Un vaccin qui n’empêche pas d’attraper une maladie, cela peut arriver en recherche, et jusqu’à maintenant on laissait alors tomber. Valider un vaccin qui n’empêche pas d’attraper une maladie, est une grande première en médecine, si tant est que l’on puisse encore appeler cela un vaccin dans ces conditions. Le rendre ensuite, bien qu’inefficace, obligatoire ou quasi obligatoire, ce n’est plus de la médecine, autre chose se cache derrière.
Le pire est qu’avant que cela ne se passe, avant que l’épidémie de covid n’arrive, ils savaient que cela ne pouvait marcher. Ils, ce sont les spécialistes compétents en immunologie et en virologie, qui ont conseillé les décisions politiques. Ils sont responsables à deux titres. Le premier, ils savaient que cela ne pouvait pas marcher, ils ont failli dans leurs conseils et directives pour les décideurs politiques. Le second, est qu’ils n’ont pas protesté, ne se sont pas exprimés devant des décisions inutiles ou mauvaises. Ne rien dire c’est laisser faire, qui ne dit mot consent et est donc co-responsable des conséquences.
Cet article de mars 2019, récupéré sur le site officiel du gouvernement US, faisait avant covid le point sur tout ce qui a été essayé sur les coronavirus apparus depuis une quinzaine d’années, notamment le SRAS-CoV, coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, et le MERS-CoV, coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient. Le constat de 15 années de recherches et d’essais, relatant ici plus de 120 études, ne pouvaient être ignoré de ceux que je cite plus haut, sauf à être totalement incompétents et avoir abusé le monde sur leurs compétences.
Parmi les experts, le professeur Raoult était reconnu dans le monde entier, et il n’a pas failli : dès le début des « vaccins », contrairement aux autres « spécialistes » autoproclamés et nommés par le gouvernement, il n’a pas dit non, car non « anti-vax », mais il a bien dit qu’il n’y croyait pas trop pour ce genre de virus. On l’a vite fait taire en le faisant passer pour un charlatan, ce qui curieusement n’a étonné personne dans un pays où l’on semble pouvoir nommer un charlatan à la tête du plus grand centre mondial sur le sujet. La suite a bien montré que l’expérience est supérieure à la soumission des spécialistes gouvernementaux.
QUE DIT CET ARTICLE ? (traduit ici). Il n’est pas tendre avec l’expérience des vaccins contre les coronavirus :
« 4.2 : Les vaccins ont longtemps été considérés comme l’étalon-or pour la prévention et l’éradication des maladies infectieuses ciblées sur les populations humaines, ainsi que pour conférer les avantages d’une protection immunitaire à long terme pour l’individu. Les agents pathogènes zoonotiques comme les coronavirus émergent d’espèces animales réservoirs, il est donc peu probable que les stratégies de vaccination conduisent à l’éradication tant que le virus continue de circuler dans les hôtes réservoirs….
Dans les infections humaines de coronavirus hautement pathogènes SRAS-CoV et MERS-CoV, les populations les plus vulnérables sont les patients de plus de 65 ans et les patients présentant des comorbidités, (nous l’avons appris, mais eux le savaient) et la conception de vaccins efficaces pour les patients de ces groupes est difficile. Les formulations de vaccins qui ont été développées contre le SRAS-CoV non seulement ne parviennent pas à protéger les modèles animaux de populations âgées, mais entraînent également une immunopathologie chez les populations plus jeunes, où la maladie du SRAS est renforcée dans les groupes vaccinés qui sont ensuite exposés au SRAS-CoV. De plus, les vaccins génèrent des réponses immunitaires mémoire à des agents pathogènes spécifiques, et aucune formulation de vaccin efficace contre plusieurs CoV n’a été développée. En raison de la diversité des BatCoV*, il semble peu probable que les stratégies thérapeutiques actuelles ciblant des antigènes spécifiques du SRAS-CoV ou du MERS-CoV soient efficaces contre les futurs coronavirus qui émergent dans la population humaine. Les vaccins formulés contre les antigènes épidémiques du SRAS-CoV n’offrent pas une protection efficace contre les BatCoV de type SRAS qui circulent actuellement dans les populations de chauves-souris.»
* Ailleurs dans l’article : « il est important de noter que les deux coronavirus qui causent la maladie la plus grave chez l’homme, le SARS-CoV et le MERS-Cov sont issus de BatCov (coronavirus de chauve-souris), qui n’étaient pas auparavant reconnus pour infecter les humains ou les animaux autres que les chauve-souris. ».
Et en fin d’article, les auteurs récapitulent 5 points marquants de la littérature des années précédentes, concernant cette lutte contre les épidémies de SARS-Cov et MERS-Cov. Au second point on lit :
« Les approches conventionnelles identifiant les thérapeutiques adaptatives comme les vaccins et les anticorps monoclonaux contre les coronavirus ciblent des antigènes qui ne sont pas conservés, et sont peu susceptibles de conserver leur efficacité thérapeutique contre divers agents pathogènes du coronavirus. »
Depuis l’émergence du SARS-Cov en 2002 dans la province de Guangdong dans le sud-est de la Chine et du MERS-Cov en 2012 au Moyen Orient, tout était donc connu, sauf par ceux qui ont piloté l’épidémie. À savoir le risque essentiellement pour les personnes âgées avec comorbidités, l’échec de la vaccination pour protéger les populations, la non durabilité de la protection, les réservoirs animaux inaccessibles (chers au Pr Raoult), l’évolution vers des mutations, et les risques de troubles immunologiques chez les plus jeunes.
Enfin cet article constate que « l’interféron (IFN) gamma est efficace contre les infections virales. « Sur la base de ces propriétés immunomodulatrices, les IFN ont été utilisés pour le traitement des infections virales émergentes, là où aucun médicament antiviral spécifique n’existe encore, les plus grand avantages résultants d’une administration très précoce»… » Pour le SARS-CoV et le MERS-CoV les IFN de type 1 ont été efficaces pour diminuer la réplication virale in vitro, avec des avantages supplémentaires in vivo chez les primates. Utilisés dans le traitement des patients atteints du SRAS et du MERS, ils ont été utilisés combinés avec d’autres médicaments comme la ribavirine et le lopinavir-ritonavir, bien que les effets bénéfiques aient été limités, en raison de l’administration tardive après l’infection ». L’interféron a d’ailleurs été testé au début pour le SARS-CoV-2, seul ou en association. Or il se trouve que l’ivermectine a montré dans plusieurs études sur l’onchocerchose, qu’elle stimulait la production d’IFN, réduisant la production d’interleukine IL-6 et par là le choc cytokinique. Cette immunomodulation par action sur les IFN est également connue pour l’azithomycine.
L’action immunomodulatrice de l’ivermectine dans les affections virales et la réduction du choc cytokinique étaient donc connus avant l’épidémie de SARS-CoV-2, de même que la nécessité d’un traitement le plus précoce possible (incompatible avec une procédure randomisée qui allonge les délais de traitement, comme constaté pour le SRAS et le MERS).
« Amusant », dans cet article antérieur, on peut aussi retrouver l’origine possible du SARS-Cov-2 par fuite de laboratoire, quand on lit que : « Les progrès dans l’étude des coronavirus hautement pathogènes et des candidats-médicaments potentiels dépendent en partie de la technologie permettant de manipuler génétiquement les CoV poursonder les mécanismes de la pathogenèse virale et de l’activité des médicaments antiviraux. Les systèmes de génétiqueinverse génèrent synthétiquement des virus à partir de séquences virales connues »… » Les systèmes de génétiqueinverse permettent de cibler des mutations sur des gènes viraux spécifiques et d’assembler des virus. À titre d’exemple,la capacité d’isoler des mutations dans des gènes particuliers a été appliquée aux études de la glycoprotéine de pointe(S) du SRAS-CoV, tout en maintenant le fond isogénique de la réplicase virale et d’autres protéines structurelles ». Sans commentaire.
Au vu de la littérature antérieure à l’épidémie de SARS-Cov-2, tous les spécialistes de la question savaient ce qu’allait donner ce qu’ils proposaient, et cela s’est vérifié, ils ne peuvent plus le nier. On peut se demander pourquoi, car il y a forcément une raison à cet acharnement qui peut paraître inutile. Inutile, mais pas pour eux. La raison ? Elle ne se cache pas dans la finance, mais dans le secret défense. Qui dit secret défense prouve qu’il y a des choses que les citoyens ne devaient pas connaître, sinon cela aurait été traité comme toutes les épidémies précédentes par les médecins, que l’on a bizarrement exclus.
Depuis 3 ans tout le monde cherche à comprendre certaines attitudes irrationnelles, à commencer par ce secret défense, le fait d’empêcher les médecins de traiter, ou encore pousser à vacciner des populations qui n’ont rien à craindre de la maladie. J’ai ma petite idée sur le sujet depuis maintenant plus de 18 mois, en assemblant les pièces d’un puzzle. J’en ai fait part à des connaissances, des mails peuvent en témoigner, mais ne l’ai jamais écrit, car trop « complotiste ». Les pièces de ce puzzle sont des faits de plus en plus évidents, donc de moins en moins « complotistes ». Cela reste toutefois une hypothèse, mais de plus en plus plausible. Je vous en ferai part dans le prochain billet.
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