(...) plusieurs chroniqueurs du XIIIe siècle attestent que Jechielé, rabbin français d’une rare érudition à laquelle le roi Saint Louis se plaisait à rendre hommage, connaissait le secret d’"une lampe éblouissante qui s’allumait spontanément".
Cette lampe était dépourvue d’huile et de mèche et le mage la plaçait parfois à sa fenêtre, la nuit, ce qui intriguait profondément ses contemporains. Bien qu’il fût accrédité auprès du roi et même son conseiller en certaines occasions, Jechielé ne révéla jamais le secret de sa lampe. Électricité ?
Toujours selon les chroniqueurs, le rabbin avait une façon très personnelle de décourager les importuns voire les ennemis – qui venaient frapper à sa porte. Il "touchait un clou planté dans le mur de son cabinet et aussitôt en jaillissait une étincelle crépitante et bleuâtre. Malheur à celui qui, à cet instant précis, touchait le marteau en fer de la porte : l’importun se repliait, se recroquevillait, hurlait comme s’il allait être englouti sous terre et finalement se sauvait sans demander son reste...".
Cette lampe était dépourvue d’huile et de mèche et le mage la plaçait parfois à sa fenêtre, la nuit, ce qui intriguait profondément ses contemporains. Bien qu’il fût accrédité auprès du roi et même son conseiller en certaines occasions, Jechielé ne révéla jamais le secret de sa lampe. Électricité ?
Toujours selon les chroniqueurs, le rabbin avait une façon très personnelle de décourager les importuns voire les ennemis – qui venaient frapper à sa porte. Il "touchait un clou planté dans le mur de son cabinet et aussitôt en jaillissait une étincelle crépitante et bleuâtre. Malheur à celui qui, à cet instant précis, touchait le marteau en fer de la porte : l’importun se repliait, se recroquevillait, hurlait comme s’il allait être englouti sous terre et finalement se sauvait sans demander son reste...".
"Un jour, une foule hostile, écrit Éliphas Lévi, se pressa à cette porte avec des murmures et des menaces : les hommes se tenaient les uns les autres par le bras pour résister à la commotion et au prétendu tremblement de terre.
Le plus hardi secoua le marteau avec fureur.
Jechielé toucha son clou. A l’instant les assaillants se renversèrent les uns sur les autres et s’enfuirent en criant comme des gens brûlés ; ils étaient sûrs d’avoir senti la terre s’ouvrir et les avaler jusqu’aux genoux ; ils ne savaient comment ils en étaient sortis ; mais pour rien au monde ils ne seraient retournés faire le tapage à la porte du sorcier.
Jechielé toucha son clou. A l’instant les assaillants se renversèrent les uns sur les autres et s’enfuirent en criant comme des gens brûlés ; ils étaient sûrs d’avoir senti la terre s’ouvrir et les avaler jusqu’aux genoux ; ils ne savaient comment ils en étaient sortis ; mais pour rien au monde ils ne seraient retournés faire le tapage à la porte du sorcier.
Jechielé conquit ainsi sa tranquillité, par la terreur qu’il répandait."
On ne saurait mieux dire que Jechielé avait inventé ou réinventé la lampe électrique et qu’il envoyait, en appuyant sur un bouton, des décharges électriques dans le marteau en fer de ses huis.
Incontestablement, le rabbin était initié à un secret scientifique qu’il ne jugea pas opportun de divulguer à l’humanité du XIIIe siècle.
Robert Charroux, "Histoire inconnue des hommes depuis 100.000 ans", PDF gratuit ICI.
"Dans les années 1930, l'archéologue autrichien Wilhelm König découvre dans les sous-sols du Musée national d'Irak à Bagdad une poterie de 15 cm de haut pour un diamètre d'environ 7,5 cm. D'après les datations effectuées séparément par Wilhelm König et le docteur St. John Simpson du département du Proche-Orient Ancien du British Museum, cette poterie remonterait à l'an 224 avant J.-C. Quelques-unes ont été découvertes dans les ruines de Khujut Rabu près de Bagdad et dix autres à Ctésiphon.
Ce dispositif est fermé d'un bouchon en bitume. Sous le bouchon est disposée une tige de fer entourée d'un cylindre de cuivre. Ces deux éléments sont isolés à la base par un tampon de bitume. Le cylindre est soudé en son fond par un alliage de plomb et d'étain. Les éléments manquants pour que cette « pile » antique fonctionne sont les fils de connexion et de l'acide pour la réaction. Une telle pile peut fonctionner avec du jus de fruit à la place de l'acide (le jus de fruit contient généralement de l'acide). Suivant les tests effectués, les chercheurs ont obtenu des tensions électriques allant de 0,5 à 1 volt. On ignore néanmoins l'intensité délivrable par une telle pile."
Leragoteur firago.
Dans ses écrits, Robert Charroux évoque les piles de Bagdad, vieilles de plusieurs millénaires :
"Dans les années 1930, l'archéologue autrichien Wilhelm König découvre dans les sous-sols du Musée national d'Irak à Bagdad une poterie de 15 cm de haut pour un diamètre d'environ 7,5 cm. D'après les datations effectuées séparément par Wilhelm König et le docteur St. John Simpson du département du Proche-Orient Ancien du British Museum, cette poterie remonterait à l'an 224 avant J.-C. Quelques-unes ont été découvertes dans les ruines de Khujut Rabu près de Bagdad et dix autres à Ctésiphon.
Ce dispositif est fermé d'un bouchon en bitume. Sous le bouchon est disposée une tige de fer entourée d'un cylindre de cuivre. Ces deux éléments sont isolés à la base par un tampon de bitume. Le cylindre est soudé en son fond par un alliage de plomb et d'étain. Les éléments manquants pour que cette « pile » antique fonctionne sont les fils de connexion et de l'acide pour la réaction. Une telle pile peut fonctionner avec du jus de fruit à la place de l'acide (le jus de fruit contient généralement de l'acide). Suivant les tests effectués, les chercheurs ont obtenu des tensions électriques allant de 0,5 à 1 volt. On ignore néanmoins l'intensité délivrable par une telle pile."
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