2 "ne sont pas le principal radiateur de l'atmosphère". Les molécules de vapeur d'eau le sont, et donc elles "peuvent être responsables du réchauffement observé de la Terre".

L'écart entre l'effet de serre des molécules de vapeur d'eau par rapport au CO2 a été traité ailleurs. Lightfoot et Mamer (2014)  et  ( 2017 )  suggèrent que les molécules d'eau sont :

a)  29 fois plus abondantes dans l'atmosphère et 1,6 fois plus efficaces pour le réchauffement que les molécules de CO2.

b)  la vapeur d'eau représente 96% du forçage radiatif total pour tous les gaz à effet de serre.

c) le doublement des concentrations de CO2 n'entraînerait qu'une augmentation de la température mondiale de 0,33C.

Les partisans du réchauffement climatique anthropique peuvent rejeter aveuglément ces découvertes, mais ce qu'ils démontrent de manière irréfutable, à tout le moins, est que la science est loin d'être établie.

Le terme « consensus » est utilisé pour rallier les personnes mal informées et, dans ce cas, pour inciter les politiciens faibles à pratiquer des politiques déformées et anti-humaines. En réalité cependant, le terme consensus n'a pas sa place en science. La science est encore très éloignée du réchauffement climatique, et c'est moi qui suis généreux. Cependant, sans une revue ouverte et honnête de la littérature, les masses seront à jamais perdues dans l'obscurité, toujours inquiètes de ce qu'un avenir réchauffé apportera. L'inconnu fait peur de toute façon, et les élites exploitent et amplifient cette peur ; ces âmes corrompues s'en nourrissent et en abusent dans la poursuite acharnée de leur nouveau paradigme totalitaire.

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