En 2009 j'avais expliqué ici que la France finira comme la Grèce - 15 années plus tard on y est, regardez bien ce graphique diffusé par Nicolas Meilhan à propos des faillites en France avec un commentaire terrifiant, et contraire à tout ce que raconte Emmanuel Macron.
"En 2024, nous devrions dépasser les 4500 défaillances de PME soit 12 par jour ou 1 toutes les 2 heures, du jamais vu depuis que le Mozart de la finance est aux manettes."
Ce graphique est très proche de ce que j'avais pu observer en Grèce dès 2009.
Ce graphique est très proche de ce que j'avais pu observer en Grèce dès 2009.
L'INSEE a publié son chiffre de l'inflation constatée selon elle: 14,6% ce qui veut dire que c'est vraiment un 20% qui est en train de détruire les ménages français.
Même le Courrier des Stratèges s'en est étonné: "Tout en continuant à chercher les formulations les plus édulcorées possible, l'INSEE, pour sauver sa crédibilité, doit - comme en matière de mortalité - coller un tant soit peu à la réalité constatable du quotidien français. Il annonce donc 14,6% « d'inflation » (lire : « hausse des prix ») des produits de grande consommation sur un an, en contradiction patente avec le discours délirant de Bercy", lire ici Le Courrier des Strateges.
On dirait que le directeur de l'INSEE commence à se poser des questions sur sa survie, puisque, je le rappelle, en 2022 et 2021, c'est à peine si l'organisme avait constaté une légère inflation.
Même le Courrier des Stratèges s'en est étonné: "Tout en continuant à chercher les formulations les plus édulcorées possible, l'INSEE, pour sauver sa crédibilité, doit - comme en matière de mortalité - coller un tant soit peu à la réalité constatable du quotidien français. Il annonce donc 14,6% « d'inflation » (lire : « hausse des prix ») des produits de grande consommation sur un an, en contradiction patente avec le discours délirant de Bercy", lire ici Le Courrier des Strateges.
On dirait que le directeur de l'INSEE commence à se poser des questions sur sa survie, puisque, je le rappelle, en 2022 et 2021, c'est à peine si l'organisme avait constaté une légère inflation.
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