De nouvelles recherches montrent que les vaccins Covid contiennent des proportions considérables de résidus d’ADN capables de s’intégrer en permanence dans le génome humain, causant maladies chroniques et cancers. Ceci pourrait aussi expliquer les excès de mortalité observés depuis le début des campagnes de vaccination.
Acte 1 : des analyses sanguines troublantes
L’enquête que nous vous présentons a débuté par une intrigante publication de l’ancien banquier suisse Pascal Najadi. L’auteur d’une plainte pénale pour abus de pouvoir contre le président de la Confédération Alain Berset est triplement vacciné et autant de fois remonté contre les autorités sanitaires depuis qu’une analyse de son sang lui a révélé que son corps continue de produire de la protéine spike vaccinale plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech.
Contacté, l’intéressé nous a fourni les résultats du laboratoire ainsi qu’une lettre du Prof. Sucharid Bhakdi confirmant que « les résultats des tests indiquent clairement que M. Najadi souffre d’effets irréparables à long terme provoqués par le produit ARNm injecté fabriqué par PfizerBiontech » (voir les ressources en fin d’article).
Une protéine toxique
Les analyses sanguines du banquier révèlent la présence de protéine de pointe mais pas de capsules nanolipidiques que l’on trouve dans les injections. Pour le scientifique, ceci indique qu’il ne s’agit pas de protéine de pointe résultant de l’administration d’un « vaccin » mais qu’elle a été produite récemment par le corps du vacciné.
Quelques recherches plus tard, nous trouvons un avocat allemand, Me Tobias Ulbrich, représentant plusieurs clients qui ont également fait analyser leur sang pour arriver aux mêmes conclusions que Pascal Najadi : leur corps produit en permanence de la protéine de pointe, une substance toxique, et personne ne peut leur dire si et quand ça s’arrêtera.
Autorités sanitaires incapables d’expliquer
L’ex-banquier avait sollicité l’Office fédéral de la santé publique en Suisse à ce sujet. Ce dernier a été incapable de lui donner des réponses, arguant qu’il ne pouvait pas se prononcer sur un cas individuel. Pascal Najadi en avait déduit que l’office ne maîtrisait en fait rien concernant ces nouvelles technologies vaccinales.
La persistance de la présence de protéine de pointe détectée chez Najadi et d’autres injectés reste officiellement inexpliquée et se situe bien au-delà des 14 jours communiqués lors du lancement des campagnes de vaccination Covid.
Acte 2 : le rôle de l’ARN
Tout le monde connaît l’ADN, représenté par une double hélice et contenant notre code génétique. L’ARN lui n’est constitué que d’un seul brin. La cellule en fabrique au besoin en lisant une partie de l’ADN qui lui servira ensuite de cahier des charges pour produire une protéine.
Une dose de « vaccin » Covid à ARN messager contient des milliards de brins d’ARN messager, qui vont déclencher la production d’autant de protéines de pointe du virus SARS-CoV-2 dans les cellules où ils parviennent. Ces protéines de pointe vont activer une réponse du système immunitaire.
En théorie et officiellement – toutes les autorités sanitaires ont bien insisté là-dessus pour rassurer les futurs vaccinés – les « vaccins » Covid ne contiennent pas d’ADN et il n’y a pas d’altération permanente de nos cellules.
Comme on va le voir, de sérieux doutes écornent malheureusement les affirmations officielles.
La protéine de pointe a de plus été présentée comme une substance inoffensive lors des campagnes de vaccination alors que l’on sait qu’elle est toxique pour le corps humain et cause la plupart des complications du Covid, dont les réactions inflammatoires et allergiques.
Acte 3 : comment sont fabriqués les brins d’ARN messager que l’on retrouve dans les « vaccins » Covid ?
Pour communiquer, les bactéries s’échangent des ‘messages’ génétiques importants à l’aide de ce qu’on appelle des plasmides. Par exemple si une bactérie trouve un nouveau mécanisme qui augmente sa résistance face à des antibiotiques, elle va encapsuler cette information dans des plasmides, qui vont être produits et ‘diffusés’ aux autres bactéries.
Le processus de fabrication des brins d’ARN des vaccins Covid requiert justement de passer par la manipulation génétique de bactéries en utilisant des plasmides, dans lesquels on aura préalablement introduit la séquence d’ADN correspondant à la protéine de pointe du SARS-CoV-2.
Le plasmide est multiplié dans des bactéries et utilisé comme modèle pour produire en masse de l’ARN messager qui sera capable de déclencher la production de protéine de pointe dans les cellules des vaccinés. L’ADN doit ensuite être éliminé et l’ARN messager est alors mélangé à des lipides pour produire des nanoparticules capables de faire entrer l’ARNm dans nos cellules. Nous allons voir que ce n’est pas le cas.
Acte 4 : le bug dans la matrice
Il faut savoir que les autorités sanitaires ne contrôlent pas elles-mêmes les différents lots pour s’assurer de la qualité des vaccins. Seuls les fabricants sont responsables de l’assurance qualité des produits qu’ils commercialisent.
Dans le cadre de l’autorisation de mise sur le marché du vaccin de Pfizer, l’Agence européenne des médicaments (AEM) a ainsi dû se contenter de consulter les données fournies par le fabricant. L’AEM s’est étonnée auprès du fabricant que le produit final n’avait pas été séquencé génétiquement pour s’assurer que l’on y retrouvait bien que de l’ARN messager et pas d’ADN ou d’autres résidus, nous apprend le scientifique allemand Florian Schilling dans une présentation (voir les ressources).
Pfizer a répondu qu’il avait volontairement renoncé au séquençage en avouant que ce n’était certes pas optimal, mais que cela se justifiait pour réduire les coûts. Les autres fabricants ont également renoncé à ce séquençage génétique dans le cadre de leur assurance-qualité.
Parmi les techniques alternatives d’évaluation du produit utilisées par Pfizer figure l’électrophorèse, qui permet de décompter les éléments présents dans une solution en fonction de leur taille.
Dans les documents fournis par Pfizer à l’AEM, dont nous reproduisons un schéma ci-dessous, l’ARN messager de la protéine de pointe vaccinale est représenté par un pic central élevé. L’anomalie, ce sont les « pentes » des deux côtés du pic, qui représentent de mystérieux ‘objets’ génétiques dont la taille ne correspond pas à celle de l’ARN messager et qui ne devraient pas être présents dans une solution purifiée.
L’AEM avait d’ailleurs voulu en savoir plus et avait demandé les données brutes à Pfizer. Le fabricant s’était engagé à les fournir mais jusqu’à ce jour, elles n’ont toujours pas été livrées.
Acte 5 : des chercheurs indépendants entrent en jeu
Un groupe de chercheurs, inquiets notamment des conséquences des injections Covid chez les jeunes, a décidé début 2023 de prendre les choses en main et de séquencer des lots de « vaccins » de Pfizer et de Moderna. Toute leur démarche est expliquée en détails dans un premier article et son complément rédigés par Kevin McKernan, biologiste moléculaire, spécialiste des manipulations génétiques et du séquençage, qui a participé à l’analyse.
Leurs découvertes sont de nature inquiétante:
- Quantité d’ADN anormalement élevée – La présence de plasmides contenant de l’ADN de protéine de pointe a été confirmée dans des proportions considérables pour les « vaccins » de Pfizer et Moderna : entre 20 et 35%, soit bien au-delà des limites de contamination fixées par l’AEM (0.033%). Une seule dose contient donc plusieurs milliards de ces plasmides qui ont servi à produire l’ARN messager et auraient dû ensuite être éliminés. Cette information est déjà une preuve de la non-conformité de ces produits par rapport à la réglementation en vigueur.
- Accélération de l’antiobiorésistance – Fait inquiétant, l’ADN de ces plasmides contient des gènes qui les rendent résistants à deux antibiotiques : le néomycine et le kanamycine. L’introduction de milliards de gènes de résistance aux antibiotiques dans des plasmides à forte capacité de réplication, en permettant une sélection de bactéries résistantes à ces traitements dans le microbiome, devrait susciter des inquiétudes quant à l’accélération de la résistance aux antibiotiques à l’échelle mondiale. Certains experts estimaient déjà avant la crise du Covid qu’à l’horizon 2050 nous n’aurions plus d’antibiotiques efficaces.
- Haut facteur d’erreur de copie – Les scientifiques affirment que la présence d’un nucléotide appelé pseudouridine est très inquiétante car il est réputé pour avoir un taux d’erreur de copie d’un nucléotide sur 4000. Ce qui représente entre 5 et 8.5 millions d’erreurs de copie possibles par dose de vaccin. Et personne ne peut dire à quoi ces erreurs correspondent vu qu’elles sont imprévisibles.
- Intégration permanente et transgénérationnelle – Les plasmides vaccinaux peuvent atteindre une bactérie ou une cellule humaine. Ce dernier cas est considéré comme problématique car il est possible que le brin d’ADN contenu dans le plasmide soit intégré au code génétique de la cellule humaine de manière permanente, lui permettant à tout moment de produire de la protéine de pointe vaccinale de manière autonome, toute sa vie. Selon toute vraisemblance, c’est ce qui arrive à Pascal Najadi et aux clients de Me Ulbrich en Allemagne. Le Prof. Bhakdi a rappelé à ce propos que chaque division de cellule est l’occasion pour cet ADN importé de modifier le génome de l’hôte. Si cette intégration se passe dans une cellule souche, un ovule ou un spermatozoïde, la modification génétique sera transmise aux générations suivantes. C’est grave car aujourd’hui la science ne propose pas d’outil pour enlever un gène.
Plus incompréhensible, l’ADN du plasmide utilisé par Pfizer contient une séquence (SV 40) qui lui permet d’être transféré dans le noyau même lorsque la cellule ne se divise pas et affecter ainsi des cellules. Sa présence est pourtant inutile pour la production d’ARN messager dans les bactéries. Cette séquence est absente des plasmides utilisés par Moderna.
Le vaccin Covid de Johnson&Johnson pose lui un risque d’intégration encore plus grand car il base sur un virus à ADN et utilise un promoteur beaucoup plus puissant que SV 40, appelé CMV. Ceci débouche sur un risque d’oncogénèse et de production continue de protéine de pointe bien plus élevés qu’avec les ARN messagers, affirme Marc Wathelet, un biologiste moléculaire et spécialiste des coronavirus que nous avons consulté (voir entretien en fin d’article).
Comme l’ADN de la protéine de pointe du plasmide vise les cellules de mammifères, il y a très peu de chance que l’intégration se fasse de manière permanente dans le génome d’une bactérie intestinale. À défaut de devenir des usines à protéine de pointe, ces bactéries – qui ne sont pas des cellules humaines – pourraient par contre multiplier les plasmides vaccinaux et ainsi contribuer à augmenter le risque de contamination à des cellules humaines, appelée « bactofection » ou « transfection ».
Acte 6 : les conséquences – risques de cancers
Marc Wathelet confirme que si « le risque de contamination des bactéries du microbiome reste faible, ce sont les risques d’inflammation et surtout de cancers liés à la contamination des cellules du corps des vaccinés par de l’ADN qui sont plus inquiétants ». L’expert souligne qu’il est « impossible de quantifier ce risque ». Il constate « une augmentation de certains cancers, mais on ne sait pas si c’est dû à l’ADN, à l’ARNm, au système immunitaire qui s’affaiblit, aux lipides présents dans les nanoparticules, ou à une combinaison de ces facteurs ».
L’intégration d’ADN de protéine de pointe peut expliquer que les effets ne soient pas immédiats après la vaccination mais se développent au fil du temps. Certains scientifiques lient ainsi l’excès de mortalité observé en 2022 dans tous les pays vaccinés avec une production permanente de protéine de pointe. Une analyse de Jarle Aarstad va dans ce sens et démontre une corrélation inquiétante : pour chaque pourcent de taux de vaccination, on observe +0.1% de mortalité en excès l’année suivante.
Acte 7 : et que faire maintenant ?
Si on avait avertit les futurs vaccinés qu’on allait leur injecter du matériel génétique qui allait probablement s’intégrer à leur propre génome, combien auraient encore accepté la piqûre ?
Il faudrait que les autorités sanitaires prennent conscience du problème et qu’elles fassent des analyses génétiques chez des vaccinés pour voir dans quelle mesure cet ADN vaccinal est intégré dans les cellules humaines et dans quels types de cellules.
Le Prof. Sucharit Bhakdi a récemment affirmé que les vaccins à ARN messager sont en fait des thérapies géniques qui devraient être retirées du marché. Ceci est d’autant plus important que, boostée par des bénéfices énormes, l’industrie vaccinale investit actuellement dans le développement de centaines de nouveaux vaccins à ARN messager.
On est toujours au stade expérimental
Quoi qu’en disent les médias grand public et les autorités, la science continue d’affirmer que ces thérapies géniques n’en sont toujours qu’au stade expérimental, comme en atteste cet extrait paru dans Nature en juillet 2022 :
« Bien qu’elles présentent plusieurs avantages par rapport aux approches conventionnelles basées sur les protéines, les thérapies basées sur l’ARNm en sont encore aux premiers stades de développement. L’instabilité des ARNm synthétiques et les réponses immunitaires générées contre ces molécules synthétiques ont été les principaux obstacles à l’adaptation de cette technologie. » Nature, Scientific Reports, juillet 2022
Pour les personnes concernées par cette production permanente de protéine de pointe, comme Pascal Najadi, elles sont contraintes pour l’instant à prendre à vie des traitements pour diminuer sa concentration. Leur système immunitaire est constamment occupé à éliminer leurs propres cellules qui produisent de la protéine de pointe, mais celles-ci continuent de se multiplier avec la modification génétique, rendant ce combat permanent et épuisant pour le corps.
Prouvé pour les cellules cancéreuses de foie humain
Une étude, Alden et al., a démontré que des cellules cancéreuses de foie humain pouvaient intégrer de manière permanente le matériel génétique des vaccins de Pfizer. Les critiques ont affirmé qu’on ne pouvait pas tirer de conclusions pour les cellules saines. Ces résultats auraient par contre dû remettre en question le fait d’injecter ces produits à des patients atteints de cancer.
Comparaison avec les tests PCR
Le silence sur la contamination des injections Covid par de l’ADN est d’autant plus frappant lorsque l’on se rappelle qu’à l’époque des tests PCR, il suffisait de détecter dans notre nez quelques débris viraux incapables de se reproduire, avec un nombre de cycles de travail (CT, amplification) proche de 40, pour être déclaré positif et mis en quarantaine.
La contamination par l’ADN dont nous parlons ici dans les vaccins se détecte déjà à un CT de 20. Il s’agit d’une concentration un million de fois plus élevée que ce qui était considéré comme critique pour le SARS-CoV-2 et cet ADN capable d’intégration est injecté au-delà des défenses de nos muqueuses.
Si les tests PCR avaient aussi été réalisés avec un CT de 20, le nombre de cas Covid positifs aurait été quasi nul et il n’y aurait pas eu autant de panique autour de cette pandémie.
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